Passion

Passion

 

Bonjour,

 

Deux jours, c’est le temps qu’il me faut pour lire un roman entier de 400 pages. Mais attention, pas n’importe lequel. Il faut qu’il me passionne et alors, je le dévore, je le bois comme du petit lait.

Je réalise que je ne lisais pas parce que ma famille, plus jeune, voulait m’embarquer dans des styles qui ne me convenaient pas. Je croyais depuis jeune, que je détestais lire. Mais c’est faux. C’est totalement faux. J’aime tout simplement faire ce qui me passionne et me prend aux tripes.

Autant vous dire, qu’en ce moment, je bouffe des mots, des mots et encore des mots. Entre les corrections de mon tome 1, mon tome 5 d’histoire fantaisie romance avec des dragons, et mes articles de blog, j’ai l’impression de faire un condensé d’écriture comme je n’ai jamais eu autant dans ma vie. En une seule journée, le cumul est effroyable. 5 heures d’écritures, 5 heures de lecture, de la fitness quand je peux pour me dégourdir, et faire les obligations dans la maison. Voilà, la journée passe vite. Et je rajoute de temps en temps 4heures de peintures ici et là pour les couches.

J’ai l’impression d’être passée un peu en mode sous-marin, d’autant plus que le bruit m’agresse énormément en ce moment. Seuls, les boules quiecs me soulagent un tant soit peu.

Je repense avec humour la fois où j’ai décidé de créer mon site internet, mon blog, et mon livre. Les 3 fois, c’était par impulsion. Il fallait que tout soit bouclé en 1 semaine. Bon, j’admets que pour le bouquin, le projet a trainé, et trainé et trainé, mais le résultat en vaudra la peine.

Je crois que je suis une impulsive extrémiste. Quand j’aime, j’aime. Pas un peu, pas beaucoup, j’aime passionnément. Je ne compte plus les heures et l’investissement. Je fais sans compter. Seul, mon objectif compte.

Quand j’entame mon roman, c’est parce que je veux savoir comment l’histoire d’amour va tourner. Et si ce sujet me prend par les tripes, c’est parce que j’ai moi-même un sujet pareil dans ma vie. Le plus sympa dans mon bouquin, c’est que je les choisis pour leurs histoires fantastiques avec des dragons, bah oui… Sinon, c’est nul et pas marrant.

*soupire* J’ai les dragons dans la peau, c’est un fait. * re-soupire*

Mais mon livre est sympa, il m’inspire niveau magie. Si si… J’vous jure ! D’ailleurs, j’ai décidé de travailler à fond avec mes guides sur ma volonté pour que ma force et mon amour me permettent d’atteindre qui-je-sais-dont-je-ne-peux-dire-le-nom.

A ma grand surprise, Astaroth et Elédahiel se sont manifestés la nuit qui a suivie. Les messages ont plut. Ah. Comme quoi. Quand on décide de bosser sérieusement un aspect, les guides apparaissent comme par magie. Vous allez voir, ce que vous allez voir.

Bon, le hic fut quand je me suis vu signer un contrat et le tamponner de mon propre sceau. Ah… Ca, c’est un autre problème, mais bon… De toute façon, sachant que c’est moi qui ait écrit les termes illisibles dans une autre langue, je suppose que tout est parfait ainsi.

Non, je n’ai pas demandé à faire de contrat ou de pacte particuliers, mais tout s’est passé tellement vite, et j’étais tellement en paix avec ce qui se passait, que tout me semblait normal.  Et d’ailleurs, tout me semble encore normal. Disons que j’ai simplement accepté de travailler certaines de mes portes ouvertes mais que tout sera quadrillé comme il faut par mes guides. Quelles merveilles ces guides alors.

Elédahiel a une force qui, lorsqu’elle réveilla la mienne, me mit en harmonie total avec le monde et avec ce que j’incarne. J’ai souri comme rarement j’ai souri en méditation. Il est du Milieu, je suis du Milieu. Pour la première fois, je me sentais à ma place. Il y avait juste suffisamment d’Ombre, et juste suffisamment de Lumière. Voilà, ni trop peu, ni pas assez. L’équilibre était juste  parfait. J’ai aimé le sentir et je ne veux plus jamais qu’il me quitte maintenant. 

 

Je comprends, à la vue de mes dernières expérimentations dans l’astral, et d’autres encore, que je dois être capable de faire certaines manipulations avec l’Ombre, et le Sombre. Bien que je déteste ça. Du coup, maintenant, je suis prête, à mes conditions, mais je suis prête.

Je ne veux plus subir ces énergies et me faire malmener. Vu que je suis du Milieu et que je suis bien entourée, on va voir comment la fois prochaine, j’vais vous botter l’cul. J’apprends vite, certes, parfois brutalement et de manière solitaire, mais j’apprends vite. Je ne vais pas mettre de côté une force qui fait partie de moi, c’est idiot. Autant m’en servir. Même si j’avoue, elle me fait un peu peur. Cela dit, maintenant que je sais qu’Astaroth et Elédahiel sont de la partie, le jeu en vaut la chandelle. Avec eux, je ne serai jamais seule. Ils veilleront. Je le sais. Je le sens.

En deux jours, j’ai refait le bilan de ma vie. Pas fameux. Mais j’ai réalisé qu’une chose revient sans cesse. Je coule pendant un temps, dans un flou artistique le plus total, et à un moment, je strike et fonce dans le tas comme une bourrine. Certes, cela me dessert parfois, mais c’est mon tempérament qui veut ça. Je remarque que le livre, c’était ça, un coup à l’étrier, et le reste pareil, mon appart, pareil, mes travaux, pareil. Presque tout ce que j’entreprends, je le fais par impulsion.

Même mon attitude avec mes guides, ou la recherche de mon Amour mystique est une violente et virulente impulsion. Ils m’ont dit un mot et la mèche fut allumé. Il n’a fallu qu’un mot pour me lancer dans une guerre des mondes.

Parfois, la vie est drôle. Avec un mot, elle est capable de changer toute votre existence et de la remplir d’une richesse absolue. Un mot, un seul.

Je crois que nous courons après ce mot, celui qui saura nous faire vibrer, nous faire pétiller. Nous courons après lui sans cesse, n’arrivant pas à s’arrêter. Parce que c’est plus fort que nous.

Je me demande parfois, si je ne lui courais pas après, saurait-il me retrouver ? Je crois aussi que toute une partie de ma médiumnité n’a plus se développer que justement, grâce à ma recherche et à mon dur labeur, à tout ces mondes que j’ai du parcourir et à tout ces guides que j’ai voulu plus que tout harceler pour leur tirer les vers du nez.

Parfois, je me demande si je trouverais suffisamment d’intérêt en ma médiumnité sans cette histoire d’amour qui me rend complètement tarée et à la limite du fanatisme. Parce que bon, soyons honnête, j’vais lui dire quoi quand je vais le retrouver ? : Salut, je suis ta meuf cosmique, et j’ai r’tourné une bonne vingtaine de planètes, et manipuler toutes les magies possibles, de plus sombres au plus lumineuses, pour te traquer. Maintenant que tu m’as fait bosser comme une taré pour rapatrier ton joli p’tit cul jusqu’à moi, j’veux mon bisou !   » C’est d’un romantisme sans faille !… *soupire*

J’me dis même qu’il risque de s’ennuyer une fois avec moi. Il n’y aura plus personne pour lui balancer des sorts de chasse-et-pêche à distance pour l’appeler et titiller sans cesse ses énergies, nuit et jour. Franchement, il le sait qu’il me rend complètement dingue ? Ses guides devraient lui dire au cas où il n’aurait pas compris encore.

En vrai, j’ai envie de lui péter à la gueule, pour le travail énorme que ça m’oblige à faire, autant psychologiquement qu’énergétiquement. Et le pire, serait qu’il en branle pas une de son côté…. Pensée, sors de ce corps, je n’ose même pas imaginer ma colère qui en découlerait !

J’vous dis moi, j’vais m’faire chier rien que pour le recroiser encore en rêve, et la prochaine fois, je lui râle dessus sévère. (Bon, peut-être après l’avoir embrassé encore une fois, et croquer dans sa jolie peau douce, et  *Biiiipppppp*  et *biiiiiip* et *biiippppppp* …)

Bref, *ahem ahem*, Camille reprends-toi ! …. Mais il est vrai que c’est pour lui que je manipule autant ma magie personnelle et que je sollicite autant les forces de l’Univers. C’est indéniable.

Aurais-je envie de faire autre chose de mon potentiel ?

Hum… Je vois certains de mes guides me sourire à l’instant même. Les vilains… Voilà où ils voulaient en venir hein… Cette foutue question qui sort de nulle part.

C’est une question sur laquelle je dois vraiment me pencher.

Disons que ma priorité est l’Amour, le reste est éphémère.

Peut-être.. Je ne sais pas. Parce que vu qu’on me dit que je serais obligée de travailler sur tout ce que je déteste, à savoir les dimensions sombres, il y a intérêt à ce que la vie me rende de sérieuses contre-parties. Pour m’investir, cela doit forcément motiver ma passion. Sinon, il me sera impossible de faire les choses à contre coeur.

Disons que les magies que je travaille sur moi, et mes accès personnels, sont pour des objectifs particuliers et très précis. Certes, j’en partage sur mon blog, Mais pour l’instant, je ne vois pas trop comment faire en sorte que mes capacités puissent servir de manière extrêmement précises et plus concrètes encore. J’ai bien un projet, mais encore faudrait-il que la vie me l’accorde celui là…

Nous verrons. Avec le temps. 

En attendant, je vais tâcher de rayer certaines choses de ma liste des grosses priorités. Mais y’a encore du travail, beaucoup de travail… Mais que veut-on, on n’a rien sans rien. Sauf des cadeaux, mais ce n’est pas tous les jours Noel.

 

Bises

 


Source: les guides 1

2 Comments

  1. Alone

    Salut, Dis moi selon toi d’où viennent les attirances que nous avons pour certaines choses ? Par exemple j’ai toujours aimé les vampires et les loups garou dans les livres sans raison apparente. Est ce que ça une signification au niveau de l’âme ? Je pense que je veux juste comprendre d’où est-ce que cela peut venir tout ce que nous aimons, nos fantasmes, ce que nous détestons etc……

    Voilà voilà passe une bonne journée et bon courage pour la suite de ta formation 😉

    1. Spiritual Flower

      Bonjour Alone,

      Les attirances viennent toujours de nos affiliations, aspirations, ou affinités éneŕgétiques.

      Nous ne sommes pas attirés par hasard, même i parfoi l’âme passe par le biais de pistes d’informations et de mises en relations pour nous éclairer.

      Bises

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