Bizarroïde

 

Aujourd’hui, clairement, j’inaugure ma catégorie de rêves classées «bizarroïdes », autrement dit, plus bizarre, tu meurs.

Mais alors attention hein…. dans le genre précis…. faut pas sous-estimé un rêve bizarroïde…

Je me souviens principalement le passage des souterrains.

Il y avait un groupe d’adultes qui étaient responsables d’enfants.

Il existait un endroit caché sous terre où les enfants et nous pouvions aller en cas de besoin.

Cet endroit sous terre était un labyrinthe d’ascenseurs et de voies très noires, très sombres.

Pour descendre, il fallait prendre une lampe généralement.

Les enfants étaient en danger et devaient aller se réfugier dans les souterrains.

Un groupe de malfaiteurs voulant à tout prix récupérer l’enfant prit alors les ascenseurs.

Ce groupe n’était pas normal. Il était composé de groupes de gens avec des armes qui n’existent pas dans notre monde actuel. Je ne sais pas même comment mon inconscient a pu en inventer d’aussi gores que celles-là.

Il y avait deux types d’armes :

La première était comme un long fusie à pompe mais avec un calibre rectangulaire, arrondi et très large. Cette arme lavait deux options. Soit, elle lançait une onde choc qui désintégrait tout le corps en l’absorbant comme source d’énergie qui servirait de prochaine « cartouche », soit elle transformait le corps en un liquide gore sur le sol. Et c’est là ou intervenait la deuxième arme.

Celle là était assez longue, et ronde de calibre. La circonférence de l’embout était de la taille d’une main à peu près. Cette arme réabsorbait le liquide au sol et la repropulsait en la désintégrant et la transformant en une espèce d’onde à réaction (un peu comme la première). La moitié de l’arme était en une matière transparente afin de voir le niveau de liquide intégré.

Ces hommes avaient quelques choses de très malsains. Ils prenaient beaucoup de plaisir à réduire ces hommes en cartouches à propulsion magnétique.

Voir ces armes en marche est quelque chose que vraiment, je me demande comment j’ai pu même imaginé cela. Elles étaient d’une «efficacité » incroyable. Une fois enclenchée, le corps automatiquement se retrouvait en liquide intégrée à la machine. Et je revois parfaitement la scène de l’arme récupérant le sang par terre.

Moi j’observais la scène de très loin. J’étais un de ces adultes qui devaient retrouver l’enfant avant qu’eux ne l’atteignent. Je les avais entendu prendre un ascenseur souterrain juste après avoir commencé ma descente. Je partis sans aucune torche. Je n’en avais pas besoin. Je pouvais très bien me repérer dans le noir et ma vue me permettait de zoomer même de très loin, je pouvais même aussi voir la scène sous différents angles, un peu comme des caméras placés partout dans un environnement. Je pouvais voir l’ascenseur qu’ils avaient pris. Je le regardais descendre pour voir à quel étage il s’arrêterait. C’était le 167 (ou le 107?) C’est en sortant de là que le massacre a commencé.

Voyant la scène, je me suis retrouvée un peu au-dessus d’eux, perché quelques étage au-dessus.

Les souterrains n’étaient pas non plus sans danger. Il y rodait des créatures particulièrement féroces aux dents très tranchantes. Un peu comme les chiens de résident evil mais de chair blanche grisâtre, et complètement retransformés en monstre déchaîné.

Je me suis amusé par un tour de passe -passe de faire en sorte que les méchants se retrouve bloqués dans l’ascenseur avec la bête. En refermant l’ascenseur, la porte avait bloqué la mâchoire de la bête. Mais qu’importe. Cette bête même bloquée trouverait le moyen de tuer tout ce qu’elle a autour d’elle.

Je repartis alors retrouver l’enfant.

Je trouve une salle . Un laboratoire bien caché. L’enfant était là, mais il fallait faire vite. Je crois que tout était entrain d’exploser.

Cet enfant avec des brûlures sur le corps, enfin des espèces de marques partout. Elle ne pouvait pas se relever et marcher seule. Je vais pour la récupérer, mais mon regard croise celui d’un autre enfant. Une jeune petite fille tout apeurée était là.

La première allongée me dit : «  c’est ma mère. Ils l’ont cloné. »

 

Je ne pouvais prendre qu’un enfant avec moi, et ce clône mourrait ici dans ce laboratoire qui l’aurait fait naître. Elle avait un regard triste sur le visage, elle n’avait asbolument pas l’air de comprendre ce qu’elle faisait ici ni pourquoi elle était ici. Son visage m’a beaucoup marqué.

Je pars donc avec celle que j’étais venue chercher.

Je la dépose plus loin dans une pièce . Et lui dit que je reviendrai la récupérer plus tard.

Sur le chemin, je m’arrête et je me dis : « J’ai eu tort. »

Je n’aurai pas dû la laisser seule dans cette pièce et fermer la porte.

Je reviens pour la chercher et elle n’ai plus là.

 

Changement de décors.

Je croise une personne qui écrit des livres pour méditations et visualisations. Elle en avait écrit plein. Je vois toutes ses couvertures défilées. Certains étaient traduits en anglais aussi. Elle en avait écrit plus de 10 différents. Je ne sais pas d’où elle sortait tout ça, tout ce qui était écrit dans ces livres. Ce n’était pas compliqué ce qu’elle écrivait, bien au contraire, c’était très accessible et limite enfantin. Mais comment avait-elle matière à écrire autant de choses ? Nombre de ces bouquins, il y avait beaucoup de reformulation, et de petites choses qui étaient dites différemment d’un livre à l’autre, mais pourtant, bon nombres de ses livres étaient prisés. Enfaite, je ne comprenais absolument pas d’où elle sortait tout ça. Cecidit, je n’en restais pas moins admirative, parce que quelque part, si je pouvais faire pareil, ce serait cool.

 

* * *

 

Bon niveau interprétation, ben…. je ne pense pas grand chose là tout de suite.

Ce matin quand je me suis levée, je n’ai pensé qu’au terme « bizarroïde » et ma nouvelle catégorie de rêve « plus bizarre tu meurs ».

Ma phrase « j’ai eu tort » a résonné pendant une bonne demi heure.

Points marquants :

  • pas besoin de torches, je me repère très bien dans le noir

  • ma façon de voir la scène sous différents angles

  • les armes, bien qu’elles semblaient venues d’ailleurs, je n’ai pas eu peur et j’ai fait en sorte de me débarasser des vilains

  • découverte d’un laboratoire aux pratiques pas nettes

  • pourquoi je n’ai pas essayé de sauver le clône ?

  • Et le final « j’ai eu tort » j’ai laissé l’enfant et il est parti.

 

Bon le bilan n’est pas joyeux joyeux je trouve.

Va falloir qu’on m’explique. Hum… est-ce que j’ai la possibilité de demander à mes guides de m’aider à interpréter ? Est-ce que moi je serai capable de percevoir leur aide sur l’interprétation de rêves ? … bah écoutes… on va tester.

 

Ma perception de l’instant :

 

– tu n’as pas fait le bon choix.

– Lequel ?

 

– Celui de laisser l’enfant seul en fermant la porte derrière toi.

– Mais je suis revenue, elle n’était plus là. J’y comprends riiiiiiiiennnnn je suis une bille en interprétation de rêve…. je préférai quand je vous voyais en rêve conscient et que vous me disiez c’est ça pour telle et telle raison. Ah ça ! J’adore ! Mais là pfffF… avec un rêve aussi chelou… qu’est-ce que tu veux que je comprenne ?

– Que tu as eu tort. Pourquoi es-tu partie ? Pourquoi l’as-tu laissé seule ?

Je ne sais plus pourquoi. Je ne sais pas pourquoi. Tout ce que je me rappelle, c’est qu’au moment où je me suis dit « j’ai eu tort » mon premier reflexe a été de la retrouver rapidement.

O tiens d’ailleurs, je me souviens d’un truc.

Je crois que je me suis réveillée juste après le passage bizarroïde à cause de mon réveil, et il me semble que j’ai demandé une explication en me redormant pour m’éclairer parce que je n’y comprenais absolument rien. ‘pourquoi avais-je eu tort ?’

Et ensuite, je me souviens du passage avec cette écrivain.

 

C’est quoi le lien entre les deux passages de rêves ?

Je crois que c’est l’enfant.

 

Ca m’énerve… ca m’agace ce genre de rêves où je ne comprends rien.

 

 

D’ailleurs, je me souviens aussi qu’à la vue de la petite fille avec les marques qu’elle avait sur le corps, ça m’a fait pensé à mon avatar du forum (mon image de femme bleue)

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Elle avait le même genre de marques partout.

Je savais bien qu’en choisissant cet avatar ce n’était pas pour rien. Je savais que ces marques sur le corps représentait un certain dommage subit, comme des croûtes de cicatrices, des marques où elle a souffert. Je le savais bien. Et pourtant. Cet avatar me convenait à la perfection car va savoir pourquoi, il me représentait à merveille.

 

 

La vue de cette enfant aux mêmes genres de marques m’avait beaucoup surprise dans le rêve, elle aussi avait subit des dommages, comme si c’était des réactions à des tests de laboratoires.

 

Peut être que c’est moi qui teste cette enfant comme un rat de laboratoire. 

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Source: Magie 4

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