Bonjour à tous,
Aujourd’hui, j’aimerai vous parler de frénésie du changement et de son effet dunning kruger.
En réalité, cette courbe, nous la vivrons de très nombreuses fois avec la connaissance astrale.
Quand on commence l’exploration de soi, l’aventure au sein des mondes astraux, et la rencontre d’entités, s’il a bien un notion à comprendre, c’est que la plupart du temps, vos sujets de prédilection, vos envies de découvertes et vos aventures n’évolueront pas toujours à un rythme effréné. Par contre, votre sentiment de tout comprendre et d’avoir la science infuse, ça, ça évoluera en flèche.
Ce n’est pas parce que vous avez une ou deux informations que tout va dépoter à ce rythme et que vous allez tout comprendre de comment ça marche et pourquoi. Et inversement, ce n’est pas parce que vous évoluez lentement que tout sera toujours lent et vous ne saurez jamais rien.
Nos corps évoluent sur différents plans en parallèle, et ce, à différentes temporalités. Il est utopique de croire que notre humanité peut tout suivre et tout comprendre.
Bon gré mal gré, nous sommes forcés de lâcher du lest dans la compréhension des sujets et de mettre les informations de côté. Car au début, avec seulement quelques brides, on se croit dans la compréhension du monde et dans l’accès à la vérité toute puissante enfin révélée à soi.
Il est tout à fait possible que nos vérités soient pétées par des nouvelles informations et que tout notre socle de croyances s’effondre avec une seule vision, une seule phrase, une seule sortie astrale. C’est comme ça. Quand on part à l’aventure, il faut accepter que le nouveau puisse changer l’ancien, ou plutôt tout fracasser lamentablement.
Voilà pourquoi on dit qu’il faut garder la porte ouverte. On peut se reposer sur nos lauriers, tout comme le jour où les schémas pètent, nous n’aurons pas d’autres choix que de l’accepter.
Cela m’est arrivée plusieurs fois. Ce n’est jamais agréable mais cela fait partie de l’apprentissage. Cela vous arrivera aussi. C’est aussi une des raisons pour laquelle il m’arrive de laisser des gens foncer droits dans le mur. Parce que le savoir n’aide pas forcément.
Le savoir, c’est le pouvoir, mais à quoi ça sert, dans quels buts ? Cela va-t-il desservir ? Souvent, comme on dit, « vaut mieux fermer sa gueule ».
Les guides aussi n’hésitent pas à nous laisser foncer dans le mur de l’ignorance et du « je-sais-tout », ils sont patients, très patients. Certains attendent juste le moment où on comprendra enfin vos erreurs. D’autres au contraire seront exaspérés par notre attitude supérieure de « je-sais-tout ». D’autres encore planifieront la vitesse et la puissance du fonçage dans le mur. That’s life. Ce n’est pas grave d’osciller entre ignorance et savoir. Cela fait partie du jeu et du rythme d’intégration des informations.
On ne le répètera jamais assez mais ne vous formalisez pas trop dans vos aventures. Gardez précieusement les bribes d’infos et passez à autre chose.
Rappelez-vous que ce n’est pas parce que vous avez entre-aperçu un sujet il y a deux mois, que vous allez pouvoir avancer dessus à votre guise. Parfois, vous y arrivez, mais 99% du temps, vous n’en reverrez peut-être plus la couleur avant de longues années au détour d’un carrefour improbable. Là encore, cela fait partie du jeu.
Voilà pourquoi on vous dit de noter vos aventures, pour qu’un jour, si un complément d’informations tombe, vous pouvez refaire le lien avec vos expériences passées qui ont pu devenir floues avec les années.
J’ai, par exemple, des dizaines de sujets en suspens, certains gros que je tente d’avancer depuis 15 ans. Je ne m’en formalise pas. Par contre, je reste attentive aux opportunités et aux ouvertures / aventures relatives au fil que je souhaite explorer. Seulement, la plupart du temps, le fil bifurque sur un autre sujet prioritaire. Et voilà comment tout prend du temps.
Emmagasinez ce que vous pouvez, faites en sorte de suivre votre fil et au fur et à mesure de votre avancée, écrivez les updates de temps à autre, et vivez la vie qui elle, ne s’arrêtera pas pour vous.
Cela ne sert à rien de vous mettre la pression pour « voir la fin » d’un sujet, d’autant plus que votre part humaine ne peut pas suivre le flot désincarné. C’est trop massif pour n’importe qui.
Ceux qui pensent pouvoir gérer un tel flux se fourvoient. Nous n’avons pas d’autres choix d’accepter des brides que notre conscience acceptent de partager en fonction de ce que nous sommes capables d’intégrer.
Avec un peu de chance, du travail, et beaucoup de patience et de persévérance, vous pourrez entrevoir d’autres sujets, mais il ne faut pas se leurrer, tous les sujets que nous avons, finalement, nous les entrevoyons tous, même moi qui ai passé la moitié de ma vie dedans.
Avec le temps et les échecs, on peut arriver avoir un bout du puzzle, mais il y a tellement de ramifications que bien souvent, la conception du départ n’a plus rien à voir avec la suite.
Cela mature, comme un bon vin. Il faut se laisser le temps et s’offrir des opportunités de grandir, chacun à son rythme.
Savoir ce que vous êtes n’est pas une finalité. Connaitre votre affiliation, le nom d’un de vos guides ou une planète, n’est en rien une finalité. C’est un flocon de neige qui se dilue dans une immensité d’informations. Ce n’est pas un mot qui fait de vous ce que vous êtes. Si cela peut aider de mettre des mots, c’est bien, mais il ne faut pas oublier que la définition vient en donnant un sens un mot et en le vivant.
Bonne journée
Bonsoir chère Camille,
J’ai un partage à faire concernant le flux désincarné relié à l’inconscient qui est pour moi l’interface entre l’ego, la conscience terrestre et la partie immergée de l’iceberg, concernant nos énergies expérimentées et incarnées dans notre corps.
Mes mots sont loin de l’expérience en elle-même, ils sont très maladroits.
Et encore, ça doit être une parcelle de ce flux !
Les prises de conscience passent dans ce flux, les révélations « vite fait bien fait » (aussi !) pour te faire cogiter avant de passer outre par dépit du bon sens.
Exemple simple : « On » m’a transmis des informations sur l’origine des espèces. Un gros sujet à lui tout seul. Et puis « pouf ! », après la notification, un level up des énergies et hop ! Plus rien ! (Cela commence à dater mais l’expérience, bien que rapide, était marquante. J’ai eu plus tard d’autres informations en lien avec celle-ci mais ça reste minime, bien qu’immense en répercussions).
Pareil, il suffit d’un mot ou deux pour ouvrir des sujets. Me concernant, c’est le Lien, et cette importance du rôle du Prêtre parmi tout ce que mon être véritable SAIT faire : combattre, guérir, être un médiateur, modifier, créer, détruire, rééquilibrer, se transformer à un niveau essentiel etc.
C’est vrai que c’est facile de se dire « C’est bon, j’ai tout compris ! » mais chaque sujet est d’une immensité à lui tout seul ! WAW ! Et certaines découvertes, certains choix amènent des cadeaux et des découvertes insoupçonnés… et aussi de faire face à de dures réalités. Il m’arrive de râler sur la Temporalité différente, rien qu’entre les âmes et les humains incarnés. Cela me met en rogne facilement…
Ce n’est pas toujours simple de trouver son rythme de croisière évolutif, le jeu de la comparaison est facile. Mais plus on est sur le bon chemin, plus les solutions pour avancer s’ouvrent à nous.
Exemple simple : Depuis que je prends plus soin de moi, je m’oriente vers des choix plus en accord avec mes valeurs profondes, avec ce que j’aime faire pour incarner les forces qui m’animent, et en activer d’autres au fil du temps. Comme le tout dernier cadeau en date venant de mes énergies au-delà : la Flamme de l’Espérance. Mais ça reste très personnel. La manière dont je le nomme, à quoi correspond ce Feu, cette Flamme pour moi et comment elle se manifeste à travers mes énergies.
Un dernier mot sur les guides et la politique de « foncer dans le mur ». Cela m’arrive avec un de mes anges gardiens depuis petite. Il est si simple de se fourvoyer et croire qu’on a raison (alors que clairement non !). Et la patience des guides n’est pas à la même échelle temporelle que l’humain donc bon… on peut toujours courir quoi !
Mais non, ce que je raconte n’est pas si compliqué ! Cela vise juste à éclairer un peu plus cet article qui peut vite faire mal à l’ego. Et aussi, un besoin de faire des partages éparses mais cohérents pour répondre à cet article plein de bon sens.
Bises étoilées.
Salut Charline,
Tu m’as fait rire… les prises de conscience sont à la fois incroyables et très frustantes ! Certaines arrivent et repartent aussi vite que leurs ombres ! Et pourtant le truc là, le machin, le bidule est là là, sur le bout de la langue ! On sait, on le sent qu’il est là en nous, et pouf !
Tu me parles de la Flamme de l’espérance ? Ça m’intéresse.
Des bisous
Salut Camille !
Oui, avec plaisir ! C’est tout récent, la Flamme de l’Espérance. Son nom m’est venu de suite. Je vais te remettre un peu de contexte.
La souffrance de l’absence physique de son autre bout de Coeur/Oeuf originel est difficile à supporter quand on a conscience du lien (et pas l’autre). Dans mon cas, c’est évident que ce n’est pas une « bonne » temporalité pour une réunion, même temporaire, le temps d’une vie terrestre. En tant qu’humaine, j’essaie de transformer ma douleur en créations (vidéos + écrits). Et… j’ai eu pas mal d’interventions d’êtres, pour mieux vivre la situation et m’apaiser un maximum, le dernier en date étant le Phénix d’Eau (je ne savais même pas qu’il existait !).
Et la plus récente intervention vient de mes propres énergies. J’étais allée pleurer dans mon lit, trop mal pour faire quoique ce soit d’autre, cherchant de l’aide et ne sachant même pas ce qui pourrait me réconforter. Je n’avais même pas envie de sentir ses énergies à LUI, ça n’aurait que renforcer ma douleur sur le moment…
Et là, pendant que j’ai les yeux fermés, je perçois un ange d’or un peu flou. Je reconnais vaguement mes énergies au-delà mais sans plus de réaction de ma part. Et l’ange me tend une flamme. Le nom me vient de suite : La Flamme de l’Espérance. Il me tend la flamme qui était dans sa main et la met sur la mienne. C’est à ce moment-là que je reçois quelques informations dessus.
La Flamme de l’Espérance est un cadeau rare qui permet d’aider à trouver des solutions à des situations considérées comme impossibles pour la majorité des êtres. Elle est une extension de l’intelligence spirituelle, une manière de l’alimenter et de la faire grandir. Un peu comme tu rajoutes une épice ou une herbe aromatique qui change l’ensemble d’un plat. Elle est liée à la générosité, au don de soi, à sa capacité à aimer, à la résilience, à la capacité de supporter des douleurs par amour pour soi et/ou pour les autres etc. tous ces champs-là.
Elle est rare dans le sens où il faut plusieurs conditions pour la débloquer en soi. Tu en parles très bien dans tes articles sur les sceaux sous conditions. C’est le même fonctionnement mais en lien avec le développement de ses qualités propres et liée aussi à une posture dans sa relation à la vie, au monde, à soi, aux autres… C’est difficile à expliquer.
Pour mon être véritable, elle se manifeste surtout dans cette résolution des problèmes à ce niveau « impossible », dans le sens où l’intelligence spirituelle est encore plus fine, plus précise, plus englobante aussi dans ses missions et son rôle.
Comme un code de triche dans les jeux vidéos. Mais qui ne reste qu’une extension malgré tout. Elle a ses caractéristiques uniques dans la manière dont elle s’implante chez chacun même si sa nature reste inchangée dans son essence propre.
Si je devais la décrire en une phrase, pour nommer sa nature, ce serait celle-ci :
La Flamme de l’Espérance éclaire les nuits les plus noires pour montrer par son existence que l’impossible est une perception et non une réalité.
C’est une flamme réconfortante, vraiment ! L’accueillir m’a fait du bien, elle reste un cadeau précieux. Voilà le peu que j’ai pû en comprendre.
Des bisous.
Ah la magie des Flammes… quelles belles magies…
Je ne connaissais pas ce type de Flammes, du coup, je suppose qu’il doit en avoir d’autres…
ça donne envie d’aller à la chasse aux flammes ! héhé
merci pour ton beau et doux partage
Il nous rappelle que la Lumière trouve toujours un moyen de nourrir l’espoir.