Des univers composés de prisons dans l’astral

Aujourd’hui, j’aimerai vous partager une réalité quelque peu difficile mais très répandue dans l’astral. Il s’agit de l’existence de prisons, certaines basiques ayant plusieurs niveaux de sécurité (en moyenne au nombre de 5) à des systèmes nettement plus sophistiqués mis en place sous la direction d’entités sombres. Dans ce cas, les compétences magiques et l’aptitude au combat sont une nécessité pour s’y retrouver confronté.

La nature de la prise en charge rattachée à la demande d’aide


Je le dis assez régulièrement, la Lumière n’envoie pas systématiquement des énergies uniquement lumineuses faire le sale travail. Pourquoi ? Parce que les dégâts sont parfois monstrueux à prendre en charge. Il faut que le taux énergétique se maintienne dans la dimension, puisse gérer les flux en mouvements en plus de la densité présente et prenne en compte les combats. Le plus évident est alors d’envoyer une entité familière avec ces énergies-types.

Ce sont des problématiques qui ont souvent des impacts sur des populations entières, des clans, des communautés, ou parfois même des mondes entiers. L’étendue du complexe peut s’étendre à une zone délimitée au sein d’une dimension ou aller jusqu’à plusieurs ilots galactiques.

La plupart des prisons libérées sont d’abord infiltrées, et ce, afin de pouvoir remonter jusqu’au commandement et/ou détourner l’attention pendant qu’une brèche est créée par un accès extérieur déterminé par l’équipe d’infiltration.

Avant la prise en charge, l’évaluation des Risques, Pertes et Dommages collatéraux


– Jusqu’où la lumière est prête à aller dans la perte ?
– Quel est le risque en cas de non prise en charge ?
– Quel est l’objectif de la Lumière et quel est l’objectif sombre ?
– Quels sont les délais ?
– Quelle est la valeur des pertes ?
– Quels dimensions d’ancrage et qui a la main dessus pour agir ?
– Qui a fait la demande initiale d’intervention ?

Il ne faut pas croire que toutes les demandes soient répondues. Cela passe par une gestion de flux et surtout, cela dépend de l’entité qui a la main dessus pour agir. A partir de là, il faut bien comprendre que toutes les entités n’agissent pas avec le même degré de puissance, ni avec la même « finesse » dans l’action. Voilà pourquoi je parle de dommages collatéraux. Parce que dès qu’il est question de sombre et de guerre ou d’attaques, on peut être sûr qu’il va y avoir des pertes en route, dans le feu de l’action. Ce sont ces pertes qui sont importantes à également évaluer.

Toutes les prises en charge ne sont pas belles. A cause de la nature des flux, des combats sur place et de la stratégie d’approche, il arrive que certaines pertes soient acceptées au profit des enjeux. Celui qui intervient a sa propre balance interne et évalue en permanence la situation en cours. Toutes les entités qui interviennent sur site n’ont pas le même niveau de « tolérance » de pertes et dommages collatéraux.

Dans l’absolu, il est certain que la Lumière aimerait pouvoir prendre soin de tout le monde, mais en réalité, une fois sur place, tout est plus délicat.
Il n’y a pas de règles prédéfinies. Cela dépend de la nature de la prison et de qui va sur place gérer la mission délicate. Selon l’entité choisie pour résoudre le problème, la marge acceptée peut être très vaste, surtout si le problème a un délais précis pour résoudre la problématique.
Plus le délais est court et le couloir de la manoeuvre étroit, plus les forces mises en place seront explosives et brutales, et ce, afin de garantir une issue favorable. Quand bien même un ange du Milieu ou un ange Sombre accepterait d’agir, il n’est pas rare qu’après plusieurs tentatives, la Lumière accepte des conditions moins regardantes quant au prix à payer.

– « Camille », dit une voix tandis que je me lève me faire le café au milieu de l’écriture, « la Lumière est très regardante… Toi nettement moins…, » bredouilla-t-il. « Non mais je ne dis pas ça parce que… enfin… hm… »

– Bah dis-le. Va au bout maintenant que tu as commencé.

– « Non mais… c’est que… tes énergies sombres sont un peu… heum…. tu sais… en combat… elles sont un peu… Non… mais j’dis pas ça parce que…. mais quand tu vas dans ces mondes… tes énergies…et hum… tu perds parfois le fil… et heum… ça fait plein de dommages collatéraux…. hm… Non mais on t’accepte comme tu es… c’est juste que-que… »

– C’est pas de ma faute. Ca me fait l’effet d’un fauve en cage ces mondes ! J’en ressors toute excitée ! Tu trouves que y’a encore trop de morts sur ma route ? J’ai réduit pourtant ! (silence) quoi ? J’ai réduit, non ?

– « Euhm…. hm…. La dernière mission, 18. »

– Putain, tu comptes ! Vous comptez mes quotas, j’en étais sûre !!! 18, ça va ! C’est mieux qu’un cratère ! Je progresse de ouf en fait !

– « Euhm… P-pas vraiment Camille… »

– T’sais quoi.. dis rien, mon café est chaud.

« Est-ce que… Est-ce qu’on pourrait te demander quelque chose ? »

– (*sirote une gorgée*) Fais-moi rêver.

– « Tous ces morts que tu vois devant toi… ceux qui meurent devant toi, est-ce que… est-ce possible pour toi d’agir ? Tu peux les aider, même à l’intérieur de la prison… Tu peux leur éviter parfois un sort très dur… »

– Si tu parles de la nuit dernière, cela impliquait de foutre en l’air mon infiltration, donc je n’ai rien fait. Je les ai laissé se faire torturer devant moi sans lever le petit doigt. C’est ce qui a d’ailleurs mis en lumière l’entité démoniaque présente et m’a permis de la traquer ensuite.

« Tu as senti leur souffrance, tu as vu ce qu’ils ont faits. Tu te lèves avec ça. Tu les vois souffrir, tu les vois mourrir pour d’autres. »

– C’est moche la vie, tu ne trouves pas ?… C’était des soldats. Ils ont fini comme des soldats mutilés. Oui c’est triste, mais c’est la vie. C’est le risque quand tu es soldat dans une prison astrale avec des entités sombres qui chapeautent les enfermements magiques. Quand on va dans ces mondes sombres, rien n’est joli. Rien n’est doux, tendre et merveilleux. On ne peut pas sauver tout le monde. Je ne peux pas sauver tout le monde. Souhaites-tu que je retarde quelques morts ou que je ferme la prison entière ?

– « Est-ce que… est-ce que… « 

– Tu voudrais que j’essaie la fois prochaine, c’est ça ? Tu voudrais que quitte à flinguer la dissimulation de mon aura, je sauve ceux qui sont destinés à une mort certaine parce qu’ils ont eu le malheur de se trouver sur ma route au cours de ma mission ? … (il acquiesça timidement). On verra.

Il sourit, plutôt satisfait de ma réponse et ne dit plus rien. Soit. Je reprends donc l’écriture de ma super Page.



A chaque prison astrale visitée, on se demande combien de morts on peut tolérer pour atteindre le but, quel type de magie utiliser pour protéger autant les victimes que pour arriver à ses fins. Quel est le prix d’une existence face aux intentions et projets de la prison ?
Nombres d’entités bienveillantes pensent parfois que certains sites ne peuvent pas être fermés, pas parce que les anges ne le veulent pas, mais parce que la situation est tellement complexe sur place que peu d’entités osent vraiment tenter le coup, et qu’en plus, pour agir dans certains mondes, il faut avoir le bon ancrage dans l’espace dimensionnel.


Partout à travers les univers, voici les prisons les plus courantes :

Les travaux forcés : l’utilisation des ressources aux seins de camps fermés, dont les objectifs sont variables. De la création d’artefacts, d’armes magiques, de flottes entières, ou simplement pour l’entretien du clan entier dans la confection des articles du quotidien.


Les laboratoires : l’étude et la manipulation des corps, allant de la modification génétique, aux extractions magiques, jusqu’aux démembrement total puis reconstruction avant lobotomisation et intégration d’outils mécaniques. Le but ici est de créer de la main d’oeuvre. Militaire pour certains, chair à canon pour d’autres, ou esclaves soumis pour faciliter les tâches quotidiennes.


Les ressources énergétiques / nourriture : Les êtres sont parqués dans le but d’être tués, puis transformés en ressources nourricières directes. Leur feu intérieur est transformé en nourriture énergétique, comme on pourrait manger une barre énergétique à 4 heures. C’est ce que moi j’appelle, les « parcs de bétails à disposition ». La plupart du temps, ce type de prison est créé dans une illusion qui créé un monde alternatif. Le prisonnier n’a pas conscience d’être au coeur d’une prison. Il ne le réalise qu’au moment où il se sent mourrir. Les rares prisonniers qui arrivent à sortir de l’emprise illusoire sont endoctrinés afin de servir d’intermédiaires et gérer une situation qui pourrait être délicate pour le prisonnier. Ce n’est pas qu’ils acceptent leur « travail », mais simplement qu’ils ont fait le choix de vouloir rester en vie à tout prix.

– Les prisons planétaires sont parmi les plus complexes. Parce qu’il ne s’agit pas d’une simple infiltration, mais de tout un système à démonter. Les forces mises en place pour contrecarrer leurs plans doivent donc être à la hauteur de la puissance mise en place dans leurs intentions.
L’implantation de ce type de prison ne se fait pas du jour au lendemain. Ce sont des constructions qui s’étalent dans le temps de part leur stabilité, fiabilité et solidité au sein de l’espace galactique choisi. Ces clans bénéficient d’armées entières accompagnées de flottes de guerre. De plus, elles auront des bases d’accès sur 1 voire 2 planètes annexes les plus proches. Ces points de contrôles auront des rampes qui permettront de se catapulter rapidement d’une base à l’autre en moins de 20 secondes (entre 5 à 10 secondes la plupart du temps). Le tout est de trouver le pont de lancement qui est souvent gardé par une faction de l’armée oppressante.


Prenons le cas d’une planète prison-type laboratoire qui existe encore actuellement. Ayant un accès à la dimension terrestre, l’ensemble a été bâti sur leur planète en intra-terrestre, avec des trous gigantesques servant de tunnels qui s’enfoncent dans les profondeurs de la croute. Le tout a été créé en système vertical, à l’image d’une racine s’enfonçant dans la terre. On a un ascenseur qui descend, et les ramifications en horizontal qui comportent toutes les salles de laboratoires et d’expérimentations multiples.

Chaque ouverture de tunnel est surveillée par un bataillon de flottes. La planète entière est recouverte de trous relativement espacés. A l’intérieur, les humains sont kidnappés et étudiés pour leur génome, dans un but de clonage humain à des fins esclavagistes. Avoir une population de copies d’humains modifiés fait une bonne ressource numéraire soumise, manipulable et jetable.

Régulièrement, grâce aux multiples allers et venus avec la Terre, leur parc de cobaye est renouvelé sans cesse. On pense que les problèmes d’enlèvements avec les extraterrestres sont un mythe, mais en fait, pas du tout. C’est un système nutritif bien rôdé dans l’astral, et ça fonctionne plutôt bien pour eux. La logistique est d’une fluidité remarquable.

Si cela a été mis en place sur une planète entière, on peut aisément en déduire qu’il y en a plusieurs dans différents systèmes, mais encore faut-il avoir les ressources pour maintenir un tel projet. On parle donc là d’implications assez colossales. Il faut un clan entier, il faut les soldats, il faut l’endoctrinement, il faut les généticiens, il faut la magie nécessaire et le ravitaillement pour la flotte. Ce ne sont pas des ressources que tous les clans ont à disposition.

On pourrait alors penser que tous les anges s’attardent sur ce problème. Non, pas vraiment. C’est un problème parmi des millions d’autres au sein des mondes. Partout c’est la guerre, partout il y a des victimes, des morts, et des cas sur lesquels s’attarder. La demande de prise en charge a bien été émise pour ce problème. Il sera traité quand une des solutions planifiées pourra être mise en place sur le terrain.


A chaque prison, vient son approche de libération. Toutes les prisons ne fonctionnent pas sur le même cas de figure. Et le plus difficile reste de trouver une entité qui acceptera d’agir dans le cadre d’une libération.

Le niveau de sécurité dans les prisons astrales

Pour les prisons à environ 5 niveaux de sécurité, il suffit de remonter les niveaux de l’intérieur, forcer l’entité sombre à se manifester (et souvent de type démoniaque), la liquider, puis désarmer le poste de commandement.

Chaque niveau se différencie par l’illusion de masse mise en place au sein de la structure complète. On peut voir ça comme un « oignon d’enferment ».
Plus on monte dans les différentes couches de niveaux de sécurité, plus on constate que l’illusion est de moins en moins dissimulée mais les forces d’asservissement elles, augmentent de manière exponentielle.

On leur fait croire une vie toujours meilleure en avançant, et ne se rendent pas compte qu’en réalité, plus elles avancent, plus l’étau se referme sur elles. Les premiers niveaux, la liberté, la beauté, le confort est mis en avant. Ensuite l’asservissement dans les niveaux moyens, et très vite, « l’enfer » dans les derniers niveaux.

Niveau 1 et 2 : absence de barbelés, tout est beau, tout semble lumineux. C’est bluffant. Dissimulée dans le ciel et autour de l’espace dimensionnel, une toile d’enfermement invisible. Les âmes sont rabattues dans de beaux espaces de vie où d’apparence, tout semble paisible.
On constate de flux à sens unique. Des âmes arrivent mais ne repartent jamais. C’est le rabattage. On ramène les flux, et on s’assure qu’elles n’aient pas envie de partir d’elles-mêmes. Et quand bien même elles auraient envie, et tenteraient de s’échapper, elles n’y arriveraient pas à cause de la magie qui les retiendraient sur site. Le but est de les pousser à accepter leur sort.
On vend un rêve illusoire, un monde meilleur. On les amène à se sentir bien dans l’espace confiné. Elles peuvent encore sortir des bâtiments, aller et venir dans un espace de nature beau et pseudo-lumineux. L’air est léger, le soleil brille, elles ont encore la quasi totalité de leurs libertés individuelles.

Niveau 3 et 4, le niveau de sécurité augmente considérablement. Les murs deviennent sommaires, on voit les clôtures de sécurité en évidence, des remparts et des portes blindés. L’enfermement est assisté par une magie qui devient palpable et visible.

Le traitement et le conditionnement des âmes commencent. Ceux qui passent du niveau 2 au 3, en général, ne ressortent pas vivants. Parce que l’endoctrinement commence à prendre racine trop profondément. Les libertés sont retirées, l’asservissement est affirmé avec exigeance et cruauté.

Entre le niveau 4 et 5, l’armée ne se cache même plus. L’asservissement est à tous les niveaux. L’armée se plie au règle avec le moins d’empathie possible, tout comme elle est elle-même soumise aux règles dictées. On croise les généticiens, les alchimistes et les démons rattachés au projet. Il n’est pas rare de croiser des armées qui se soumettent non parce qu’elles aiment leur « travail », mais parce qu’elles sont elles-mêmes asservis. Toutefois, il ne faut pas non plus en faire une généralité. Nombre de clans sombres suivent la même ligne d’objectifs parce qu’ils y voient un intérêt en terme de puissance et d’ascendance territoriale.

Le niveau 5 ou le niveau le plus au coeur (pour ceux plus hardcore) est terrible à supporter parce que c’est là où on assiste au pire dans l’histoire de la création, de l’humanité, et du sombre. On se retrouve face à des entités qui voient la Vie comme un objet à façonner à souhaits. Là où il y a de la valeur, il y a de l’intérêt à l’exploitation. Les entités qui ont de tels projets ne voient pas le monde à travers le Bien. Quand on arrive sur de telles infrastructures, on peut considérer que ce sont des destructions de masses, machines de guerres, et sites d’exploitations à grande échelle. On assiste au coeur de ces niveaux à l’étalage de technologies de pointes pour traiter la chair non plus comme une source de vie, mais comme un produit à rentabiliser. Et là aussi, tous les coups, toutes les technologies, toutes les magies sont possibles pour atteindre leurs fins…
Il faut avoir le coeur bien accroché pour faire face à cette dure réalité, autant mentalement que physiquement car les niveaux de noirceur et densité sont parfois poussés à l’extrême.
La règle numéro 1 est de ne jamais sous-estimer la densité sombre reliée à ce type de prisons qui fonctionne en oignon. On ne sait jamais ce qu’on va trouver dans les niveaux les plus sombres. Voilà aussi une des raisons pour lesquelles les entités qui prennent ce type de missions ont des prérogatives énergétiques bien spécifiques. Parce qu’il faut pouvoir entrer sur le site, mais surtout en ressortir en un seul morceau, et ce, peu importe ce qu’on va trouver sur place.

Il n’est pas rare que la Lumière fasse des tentatives d’interventions mais qu’elles aboutissent à un échec avec la mort de l’émissaire envoyé pour négocier la fermeture. Les cas les plus critiques sont lourdement évalués avant la prise en charge. Il y a des pertes et des risques que la Lumière refuse de prendre. Agir oui, mais il faut que les ressources le permettent…

La gestion principale au coeur d’une prison astrale

Pour résumer, dans la gestion d’une prison astrale, on trouvera selon le type de prisons et la gestion :

– Un ou plusieurs clans rattachés au « projet »
– des entités sombres et démoniaques de haut rang
– un ou plusieurs espaces dimensionnels créés / dissimulés de toutes pièces
– de la magie sombre à profusion
– des énergies de dissimulation à profusion
– les magies-sources, les magies à l’origine des artefacts qui ont servi à la mise en place du « projet »
– les généticiens / alchimistes / techniciens spécialisés dans les codes génétiques, ADN, transformation, dissolution de l’âme et de l’esprit
– un poste de commandement / une personne en charge
– des armées ou des clans de guerriers asservies par les clans en charge
– de la magie d’enfermement, d’illusion et d’asservissement
– des enjeux à petite, moyenne et grande échelle.
– des âmes / entités esclaves en charge de l’Administration
– un système de torture physique / psychique / mental / émotionnel
– un espace d’extermination / destructions massifs / un échafaud
– une technologie de transports des corps / âmes -> pour le traitement des vivants / des morts / des corps démembrés / des esprits -> pour l’arrivée / traitement / départ des corps
– une plateforme pour l’exploitation, la « revente » ou « le reconditionnement de la nouvelle marchandise/ produit


A l’intérieur des prisons, on retrouve principalement ces techniques d’illusions de masses :

la dimension illusoire : une dimension illusoire qui a été conçue de telle sorte à ce que les âmes puissent rentrer mais jamais ressortir. Chaque anneau de sécurité a été mis en place pour contenir des masses en fonction du niveau d’asservissement et dissolution souhaités. Les âmes sont petit à petit poussé à progresser vers l’inévitable.

En général, il est très difficile de s’en échapper. Et pour toutes celles qui arrivent à se libérer de l’emprise d’un niveau, elles sont basculées de niveaux et reprisent en charge avec une illusion encore plus forte. Un jeu malsain entre redonner espoir, pour mieux détourner ensuite.

l’illusion de Foi et son endoctrinement : C’est un enferment des systèmes de croyances de l’âme. Les entités jouent entre Foi et perdition par effets de levier. Elles font tomber la foi, et une fois que la perdition se manifeste, elle charge un nouveau programme d’endoctrinement. Cela revient petit à petit à donner une autre raison d’être à la masse.

l’illusion d’impuissance : C’est un effet qui consiste à faire croire à l’entité qu’elle n’a pas la force de vaincre l’asservissement en cours. Elle n’est rien face à la puissance présente. On lui fait croire qu’elle n’est capable de rien, alors qu’en réalité, en tant que Individu de la Source, elle peut toujours faire un appel en son coeur.

Très souvent, ces 3 illusions sont associées ensemble. Mais toutes les prisons ne se préoccupent pas de mettre en place un tel effort d’implantation. Cela dépend vraiment de la raison pour laquelle la prison a été conçue et de la nature du peuple visé. Certaines prisons n’ont que peu de niveaux, celle du rabattage, et celle du transport de masse avec toute sa chaine d’exploitation de masse pour le démembrement et reconditionnement. Comprenons donc que chaque prison a son propre schéma interne.

Le poste de Commandement

Partout où vous allez dans l’astral, il y a un système de Hiérarchie, c’est un système de commandement pur et dur. Même concernant la gestion de la planète Terre dans l’astral, il y a un commandement très actif et très stricte. Il y a une hiérarchie des décideurs, ceux qui gèrent et maintiennent les piliers des forces en place, ceux qui ont la vision du développement et du déploiement des ressources.
Dans la manifestation sombre, pour les coups d’états, on vise toujours le Commandant, le Roi, le Seigneur, le Démon, Le Prince, toutes les entités-types et les présences qui ont le titre le plus gradés de la zone, et pour ça, tous les coups sont permis.


Le sombre se plie à la puissance. Si le commandement est pris, le reste se soumet ou vide la zone et par en retraite pour sa survie. Et si l’armée ne se soumet toujours pas, on va parler de liquidation totale. Mais en général, l’artillerie lourde n’est pas sortie au premier abord. La Lumière rappelle ses conditions et ses objectifs de déploiement, elle n’a pas pour objectif la destruction de la vie. Le sombre accepte ou refuse les nouvelles conditions.

Le sombre peut refuser de traiter avec la Lumière, il peut alors faire appel à des entités neutres pour tenter de faire valoir son droit à part égale avec la Lumière sous forme de requête spéciale. Mais les risques sont les mêmes car une fois les décisions actées, tout le monde devra se plier aux nouvelles directives.

Sachez que peu importe l’entité qui passe un accord dans la zone de guerre, la seule manière que le traité ou l’accord ait du poids, c’est si celui-ci est passé par la personne en charge au plus haut degré.

Un problème n’est jamais complètement traité tant que les choses n’ont pas été clarifiées entre Commandants et que des accords soient mis en place. Les entités qui agissent pour le compte de la Lumière doivent donc être prêts à une confrontation pour soit négocier, soit surplanter l’involution sombre active dans la zone.
Cependant, soyons réalistes : le sombre n’aime pas négocier. Tout ceux qui tenteront la fermeture seront des menaces directes à éliminer. Voilà pourquoi, dans les cas les plus extrêmes, il faut trouver des entités ayant la disponibilité, le réservoir énergétique, et surtout, le rang pour pouvoir agir sans danger.

Il est très courant que les disputes entre les clans ne prennent pas fin à la fermeture du site, et que les troupes soient forcées au retrait, tout simplement parce que les Clans sont trop massifs et qu’on ne peut pas tout traiter à la fois. Il faut alors fermer les projets nocifs à l’unité et que la « carte » des affiliations des territoires soit revue et communiquée aux hiérarchies rattachées en fonction de toutes les fluctuations au front.

Le principe et respect des territoires


La fermeture d’une prison astrale peut engendrer deux cas de figure :

– la dimension relative à l’enfermement est totalement dissoute, elle n’existe plus. Elle est totalement rayée de l’Univers. Le lieu ne laisse aucune trace au sein de la Création.


– Le territoire concerné maintient une indépendance à sa libération avec le peuple oppressé libéré : le clan oppressé retrouve son indépendance territoriale et politique. Il maintient son indépendance à tous les niveaux et se débrouille pour les invasions futures. Et s’il souhaite, il peut demander à intégrer une nouvelle alliance ou voter un nouveau Régent pour l’aider à se garantir une protection future.
Il peut également demander à entrer sous l’égide de la Lumière pour intégrer sa ligne de protectorat.
Ou, s’il s’agit d’un clan sombre, il peut demander une alliance auprès d’autres Clans sombres qui ne chercheront pas à rentrer en désaccord avec leur ligne d’évolution personnelle.

Il est important de rappeler ici qu’il n’y a pas d’asservissement contre uniquement les êtres et clans rattachés à la Lumière. Même au sein de Clans sombres, les disputes, guerres et prisons foisonnent. Il convient alors de respecter les partis et la nature des clans oppressés et oppresseurs.

C’est une notion très délicate à prendre en considération. L’équilibre des forces, c’est aussi cela, il y a l’objectif de l’asservissement, et il y a les entités. Il faut savoir regarder les enjeux, les plans d’évolutions, la nature des peuples, et surtout-surtout, les territoires respectifs.
En gros, on pourrait résumer grossièrement par « Qui emmerde qui ? Pourquoi et à quelles fins ? »


On parle alors ici de respect de Territoires. Et dans l’astral, cette notion est omniprésente. C’est d’ailleurs une grosse part des enjeux, surtout dans un monde qui se construit et évolue dans la Dualité…


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