Ces derniers temps, mes sorties de corps étaient toujours éprouvantes et difficiles. Je restai souvent bloquée dans des entredeux où j’avais du mal à m’extirper. C’est l’envie d’avancer sur mes sujets qui me poussait encore et toujours plus à me démener pour atteindre mes objectifs.
Que voulez-vous, les informations et les dossiers ne se traitaient pas tout seul dans l’astral. Il n’y avait rien de facile en soi. L’exploration de l’astral était à la fois un jeu, mais surtout-surtout, beaucoup de travail personnel à fournir, de la volonté et beaucoup de persévérance.
Je n’avais certainement pas oublié que Sammael, mon ange sombre, avait accepté ma belle idée de projet d’écriture de livre il y a quelques mois de cela.
Il avait bien tenté de l’entamer dès le lendemain de son accord. Ses propres guides étaient venus me voir pour m’aider à mettre en place une passerelle provisoire le temps de l’écriture. Ils me proposèrent le rajout d’un petit module dans mon aura. Sur le moment, l’idée ne m’avait pas plue du tout. Je n’étais pas pour ce type d’approche en modifiant la structure de mon aura interne.
Ils insistèrent à deux reprises (sans arrière pensée, ni vice caché). A la troisième, lassée de me répéter une énième fois, ma main fracassa la mâchoire d’un guide contre un muret. Son sang de couleur bleu ciel gicla de partout. Ah, cette nuit-là, ils me passèrent un très gros savon, et il y avait de quoi… J’avais clairement merdé. En terme de self-control, j’étais très loin d’être un exemple dans l’astral. C’était comme marcher perpétuellement en terrain miné. Sans même le savoir, on pouvait faire un faux-pas, et hop, ça pétait. Avec les années, j’avais appris à prévenir ou donner des avertissements mais il arrivait encore ces fois où la maitrise n’était pas tout à fait celle escomptée.
Inutile de dire qu’après, ils étaient nettement moins enclin à faire des efforts pour me faciliter la tâche…!
Regretter et m’excuser platement n’avait rien changé. Malgré des excuses, je n’ai jamais pu récupérer cette aide proposée. Peut-être voyaient-ils ça comme un retour de bâton pour me donner une bonne leçon.
En soi, les faits étaient clairs : j’avais refusé leur aide en plus de les rejeter avec brutalité. A moi donc d’assumer, et de trouver une alternative plutôt que de rester là à geindre pendant des mois.
Le truc compliqué avec Sammael, c’était qu’il descende à mon niveau énergétique parce qu’il était souvent bien trop ancré dans ses mondes sombres, très loin. La chance que j’avais, c’était qu’il entendait parfaitement mes appels, peu importe la dimension depuis laquelle je l’appelais. Le tout était d’arriver à rester lucide, et de penser à l’appeler. Puis ensuite, faire en sorte qu’il descende, rester toujours lucide, et enfin, se rappeler de ce que je voulais traiter avec lui, et entamer le projet, encore en étant lucide. De gérer ensuite le retour au lit et de me rappeler de tout…
Cela faisait beaucoup de facteurs instables, un lot de probabilités difficiles à aligner.
La main fut vite posée au sol.
– Sammael ? Sammaeeeeeeeel ?! C’est moi !! Tu m’entends ?! On a un projet en cours, tu n’as pas oublié ? J’aimerai te voir pour l’entamer ! Je me fais chier à mourrir en ce moment, j’aimerai bien écrire. Ca te dit on le fait, ce livre, ensemble ?!
Personne ne répondit.
– Sammael, tu dois être loin, je sais que c’est compliqué pour toi de descendre à mon niveau, Ok j’ai une idée, envoie un de tes disciples pour faire le lien et m’amener à toi s’il te plait !
Autour de moi, la vie s’agita. Une espèce de forme longiligne extraterrestre et très grande sortit d’une pièce apparut pour l’occasion. Elle marcha lentement et lourdement dans ma direction. C’était un corps mouvant tellement fin que cela ne semblait être qu’un ensemble de bâtons à peine articulés de 5-6 mètres de haut. Une tête à peine formée me regarda depuis ses hauteurs. Elle allait me marcher dessus quand je lui chatouillais le pied du dessus en tendant ma main.
– Bonjour bonjour ! J’ai pas peur tu sais ! T’es grand mais j’ai pas peur de toi ! Sammael, c’est toi !! Amène moi à toi stôplait ! Je te suis !
La forme se tourna et m’invita à la suivre. Il me fit entrer dans la pièce tout juste créée. Elle était animée par un feu de cheminée. La forme articula des mots incompréhensibles, un écran blanc se forma sur le mur de la cheminée.
Pendant ce temps-là, un homme déboula de mes arrières. Il se plaça à mes côtés, presque épaule contre épaule et se concentra sur mon environnement. Il ne détourna même pas les yeux pour me parler, bien trop concentré à évaluer un périmètre de défense potentiel.
– « Camille je viens uniquement pour toi, juste en renfort, d’accord ? Tu passes ton appel à Sammael pour ton projet, mais je ne voudrai pas qu’il t’arrive quelque chose avec ce type de forces. Ce sont des énergies vraiment très spéciales… Sait-on jamais. Sache qu’avec moi à tes côtés, il ne t’arrivera rien. Je te le garantis. »
– Bah… Ok, si tu veux. Mais tu sais, avec Sammael, je ne risque rien… Il ne va pas me faire de mal. C’est aussi mon protecteur. Il m’aide tout le temps en combats ! Et puis, ce livre, c’est aussi son projet, donc bon… voilà quoi. Je ne le vois pas m’attaquer, ce serait vraiment débile de sa part.
Ce gentil « garde du corps pour l’occasion » ne répondit rien. Sa présence m’était douce et tendre. Je n’avais aucune raison de m’offusquer pour sa belle attention. S’il voulait prendre soin de moi, soit. Cela m’allait très bien.
Sur le grand écran blanc, une scène de torture débuta. J’avais l’impression de regarder un film d’horreur. Cela me fit râler, en plus de me dégouter.
– Roooh… vous êtes sérieux là ?! Sammael, sérieux, tu crois que j’ai envie de voir ça ? Rohh t’abuse ! J’ai pas envie de me taper des scènes d’horreur aujourd’hui, j’te jure, je suis pas dans le mood, franchement… !
– « Si elle veut faire le projet avec Sammael, elle va devoir tout supporter de lui et accepter la formation en accéléré », dit une troisième personne qui entra dans la pièce.
– Ouais bah nan, j’ai pas envie de me taper une scène de torture, non pas du tout ! La formation ok, mais la torture, nan. Je ne vois pas l’intérêt.
Je détournai les yeux et regardai les murs. De temps à autre, j’étirai les yeux vers l’écran en espérant que la scène passe vite à autre chose.
– Bon, c’est pas bientôt fini ? … Ca va durer longtemps votre truc ?…
Sur la vidéo, l’homme souffrait atrocement. Il se faisait étrangler par un autre avec un fil de barbelé aux lames acérées.
– Non mais franchement, ça me soule, je n’ai pas envie d’entendre un homme gémir et mourir, encore moins voir du sang gicler !… Je ne suis pas venue pour ça… Si ça ne s’arrête pas, je m’en vais. Je suis venue avec de belles énergies, bonne vibe, dans la lumière et de bonne humeur, pas pour me taper ça !
Les cris d’agonie ne s’arrêtaient pas. C’est bon, là; j’avais ma dose. Je tournai les talons, direction la porte. Tout à coup, la fin des gémissements et une grosse explosion dans la cheminée. Je me retournai à vitesse éclaire.
L’homme qui était mort à l’écran, ressortit des flammes frais comme un gardon ! Il se tint debout dans un nuage de fumée. Il dépoussiéra grossièrement ses vêtements.
– « Bonjour Camille, dit chaleureusement l’homme, il passait ses mains dans ses cheveux pour se recoiffer, et me fit un grand sourire. Ravie de t’avoir ici parmi nous ! »
– Oooooh, Sammael !! C’est toi, c’est Toi !! Tu es venu !! Tu as réussi à venir à moi !! Oohh comme je suis contente !!
– « Oui, le passage est un peu… disons ardu pour venir à toi depuis ces mondes. »
– Bah… surtout si tu dois subir ce que j’ai vu à l’écran… Désolée, je ne peux pas changer ma fréquence aujourd’hui et monter dans des dimensions plus hautes pour t’atteindre. Ça t’a obligé à descendre tes énergies à mon niveau.
– « Ce n’est rien. Alors, tu voulais qu’on fasse ce projet, n’est-ce pas ? Alors… voyons… Tu m’as demandé d’écrire un livre sur les mondes sombres et le paradis isolé, ainsi que les âmes humaines, c’est bien cela ? »
– Oui ! Enfin euuh… « paradis isolé », ch’sais pas ce que tu veux dire par là… Moi je parlais de la Lumière. Merci beaucoup d’accepter de le faire avec moi, je suis vraiment contente, Sammael !
– « Hm ! Bien, alors avant de commencer, est-ce possible pour toi si je fais venir 2 de mes compagnons ? Cela va nous aider. Par contre, ce sont des forces Démoniaques, je te préviens. »
– Ouais si tu veux !
Son regard s’étrécit. Il m’envoya une vision des flux noirs, sombres et agressifs des entités en question.
– « Mais tu as bien compris ce que je te dis Camille, ce sont deux entités Dé-mo-niaques. »
– Oui et alors ? Qu’est-ce que tu veux que j’y fasse ?! Ce sont tes compagnons, t’as dit. Si tu considères que tu as besoin d’eux et qu’ils vont aider, alors où est le problème ?
Il s’amusa de ma réaction.
– Non non, très bien, si tu acceptes et que tu me dis que cela te va… Bien, je convoque d’abord mon Rat. Il va venir en premier. Il va passer par le feu. Lui, il va se faire brûler pour passer.
La vision d’horreur apparut sur un mur projeté, suivie d’une petite explosion dans le feu de cheminée. Un rat en sortit à toute vitesse et ondula frénétiquement à travers la pièce.
– Ah ! Ton Rat ! C’est vrai que maintenant que je le vois, je l’avais oublié celui-là mais je le connais lui ! Il était avec moi la semaine dernière je crois… Il est gentil !
– « Camille, NON !, reprit immédiatement Sammael, Il n’est pas -gentil-. »
– Bah si ! Il est tout doux et tout mignon avec moi ! Il est gentil, quoi !
– « NON, il N’EST PAS gentil. Tu entends ? »
Sammael insistait lourdement sur le caractère démoniaque de cette entité. Il ne fallait jamais confondre les apparences avec les dures réalités sombres, surtout lorsqu’on était en présence d’entités aussi sombres…
– Il est peut-être pas gentil, mais son poil est tout doux !… J’te jure, quand tu passes le doigt dans son pelage, c’est doux !…
Plutôt que de me corriger une nouvelle fois, Sammael soupira et opta pour passer au deuxième appel, son Chien. Rebelotte avec la cheminée, sauf que là, un chien sortit des flammes. On aurait dit « Constantine » le truc, mourrir pour passer d’un monde à l’autre.
Mignon lui aussi, je me gardais bien de le crier tout haut sous peine de me faire réprimander.
Il était certain que dans l’astral, j’avais la fâcheuse et très mauvaise habitude de trouver des trucs tout mignons alors que personne ne voulait s’en approcher.
J’avais tendance à oublier que sous prétexte qu’ils se laissaient faire à mes côtés, ils étaient bons. Mais dans ma tête, que pouvais-je craindre ? J’étais aux côtés de mon ange sombre, et connaissant sa véritable forme, je plaignais plus ceux qui tenteraient une dinguerie en sa présence, plutôt que moi qui glisserais sur une griffe de ratounet tout doux…
Le Chien ressemblait à un labrador coupé à une autre race. Tout doux et tout mignon lui aussi, son poil était noir et court. Il accourut me demander des caresses. La queue frétillante, le comportement excité, franchement, je n’allais pas le repousser quand même… Foutue pour foutue…Hop !
– Rooh, qu’est-ce que t’es mignon, toi aussi !!
– « Ce sont des entités démoniaques, Camille, enfin. !.. Ne te fie pas à leurs apparences. »
– Oui-oui ! j’ai compris !! mais c’est douuuuux !! J’y peux rien !!
Sammael comprit enfin qu’il avait affaire à une cause désespérée. Avec moi, il allait en voir de toutes les couleurs. Il pouffa délicatement.
– « Bon, Installe-toi en attendant, » dit-il en me pointant un canapé. « Nous allons préparer une table de travail et mettre tout le monde autour. Ce sera plus pratique pour travailler tous ensemble. »
Pendant qu’ils s’activaient tous autour de nous, le chien grimpa et s’installa à mes côtés. Très joueur, il me mordillait et je le taquinai comme on le ferait avec n’importe quel chien. A un moment, il mordilla un poil trop fort. Cela me surprit plus qu’autre chose.
– Ah ! Tu vas quand même pas me mordre !?
Sammael tiqua au quart de tour. Il émit un son d’avertissement depuis la salle à manger. Couplé à un regard noir intense, le ton était clairement donné. La tête du chien s’affaissa avant de se poser sur ma cuisse. Il ne bougea plus d’un iota. Pas même la queue. Seuls ses yeux suivaient les mouvements des uns et des autres dans la pièce.
– On sait qui est le Maitre, murmurai-je en le caressant . Mais tu es tout douuuux !
Avec les entités démoniaques, l’ordre n’était respecté que par la force et la soumission. La puissance de Sammael n’était vraiment pas à prendre à la légère. Personne ne voulait le voir ne serait-ce que grogner dans l’astral, les entités ne voulaient vraiment pas se confronter à lui. Alors quand il donnait des avertissements, le plus intelligent était de s’y plier.
Peut-être que finalement, ce que moi j’appelais « gentil » était en réalité une non-action volontaire, due à une contrainte, une soumission ou un intérêt personnel, mais pas un réel acte de bonté. En observant les deux compagnons en sa présence, plusieurs choses parurent évidentes :
– S’il les faisait venir en ma présence, c’était qu’il les savait réellement très compétents,
– Les entités suivaient son autorité et n’avaient pas intérêts à foirer avec moi,
– Son Rat m’accompagnait de temps à autre, ce qui signifiait qu’il ne le faisait pas pour moi, mais parce qu’il exécutait des ordres directs et très précis.
Quelques personnes vinrent s’additionner au petit groupe déjà formé. Très vite, on aurait dit un rassemblement familial, cosy, où la bonne humeur battait son train. Les rires et accolades animèrent la pièce. Visiblement, tout le monde était content d’être là. C’était plaisant à voir. On croyait le Sombre mauvais, mais quand on voyait les entités présentes, il était impossible de nier cette joie de vivre et d’évoluer ensemble. Que savions-nous réellement des forces sombres, de leur mode de vie et de leur existence au sein des mondes ? Si peu finalement.
Rapidement, tout n’était que brouhaha. Mon hyperaccousie impactait beaucoup ma lucidité. J’avais des astuces dans l’astral, mais je ne pouvais pas changer le fait que mes oreilles étaient devenues fragiles et très sensibles avec les années. Je ne supportais plus les sons forts. Dans la pièce, chacun voulait se faire entendre et parlait plus fort que l’autre. L’ambiance était la même que dans un bar bondé alors que nous étions moins de 10 « personnes » présentes…
– On peut baisser d’un ton, s’il vous plait, tous ? Mes oreilles… je n’ai pas de bouchons ici dans ces mondes, y’a trop de bruit là.
Mes mots se fondirent dans la masse.
– Hey ?! s’il vous plait ? on peut se calmer un peu, sinon je vais perdre ma lucidité et ce sera galère après pour revenir…
A nouveau, personne ne réagit. Tous trinquèrent verre à verre et s’esclaffèrent dans tous les sens. Ma vision commença à s’effriter. Un cri désespéré fracassa l’ambiance.
– EST-CE QU’ON PEUT AVOIR UN PEU DE CALME ICI, BORDEL?!!…. Je vais perdre ma lucidité avec tout ce bruit ! Mes oreilles ne tiennent pas un tel boucan !! Comment voulez-vous qu’on bosse dans des conditions pareilles ??!
Tous se turent quasi instantanément.
Les deux mains collées sur les oreilles, les yeux qui révulsaient, je luttais pour récupérer une vision normale.
– Rester concentrée… rester ancrée, rester ici, donner du poids… Hen- hen…. Merci. Du calme, c’est bien du calme pour mes oreilles.
La vision revint, je soupirai lourdement.
– Pouuuh… J’ai eu chaud… J’ai bien failli rebasculer dans mon lit avec vos conneries. Fiouuuu…. Est-ce qu’on peut rester dans le calme et parler dans un volume modéré ? C’est possible, ça ? Sinon je ne vais jamais pouvoir rester avec vous. Ça ne fonctionnera jamais. Ce serait dommage, non ? On peut quand même être civilisé, non ? C’est possible, ça pour mes oreilles, ou pas du tout ?!
Sammael, lui, s’amusait pleinement de la situation. Le sourire pendu aux lèvres, sa tête oscillait entre le groupe figé comme un piquet qui ne bougeait plus d’un iota, et mon air candide au possible.
– « C’est fascinant Camille, partout où tu vas dans les mondes, tu as le don de resserrer les vis, peu importe la nature des forces qui te font face. Tu es capable de le faire avec n’importe qui en face de toi. »
– Tu es la deuxième entité à me dire ça en 10 ans, c’est drôle. Pourtant je ne fais rien de spécial, j’te jure, je vais juste là où on me dit d’aller. Je ne fais pas grand chose, en vrai, sur place…
Il rit en hochant la tête.
– « Hm-hm, pas grand chose, hm-hm… Allez viens t’asseoir. Prenez tous place, je vous prie. Cela te va comme ça, Camille ? Tu es bien, là ? As-tu besoin de quelque chose ?
– Hm, non ça va, je suis bien.
– « La table ainsi te convient ? Tu n’es pas dérangée par les énergies des membres assis autour de cette table, chacune des présences te convient ? »
– Hmmm… tout va bien ! Les présences me paraissent même légères et agréables. Pour moi, c’est super fluide. C’est confortable.
– Bien, tant mieux alors. Je vais essayer de trouver les mots pour que tu comprennes tout ce que je te dis, d’accord ? On va le faire ensemble ce livre. Alors par quoi on va commencer ? …. Hm…. »
– Ma lucidité risque de péter, tu sais ça, hein ? Si je la perds, je ne pense pas pouvoir revenir. Vous allez me récupérer si je la perds ? Hein, dis, tu vas me récupérer, hein ?
– « Non. »
– Merde, ça ne m’arrange pas du tout ça !! Roh !
– « Tu t’accroches un maximum. Fais au mieux pour tenir. «
– Je vous préviens, ça va être chaud, je me connais. Je vais mentaliser et vouloir me rappeler de tout ce que tu me dis, me montres et écris.
– « Oui, ben fais comme tu peux ! Alors… commençons… »
Chouette le 3 ème livres arrivent!!
Hâte !!
Merci Camille pour cet effort de transmission !!
Welle
Bonjour Welle,
Merci pour tes encouragements !
Moi aussi, j’ai hâte !
J’espère que j’arriverai à avancer plus vite que 4 mots par sortie de corps sinon on est pas arrivés !!
héhé
Bises