Les Annunaki

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Voilà un drôle de nom qui m’aurait fait bien sourire si je n’en avais pas rêvé. Je ne savais pas ce que c’était jusqu’à tant que je les vois dans mes rêves dans une de mes mémoires communes avec mon compagnon.

Je ne voulais pas aller dans un endroit précis dans la montagne car ils étaient là, à tuer et à massacrer les humains. J’avais peur, je criais, « les annunaki, les annunaki, faut pas y aller ! » que je lui disais, mais lui, « si, si, on y va, il faut y aller…. »

Alors je les ai vu.

Cette montagne était en Italie, au Nord Est de Napoli. Comment je le sais ? Et bien parce que avant d’y aller, mon compagnon me montrait une carte en me disant ; « on va là ! ».

Soit. Je voulais aller plus au Sud de Napoli, mais lui avait décidé que ce serait cette montagne au Nord-Est. Et bien soit. Le massacre fut.

Pffff , mais pourquoi a-t-il voulu qu’on la revoit celle-là !? Alors, quoi, j’étais bien tranquille moi dans mon coin ! Je n’avais pas besoin de savoir ce que c’était, et surtout ce qu’ils avaient fait.

Je me renseigne un peu sur Google mais ce que je lis ne répond pas ou peu à mes vécus. Mais on a une chose commune : c’était la révolte, et les anunaki massacraient tout le monde.

Je n’avais jamais entendu parler d’eux avant. D’ailleurs, ma représentation dans le rêve était qu’il avait tous des têtes d’espèces de chien-chacal…. Brrr….

Les annunaki ne sont pas pour moi un bon souvenir. J’en ai peur, et penser à eux ne me dit rien qui vaille.

Mais je sais que je ne pouvais rien faire. Bizarrement, je savais que je visitais une mémoire, je ne saurai trop comment expliquer. C’est comme si on devait le revoir ensemble. C’était un peu comme une évidence, bien que moi, je n’étais franchement pas motivée (du tout) pour le faire.

Mais notre chemin d’âme (à mon compagnon et moi-même), se retrouvant lié, devait passer par là je pense, pour libérer certaines mémoires liées à ces temps reculés.

L’histoire de l’humanité n’est forcément belle. Il y a de belles choses, certes, mais aussi beaucoup de souffrances. L’humanité n’a pas une histoire idyllique. Elle est riche de nombreuses civilisations, mais la soif de pouvoir et de dominations sur les autres a engendré nombre de massacres, et cela continue encore. Les armes existent encore, et les tueries aussi, seulement aujourd’hui, nombres de façons de faire ont été développées, mais pour en arriver toujours au même point : la soif de pouvoir.

Je trouve cela triste.

Certes, c’est un chemin comme un autre, j’entends soudainement dans mon oreille, et j’apprends à relativiser.

Il y a aussi de beaux peuples honorables dans bien des dimensions qui se développent dans le respect de toute vie.

Je me demande si mes guides ne trouvent pas ça triste de voir tant de vie se déchirer autant.

« La vie est faite pour aller vers un multiple de possibilités. Chacun y apporte son choix, son histoire, sa descendance. Rien ne reste jamais figé. Si vous avez connu une histoire sombre, sachez que vous pouvez aussi la rendre lumineuse. Que fais-tu lorsque quelque chose ne te plait pas ? »

– Je me bats pour que ça change ! du moins, je fais ce que je peux….

 » L’humanité agit de la même manière. L’évolution laisse le choix dans l’équilibre des forces. Lorsque les forces se rencontrent, un impact se crée. Il y alors ceux qui sont au front, et ceux qui sont derrière. Et il y a tous les autres qui dépendent de l’issue. Choisissez où placer votre force, et l’issue changera. »

– On dirait l’Art de la Guerre.

 » Ce n’est que l’Art des forces qui régissent l’Equilibre. La lutte nait de la non-acceptation d’une force. Alors vous aurez une confrontation. La violence résulte de la volonté que vous y accrochez. Voilà pourquoi certains te disent de ne pas lutter. Plus tu t’accroches à ton point de vue sans écouter l’autre, et plus tu lutteras. Pourquoi as-tu tant de mal à accepter ce que l’autre pense de toi et de tes expériences ? « 

– et bien qu’est ce que ça peut faire à l’autre ce que je pense ? bouuuuh !

– « Tout est lutte de pouvoirs. Vos guerres ne sont que le reflet de vous-mêmes. Combien de guerres résident encore en toi ? Combien en as-tu encore avec toi-même ? « 

– un (certain) petit (tout petit minusculement ridicule) nombre… *souris*

– « Vois combien tu luttes, alors comment les autres pourrais-il te montrer la voie vu qu’ils sont pareil ? Vouloir être acceptée comme on est sans accepter l’autre comme il est, tu demandes bien des choses difficiles mon enfant. Il y a ceux qui peuvent entendre ce que tu as à dire car ils t’accepteront. Saches les reconnaître. Tu pourras être toi-même avec ces gens là. L’opinion de chacun ne veut pas dire qu’ils n’acceptent pas. Comment dis-tu ?…. C’est différent. . Alors comme toi, ils cherchent à comprendre comment toi tu peux agir et penser ainsi que d’autres agiraient différemment. Il est facile de montrer à l’autre le chemin, mais il est plus dur de vivre le sien. « 

– Trouvez-vous ça facile de m’éclairer sur mon chemin ?

– « Nous voyons clair en toi. »

– Ca me donne envie de me cacher ! lol .. J’ai un jardin secret au moins ?

– « Et pourquoi donc aurais-tu besoin d’un jardin secret ? Qu’y mettrais-tu ? »

– Bah j’sais pas ! .. Attends, j’aime bien ce jeu ! Je réfléchis…. Ah ! Je sais ! je sais ! Tout ce que j’ai honte de faire devant les autres parce que c’est ni l’éthique, ni la morale qu’une femme puisse donner cette apparence aux autres !

–  » Comme lorsque tu t’épiles le maillot ? »

– Voilà !!! Exactement !!

– « Si tu pouvais voir ce que nous voyons à ce moment là peut être penserais-tu différemment. »

– Mouais…. bon, tu vois quoi ?? parce que moi, je me vois dans des positions pharaoniques !

– « Nous respectons ton intimité. Mais voyez que vous avez peur de la partager par peur qu’elle soit bafouée. Lorsque deux êtres s’aiment vraiment et sont sincères, ils n’auront plus peur de partager cette intimité car elle sera alors honorée comme un profond acte de partage. « 

– C’est dur. Il y a des choses qu’on ne veut pas partager.

– « Comme ton ordinateur ? »…

– pfff, grave !! m’en parle pas… je lutte graaaaave pour relativiser ! J’te jure ! Mais j’ai du mal !! Et le pire, c’est que si je ne l’utilise pas, je sais éperdument que je ne l’utiliserai pas plus pour autant. C’est juste pour dire : « C’est à moi, pas touche ! » Je veux prendre cet objet quand je veux, où je veux sans avoir à me sentir obligé de ne pas l’utiliser.

– « Même si tu viens de dire que tu ne l’utiliserais pas plus ? »

– Oui !! question de principe ! c’est à moi bordel !! Pourquoi n’aurais-je pas le droit de faire ce que je veux avec mon objet ? Pfff… Si les gens veulent utiliser des choses et que ca compte beaucoup pour eux, pourquoi ne se l’achète-t-il pas au lieu de dépenser leur sous ailleurs ? J’ai bien pris la peine d’en acheter un…

–  » Pourquoi te vexes-tu ? »

– Parce que. C’est tout. Ca m’énerve. Ca m’énerve, de voir que certains jouissent de plaisir sur mes objets plus que moi ! …. c’est à moi , à moi , à moi ! à moi à moi à moi à moi à moi à moi ….. à moi.

–  » Le partage devient libre lorsque l’on n’a plus peur de perdre ce que l’on a acquis. Ce qui compte n’est pas que l’autre se rappelle ce qui est à lui, mais à vous de vous rappeler ce qui est à vous. »

– Ouai bah…. bouhh. pfff…. roooo… arghh ca m’énerve !

–  » Accepterais-tu que quelqu’un joue du piano sur ton piano ? »

– oui !

–  » Même s’il est meilleur que toi et qu’il en joue souvent ? »

– pfff je ne vois pas ce que tu veux dire. pfff tu m’énerves. D’accord, d’accord, je serai frustrée ! Voilà tu as gagné, je serai frustrée de ne pas pouvoir faire comme lui et de ne pas arriver à faire comme lui, même si j’adorerai l’écouter. Je sais aussi que ça me frustrerait et ça me pousserait à lui demander de me laisser la place pour que moi aussi je pianote au lieu qu’il pianote tout le temps. pffff… ca m’énerve !! ca m’é-ner—-ve !

–  » Donc ce n’est pas que cet objet n’est pas à toi, mais plus que tu aimerais pouvoir faire comme l’autre ? »

– oui. tu m’énerves.

– « Aimes ce que tu fais. Aimes où tu te trouves à chaque instant car tel a toujours été ta place. Tu n’as rien à envier aux autres. Ton chemin est beau, suis ta voie, il n’y a rien à envier aux autres. regardes tes journées, même si cela n’est pas toujours exactement comme tu le souhaiterais, tu as toujours su avancer. Ne regardes pas ailleurs. A vouloir faire comme les autres, on en oublie sa propre voie. « 

– Je sais….. je sais bien…. c’est juste frustrant. J’aimerai être partout tu vois.

–  » Mais il y a des choses que tu privilégies bien avant l’ordinateur, et ces choses là sont bien plus importantes que le regard de l’autre, car c’est le regard de ton âme. N’aie crainte de ne pas pouvoir faire comme l’autre. Ecoutes ton âme, elle sait quoi faire pour te faire vibrer. Tu n’as plus qu’à te laisser porter.  »

– hum… merci. mais bon… ce serait bien si on pouvait en avoir un deuxième tu vois, comme ça, je n’aurais plus de conflit intérieur ! Ca résoudrait mon problème.

– « ou il viendrait se placer sur un autre de tes objets que tu tiens si cher à coeur. »…

– pfff.. clair ! sûrement… bon, j’vais faire un effort. mais le pire, c’est que j’y peux rien…. c’est plus fort que moi… ces pensées arrivent malgré moi, mon envie de possession…. mais je comprends, je comprends….

 

Bref, Ca me rappelle ce matin lorsque je me suis reveillée d’un rêve assise sur un banc à côté de mon guide, et il me disait :

« Tout finit par arriver, L’avenir arrive toujours. »

Quelle drôle de réveil… Je trouve que c’est une belle conclusion….

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Source: Magie 3

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