La traque des Zürucks

641981a49b12443810e325abed9937f5

 

Bonjour à tous,

Il y a des choses parfois bizarres. Figurez-vous que je me demande depuis quelques jours pourquoi sur mon front, il y a écrit « personne à traquer dans l’astral ». Moi qui suit très douce et très mielleuse…  Je vais parfois dans des endroits où je me fais pourchasser.  Je ne sais pas pourquoi, mais en ce moment, c’est la norme. Mais pas juste par une entité, bah non, ce ne serait pas drôle sinon. Non, non, moi, il faut que ce soit des clans entiers. Et  pour m’attraper et me ramener à leur chef, ils ont besoin de calmer mes ardeurs, parce que vous et moi savons très bien comment mon humeur vacille très nerveusement de l’autre côté.

Alors ce petit clan de sauvages appelé « Züruck » et ressemblant à une horde de sauvage avec des peaux de bêtes sur leur corps grands et baraqués se lança à ma poursuite. Ne me demandez pas ce que j’avais fait pour mériter un tel accueil. Ma lucidité est revenue au galop quand j’ai vu un début de horde courir au loin sur une plaine et moi galopant aussi vite que mon ombre pour tenter de trouver refuge quelque part.

– Merde, merde ! Les Züruck, putain, qu’est-ce qu’ils me veulent eux ?! Qu’est-ce que j’ai fait bordel ? dis-je en courant tout en tentant de sonder ma mémoire pour retracer les faits.

Impossible, j’étais incapable de savoir ce qu’ils me voulaient et pourquoi je me retrouvais une énième fois pourchassée dans l’astral. Il ne m’avait pas semblé l’avoir cherché pourtant. Pour le coup, je me sentais innocente et sans raison de mériter de quelconques représailles. Alors pourquoi ? … Toujours est-il que je n’avais pas le temps de trop y réfléchir. Ils couraient vite et arrivaient à retracer mes énergies.

Je trouvai une vieille bâtisse et courus m’y cacher à l’intérieur. Il y avait un nombre de pièces impressionnant et j’avais besoin de calme pour réfléchir. J’étais à moitié terrorisée par la peur et leur puissance physique me gelait sur place.

– Réfléchis Camille, réfléchis, il va falloir que je me frotte à eux, qu’est-ce que je fais, qu’est-ce que je fais pour m’en débarrasser sans utiliser trop de force ?…

Oui, parce que j’étais fatiguée et un peu à bout ces derniers temps. Je n’étais pas en pleine capacité.  Les présences se rapprochaient et l’un deux passa le pas de la porte de la pièce dans laquelle je m’étais réfugiée. Et Merde.

Il savait que je m’étais cachée derrière le meuble bas, accroupie comme une petite fille jouant à cache-cache. Je levais les yeux sur lui, apeurée en train de reculer tout en me repliant sur moi-même. Je n’avais vraiment pas envie de combattre aujourd’hui, pourquoi fallait-il que ça tombe aujourd’hui ? J’étrécissais les yeux et me mordais les lèvres en percevant aucune animosité envers moi émanant de sa présence. Lui, me sourit affectueusement. Il semblait même soulagé de m’avoir trouvé en premier.

Alors que j’écartais les doigts en levant la main, m’apprêtant à agir, il lança la conversation.

– « Attends ! Attends, je… je ne veux pas te faire de mal », me dit ce Züruck.

Il avait la gueule d’un guerrier aux allures de croc magnon, son visage à moitié caché sous un crâne animal, et le corps camouflé sous une énorme peau de bête avec des os attachés ici et là.

Je fronçais les yeux en me collant contre le mur. Je ne pouvais plus reculer davantage. J’étais prise au piège. Mais en le fixant, je sentis… de l’amour… De l’amour ?… Ça allait à l’encontre des intentions de son clan envers ma personne. Aucune trace de vice, de sombre ou d’attaque envers moi. Je doutais et pourtant, mes perceptions étaient formelles. Cet homme à l’apparence ennemi n’en était pas un.

– « Tout va bien », ajouta-t-il en levant la main en signe de paix, « je te jure, je… je ne veux pas te blesser. »

J’avais l’impression qu’il voyait mes énergies, ou mes sceaux. Cela se voyait à sa façon de me regarder, à ses yeux émerveillés comme celui d’un petit garçon devant quelque chose de précieux et fragile. Oui, il devait voir mes sceaux à cet instant, parce que je le voyais me regarder différemment de ses autres compères. Il y avait quelque chose dans ses yeux qui me disaient qu’il avait cette capacité de lire mes énergies et il aimait quelque chose en moi, quelque chose qui émanait de moi. Cet être de cet autre clan voulait me protéger. Je le savais. Je le sentais. Mais pourquoi lui ?…Et puis c’est là qu’il m’apparut en double vision, un être dans une aura aussi fulminante que ses deux yeux transformés en soleil de feu avec une apposition de main bouddhiste sur son coeur en plein lâché énergétique… Lui… ce sauvageon était en réalité un Avatar du Vent (notez que je dis Vent et pas Air, sciemment). Je ne sais pas comment j’ai su, mais j’ai su. Je le reconnaissais, c’est tout. Il avait un autre corps, une autre forme physique en doublon. Il m’apparut comme une simple et unique vision s’ouvrant sur un nouvel espace dimensionnel. Habillé d’un simple toge avec des cheveux mi longs, plaqués vers l’arrière et attaché en une queue de cheval bien tirée. Son énergie se révélait à moi comme s’il voulait que je sache. Je faisais aussi partie de ceux qui étaient initiés aux éléments, est-ce pour cela que celui qui se trouvait en face de moi était capable de me repérer et de lire mes sceaux ? Parce qu’il était un puissant Avatar ? Mais que faisait-il là, sous la forme de cet être au beau milieu de ce clan ? Son énergie était magnifique, épurée et tellement puissante. Je repensais à la série des Avatars. Celui là était spécialisé dans un domaine, mais je croyais que les Avatars étaient justement capable d’intégrer tous les éléments. Quelque chose m’échappait ici, sa présence, et ses intentions protecteurs à mon égard, mais surtout, ce drôle d’amour que je pouvais ressentir lorsque, par exemple, quelqu’un était amoureux. Il était sincère. Vraiment sincère. Devait-on se trouver pour qu’il m’initie ? Pourtant, je n’en étais pas encore au Vent. Enfin… me semblait-il. De toute façon, on pouvait pas dire que, là tout de suite, je n’étais dans une situation propice à l’enseignement, j’étais plutôt en terrain miné…

Un de ses compères arrivait au galop. Je me retournai sur lui et fronçai les sourcils. Comment allait-il gérer la situation avec les autres qui viendraient mettre leur grain de sel ?

– « Non, je te jure, je vais… je vais t’aider… Je vais arranger ça, je vais… »  me dit-il alors qu’il voyait mon air s’assombrir à vue d’oeil.

Cela dit, je savais qu’il disait vrai, mais je ne le voyais pas trahir son clan pour autant. L’autre colosse passa le pas de la porte.

– « Ah la voilà ! Tu l’as trouvée. Bon travail. Ramenons-la vite. » 

– « Non, attends, laisse-moi gérer, je m’en occupe », lui répondit-il en essayant de calmer les ardeurs agressives de l’autre colosse.

L’autre n’émanait pas ce même amour. C’est cet instant qui me fit prendre conscience à quel point l’autre m’aimait. Son amour était doux et protecteur. Chaud. Il me rassurait. Finalement, je voulais bien qu’il s’occupe de son pote et qu’il m’aide. J’aimais ce qu’il dégageait à mon égard, et aujourd’hui, je n’étais pas dans une position pour trop pinailler.

– Qu’est-ce que vous me voulez, bon sang !? dis-je au vilain qui avait l’air tendu en me regardant.

– « Tout va bien se passer », dit-il en regardant son compère d’un air sérieux, « je l’ai trouvée, je vais m’en occuper. »

*Pan !*

– Aïe !!!

Le vilain profita que je détourne la tête pour me planter une seringue dans le cou avec un pistolet chargé tout spécialement pour l’occasion. Juste sous l’oreille, au niveau des muscles de la nuque derrière la mâchoire, une cartouche vint se planter en plein dans le mille et me fit m’effondrer au sol en un quart de seconde. Non seulement ça m’avait fait mal, mais en plus, le tranquillisant marchait du tonnerre.

– Bordel ! m’écriais-je en colère en retirant comme je pouvais la douille encore plantée, j’en ai marre de me faire taser dans l’astral ! Pourquoi vous vous en prenez tous à moi ?!!…

Mes forces me quittaient à la vitesse de la lumière. Tout mon corps devenait raide, impossible à gérer les flux énergétiques. Le liquide contenu dans la seringue m’avait bloquée et rendue aussi malléable qu’une poupée. Ayant tout de même accès à la parole et à la vue, j’en profitais pour râler, pendant que je le pouvais encore.

– Pourquoi ?… Vous pouvez pas demander tout simplement avant de m’attaquer ?! Vous croyez que j’aime ça, me faire agresser de la sorte ?!! Vous faites chier, hein !!

Le grand vilain me regarda de haut tandis que son ami me regardait perplexe, et impuissant alors que j’étais affalée au sol, incapable de bouger.

– … C’est pas possible ça, un coup je me fais taser, je me fais séquestrer, et là, un tranquillisant énergétique…  putain, j’en ai trop marre … Vous croyez que je suis une cible à abattre ou quoi ?… Demandez bordel, demandez avant de me tomber dessus comme ça !!

– « Parce que si on t’avait demandé de nous suivre, tu l’aurais fait bien gentiment ? Toi, tu aurais accepté de nous suivre, comme ça, sans te défendre ?… »

– … Bon… Ouais… dis comme ça… En même temps mon pote, tu crois franchement que là comme ça, j’ai envie de vous suivre ?…

– « De toute façon, c’est fini. On t’embarque. On doit te ramener à la base. »

J’irai pas à ta putain de base. C’était les mots qui voulaient sortir de ma bouche, sauf que le coma léthargique m’engloutit. Le produit faisait trop bien effet. Putain, j’avais beau râler et me plaindre, leur truc dans l’astral faisait trop bien effet. D’où ils inventaient des trucs pareils ? En plus, ça tombaient toujours sur moi… Sur ce coup-là, j’avais rien fait. Mais ils allaient le regretter. Oui, enfin, dès que… dès que…

Le gros colosse me souleva comme un sac à patate. Comme une merde. Ce qui me fit rouvrir les yeux difficilement, soufflée par les mouvements vifs de mes membres trainés comme une esclave moins que rien. Il chercha à me mettre en équilibre sur lui mais je m’effondrais de part en part. Son ami vit ça comme une ouverture pour reprendre le relais ni vu ni connu.

– « Laisse-la moi, je vais m’en occuper. Je vais la transporter », dit-il réellement soucieux de mon état.

Je le voyais dans son regard qu’il était inquiet. Il me regardait avec des yeux protecteurs. Il tenait à moi. Il était content rien que de pouvoir me sentir, me toucher. Son compère finit par céder, énervé que mon corps ne s’ajuste pas comme  il l’aurait voulu sur son épaule et sa tête.

Son ami, enfin « mon ami », m’attrapa comme la prunelle de ses yeux. Délicatement, il me prit dans ses bras tandis que les miens vinrent se refermer lourdement autour de son cou, et ma tête retomber dans le creux de sa nuque. Il me portait comme ça, Facilement et semblait soulagé de me savoir hors de portée de l’autre. Dans ses bras, il jugeait que c’est là où j’étais la mieux placée, il trouverait une solution en chemin pour me faire évader, mais je n’étais pas inquiète pour ça. Juste sentir son amour me nourrissait. Ca me faisait du bien. Ca me servait de base réconfortante à l’agression que j’étais en train de subir. Et pour le moment, j’avais juste besoin de récupérer mes forces. Le reste, je m’en fichais. Je savais que je n’atteindrais jamais leur base, et leur chef de surcroit. Dès que je récupèrerai ma force, je me barrerai d’ici. Dès que…

J’arrivais à peine à rouvrir les yeux de temps en temps, encore incapable d’accéder à mes flux internes pour retracer ma force. Ma tête était dans un brouillard à l’intérieur de mon corps énergétique, en train de faire des appels pour trouver une « charge énergétique » où me plugger. Je devais remonter jusqu’à la Source, mais ce putain de liquide me floutait toute mon intention et rendait mes appels aussi mous que du flan. Il me serra dans ses bras.

– Je ne peux pas t’aimer comme ça, lui murmurai-je attendrie par tout ce qu’il diffusait à mon attention. Je sens ton Amour, je sens combien tu m’aimes, mais j’ai déjà quelqu’un qui m’attend… Tu… comprends ?… Il … et moi… on…. je ne peux pas… te rendre…

– « Shhh…., fit-il en resserrant son étreinte. Ca va aller…  je te promets… je … je vais t’aider, je vais te sortir de là », me souffla-t-il dans l’oreille.

– Hm… je sais… je le sens…  Ca va… je vais bien… J’ai juste…besoin …. un peu de temps pour me recharger… je ne suis pas aussi faible que tu ne le penses…. Juste laisse moi quelques minutes… je vais… il faut… je dois… me ressourcer…

Il me souleva délicatement et commença à marcher. Je me réveillai dans ma chambre, alors que je luttai intérieurement contre ce maudit produit qui me mettait dans un état de conscience modifiée, dans une espèce de dimension où tout était blanc, brouillard et les appels n’arrivaient pas à se matérialiser. J’avais encore la douleur dans le cou. Je pouvais pointer exactement l’endroit où la seringue m’avait touchée. Je levai la main et caressai le point d’origine.

 

Ces derniers jours, je suis énervée. Enfin un peu. Je sais que je ne suis pas en danger. Même dans ces mondes merdiques, il y a toujours quelqu’un ou quelque chose pour m’aider. Mais, il y a une chose qui commence vraiment à m’agacer, c’est le fait de chercher à m’immobiliser avec des tasers ou des tranquillisants énergétiques. Ça, ça commence sérieusement à me gaver.  J’ai l’impression d’être une cible ambulante où il y a écrit « si tu n’as rien d’autres à foutre, va emmerder Camille. »

Moi qui suit justement plus calme ces dernières semaines, pourquoi vient-on me saouler ? Ah… en fait vous venez me tester ? D’autant plus que je suis fatiguée, c’est ça ?… Mais vous savez quoi, je n’ai pas envie de m’énerver. Pas en ce moment. Ne me demandez pas comment je fais pour ne pas être en pétard, même moi je ne le sais pas. Je soupçonne mes guides de m’aider à gérer les flux, parce que d’ordinaire, des trucs pareils m’énerveraient et me feraient vraiment râler, mais là, bizarrement, je me sens bien et je n’ai pas envie de me fâcher.

Ce matin, je me suis réveillée avec la présence de Uriel. En plus, j’ai fait un très joli rêve, vraiment très joli qui m’a fait beaucoup de bien à tous les niveaux. J’ai rêvé que je fais de la gym acrobatique à un haut niveau. Je faisais de la barre au dessus d’une fosse acrobatique. Tout était beau et fluide. Jamais je n’avais atteint un tel niveau. Mon corps volait, je savais exactement quoi faire et comment. Je pouvais sentir le poids de chaque muscle avec une fluidité déconcertante. C’était si bon, si bon de sentir mon corps bouger avec une telle aisance. Même plus jeune, je n’avais pas réussi à atteindre ce niveau. Je faisais des figures que seul un grand gymnaste aurait été capable de faire avec des années d’entrainement intensif. J’en étais consciente, et pourtant, je kiffais ce moment. J’ai toujours aimé faire ce genre de rêve où mon corps est tellement fluide et léger que je peux en faire ce que je veux dans le domaine de mon choix. C’est comme avoir repoussé ses limites et atteindre un nouveau palier, un mélange de réussite, de beauté et de grâce de l’instant. C’est comme dans le film le Guerrier Pacifique, ce moment où il prend les anneaux. Plus rien n’existe, juste le moment. Il vit cet instant. Je me sentais comme lui, un pur instant de dépassement de soi où en réalité, tout devient facile.

Évidemment, cela n’a pas empêché le choc au réveil de ne plus pouvoir lever mes fesses aussi facilement ! Mais quand même, la présence de Uriel me fit sourire. Je ne sais pas ce qu’il veut. C’est la première fois que je le sens aussi fortement à mes côtés. Lui, et Joshua. Mais comme ça me fait bizarre d’avoir des noms que je n’ai pas l’habitude de côtoyer, je vais les mettre de côté. Et puis on verra si ça persiste ou pas. Je n’ai pas suffisamment d’énergie pour me prendre la tête pour savoir ce qu’ils veulent, alors je vais les laisser là où ils sont, et moi, je vais prendre quelques jours pour me ressourcer. Je suis en train de tester des nouvelles techniques pour me brancher sur d’autres canaux énergétiques et pour m’y recharger.  Et oui, comme je ne sais pas quoi faire le soir, je m’amuse en ce moment à tenter deux trois trucs avec ma lignée. Mais je n’ai aucune idée de là où ça va me mener. Que voulez-vous, chacun s’occupe comme il peut.  Certains c’est en me chassant, et moi, en m’amusant. Enfin, je vois que la notion de s’amuser n’est pas la même pour tout le monde…

Si seulement je pouvais comprendre ce que je fous dans l’astral avec tous mes autres corps éparpillés à droite à gauche… Si seulement… M’enfin, j’ai décidé d’avoir une approche plus délicate, intelligemment parlant. Je vais d’abord parler avant de m’énerver. C’est bien ça non ?…  C’est la nouvelle version 2017. je ne sais pas combien de temps je vais tenir avec mes bonnes ardeurs de paix, mais j’espère que la guidance jouera le jeu.

A suivre donc.

Bises

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

3 Comments

  1. alexandre

    Bonsoir Camille,

    Je te plains,être considéré comme un gibier a chasser n est déjà pas top dans la vie réelle alors dans l’astral…

    Je pense que tes appels ont été entendu car Joshua est l’être le plus proche de la lumière et uriel est l archange représentant la lumière de dieu mais est aussi l’ange du châtiment.

    Garde confiance, la source t’aidera. Cependant, mon maitre avait coutume de dire que l’on n’avait que les épreuves que l’on mérite, bref ton initiation dans l’ombre est loin d’être de tout repos.Peut être que les guides dans l ombre sont adeptes de l’adage « qui aime bien, châtie bien ».va savoir bises

    1. Spiritual Flower

      Coucou Alexandre,

      En effet, j’essaie de comprendre pourquoi et le sens de l’initiation.
      Oh ! Merde !

      Je viens de me rappeler un détail très important que j’avais omis dans la rencontre.
      Mon nouvel ami est un Avatar du Vent. C’est pour ça qu’il savait lire mes sceaux !
      Comment ai-je pu oublier ça au moment de l’écrire tout à l’heure ?…
      Roh… faut que j’édite l’article maintenant.

      Merci à toi
      Bises

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

error: Content is protected !!