Parler à un conseiller

Bonjour à tous,

Hier soir, j’ai pleuré misère à Gabriel avant de m’endormir. J’avais vraiment envie de parler avec quelqu’un concernant mes choix professionnels afin d’y voir plus clair. J’avais besoin de partager, vous voyez ? J’anticipe l’arrêt de mes allocations, et je n’ai pas envie de me retrouver sur la paille. Alors, je commence à vraiment prendre le problème des finances très à cœur.  En plus, je n’avais pas envie de canaliser vu qu’avec ma grippe à la noix, je n’arrive pas à grand chose, alors j’ai demandé un joli petit rêve dans lequel une personne accepterait de venir me voir pour m’écouter et me conseiller, n’importe qui, qui voudrait bien passer un petit moment avec moi pour m’aider à y voir plus clair.

Je dois bien admettre que j’aime bien ces moments-là où je craque et que je demande un signe à tout l’univers, surtout quand on voit la vitesse à laquelle on me prend en charge.

La nuit même, me voilà à rêver de me retrouver à mon ancienne faculté et d’aller au bureau du conseiller d’éducation pour lui demander conseils. Il est vrai que ces derniers temps, j’avais vaguement pensé à reprendre mes cours pour valider ma licence. Il ne me reste que quelques UVs, celles que je n’ai jamais validé car je n’étais jamais rentrée à temps pour les examens que j’avais volontairement séchés, pour finalement, rester vivre là-bas deux ans. Je pensais que valider ma licence pouvait me permettre une catégorie de jobs et une tranche de salaire plus élevée. Et pourquoi pas, faire une formation complémentaire.

Mais lorsque j’exposai les faits, le conseiller me regarda avec étonnement. Pour faire quoi ? Et pour aller dans quelle direction ?… Il me répondait avec pertinence tandis que je tentais d’argumenter mon projet.

– « Mais qu’est-ce que tu veux faire, toi ?… » finit-il par me demander, « qu’est-ce que toi tu as envie de faire ? »

– Bah, moi, je veux peindre !… Mais là… Tu vois, il faut que je trouve de la maille…

Son regard s’adoucit.

– Bon… Je pourrais commencer à faire des consultations… Hum… ouais, des consultations, *soupire un coup*, mais je ne sais pas par où commencer pour m’y mettre… *resoupire* , disons qu’il faudrait que je m’y mette quoi…

Je repensais à la fois dernière que mes anges m’avaient répondu que je devais voir ça directement avec Raphaël, me laissant largement sous-entendre, que ce serait lui qui chapeauterait la mise en place me concernant.  J’avais bien essayé de l’appeler cette semaine, mais sans grande conviction pour le moment. Cela dit, le message revient régulièrement.

Dommage que je me sois réveillée trop rapidement, j’aurai pu justement parler de lui et commencer à voir les débuts de protocoles, mais je n’ai pas eu le temps. J’avais rebasculé trop rapidement dans mon lit, le mental réactivée par ce que cela signifiait : lancer les appels, mettre une nouvelle annonce sur mon site internet, établir un protocole d’approche, et réfléchir à la portée de ma propre puissance et de ce que je peux proposer aux autres… Bref, c’était tout un programme qui s’annonçait et que je devais plus ou moins maintenant, commencer à mettre en oeuvre.

A vrai dire, je ne sais toujours pas la gueule que mes consultations vont prendre. J’en donne bien quelques unes de temps en temps, mais c’est encore très flexibles comme approche. Je dois sérieusement commencer à réfléchir à ça.

Bon… Maintenant, il me faudrait un autre rêve lucide pour parler à « Raphi » (pour les intimes ! LOL)…. Gabriiiiiiel ?….. S’il tôoo plait ??!!!! En plus, comme je suis malade, je suis très sage, et très douce. Allez, s’tôoo plait, tu veux bien m’aider, dis ? Faut en profiter hein, que je ne râle pas…

En tout cas, merci à l’univers de m’avoir répondu. Comme d’habitude, le service est là. Tiens d’ailleurs, on devrait faire une émission, le Divin Presque Parfait, et noter les entrevus. La note la plus haute au guide qui répond le mieux et le moins vaseux. Mon émission va faire un carton ! Bien qu’ils sont les rois du vaseux parfois, à mon plus grand désarroi. *ahem ahem*

M’enfin, ils répondent. Et ils répondent toujours, même si nombres de gens ne s’en rendent pas compte. Ils veillent, ils veillent toujours.

Bises