J’étais claquée. Je sortais d’un rêve dans lequel j’avais dû combattre alors je n’étais pas de super composition. Et puis de toute manière, il était encore trop tôt pour me lever. Je décidais donc de me rendormir une petite heure.
Lorsque je pris conscience de mon rêve, j’étais en train de stresser dans une gare que je ne reconnaissais pas. J’étais descendue du train voyant qu’il ne me mènerait pas chez mon frère comme je l’avais cru au départ. Seulement ici, tout était bizarre, les noms des lignes ne correspondaient à aucuns de ceux avec lesquels j’étais familière. Même les quais avaient quelque chose d’irréel. Je décidais donc de finir le trajet à pied, en longeant la ligne de chemin de fer. La voie se transforma vite en bordures de falaises et le chemin rétrécissait à chaque pas, nous collant toujours un peu plus dos à la montagne pentue. J’en eus vite marre de galérer. Tout ceci rimait à rien. Je retournai sur mes pas et lançai un appel impatient.
– J’appelle mon guide, amène-moi là où je dois aller.
Quelque chose ou quelqu’un d’invisible prit mes mains dans les siennes en les croisant puis nous fit tourner sur nous-mêmes de plus en plus vite, nous faisant léviter par la même occasion à quelques centimètres du sol. On fit une dizaine de tours tout sourire enjoué, et un battement de cils plus tard, un nouvel univers se dessina, un endroit assez sombre s’ouvrant dans un couloir sans plafond, spacieux et bétonné donnant sur une pièce plus vaste en face. L’ambiance était assez particulière. Ça me fit penser à ces restes de ruines ou d’après guerre, des vieux murs usés et presque abandonnés.
Mon guide devint visible, me lâcha les mains et prit les devants. Il avait une carrure d’homme, tout ce qu’il y a de plus commun et humain.
Des effluves noires émanèrent dans l’air comme des jetés énergétiques doux et soyeux. Ils ressortaient de l’angle du mur donnant sur la grande pièce, là, juste au coin du couloir, à droite, quelque chose se cachait dans l’angle mort.
– Hééé ! C’est quoi, ça ?, dis-je surprise et attirée comme une mouche vers ce truc qui semblait gorgé de magie.
– « Camille, le dragon sombre de ta grand-mère défunte veut te parler, viens… approche… allez, va le voir. »
– Mamée avait un dragon sombre ?! Ça explique bien des choses, balbutiais-je. Est-ce lui, le dragon sombre qui me protège du bas astral ?
Les coups de vent faisaient des mouvements très furtifs en se jetant au milieu du passage, bien en vu, puis repartaient se cacher aussitôt. En m’approchant d’avantage, je découvris que la volée de masse énergétique avait la forme ressemblant étrangement à un cheval, ou un chien presque, avec son museau allongé, et sa paire d’yeux… Ah, sa paire d’yeux doux et affectueux, ronds, et sincères, aussitôt croisés avec les miens, il baissait la tête et reculait pour retourner se cacher dans son petit coin comme pour ne pas m’effrayer.
– Oh !… Tu es beau ! Ça va maintenant, m’écriais-je en m’approchant pas à pas, ça va, je suis prête pour te voir dans ta forme, je n’ai plus peur ! Je vais y arriver à te voir comme tu es, j’te jure ! Allez ! Viens ! Révèle-toi à moi, s’il te plait…
J’arrivai au bout du couloir et tournai timidement la tête sur la droite. Il apparut là, à un mètre de moi, les flux énergétiques noirs comme des courants d’airs taillées en pseudo forme plus ou moins caractéristiques. Lorsque cela effleura ma main tendue, ce fut un mélange de soie et de velours, d’une incroyable douceur et tendresse qui caressait affectueusement ma peau. Je ne craignais rien, même pire que ça, il m’aimait beaucoup. Beaucoup-beaucoup, ça se sentait dans sa manière de me toucher avec ses énergies.
Son corps n’était que peu visible, car les traits de son corps n’étaient pas fermement enfermée dans une forme prédéfinie. Il était un dragon fait d’éther mais qui semblait s’être densifié exprès afin que le contact puisse se percevoir par mes corps.
J’étais émerveillée. Tout de lui m’émerveillait. Son énergie avait beau être de l’Ombre, il émanait de lui une pureté incroyablement immaculée. A peine avais-je eu le temps de le toucher une première fois, qu’il sauta vers l’arrière et faisait des allers et venues du fond de la pièce à moi en ondulant dans le vent. On aurait dit qu’il cherchait à m’habituer doucement à sa forme visuelle, un corps allongée et court, un dragon typé asiatique, fin et linéaire, avec une tête ressemblant vaguement à celle d’un cheval pur sang, le tout fait d’énergie se modulant d’éther.
Son attitude était trop mignonne, ça me rappelait les animaux joyeux qui étaient surexcités et qui jouaient en sautillant partout.
Lors d’une énième enfilade où il me glissa à nouveau d’entre les doigts, je soupirai, un brin mélancolique.
– Pourquoi j’arrive à te voir toi et pas mon dragon ?… Pourquoi ?… Je ne comprends pas pourquoi il est aussi difficile de le retrouver alors que toi et les autres, j’y arrive …. Je ne comprends pas…
Il réapparut son museau sur mes mains, et ses pattes longeant tendrement les siennes en prenant soin de les glisser comme une caresse réconfortante et se posa là quelques instants, attentif à mes besoins.
– Que tu es doux… Tu as tellement d’amour pour moi… murmurai-je, chaque millimètre de ma peau vibrant et fondant à son contact. Ce n’est pas contre toi, mais Il me manque. Je suis triste de ne pas pouvoir retrouver mon dragon. Pourquoi toi et pas lui ?… Je ne comprends pas…
Une voix masculine remplie de compassion prit place en télépathie. Le dragon sombre me répondit avec une infinie douceur.
– » Il ne peut pas te retrouver ici, comme moi, dans ce genre d’espace. Ses énergies sont comme « confinées » dans un espace temps particulier et il ne peut pas te rejoindre comme moi maintenant. »
Je détournais les yeux en laissant mes doigts glisser davantage sur ses effluves. Sa douceur était tout bonnement incroyable. Jamais je n’aurais cru qu’un dragon puisse être aussi agréable au toucher, aussi aérien et pourtant palpable.
Il fit apparaitre une boîte représentant son espace en miniature et la fit léviter sous mes yeux pour que je la vois bien. C’était un aperçu miniature de son état.
– » Vois par toi-même, il est là », rajouta-t-il en voyant mon air qui déprimait à vue d’œil.
Il y avait un dragon en petite pâte à modeler miniature, fin et allongé, de couleur violette. Il était installé dans une pièce de vie comme on en verrait dans les petites maisons en bois pour enfants. Éparpillés autour de lui, se trouvaient des instruments. Mais je savais déjà qu’il aimait la musique. A la seconde où je vis le premier instrument, et son préféré, je me rappelai aussitôt un rêve oublié dans lequel il me disait aimer en jouer. Je souriais en voyant son attrait pour la musique.
Je relevais soudainement la tête pour continuer la conversation mais constatais avec stupeur que je venais d’être téléportée dans un vaisseau en plein milieu de l’espace qui avec une baie vitrée offrant une incroyable vue céleste de la Voie Lactée.
Trois autres entités sous forme humanoïde se tenaient debout, m’accueillant avec une certaine aisance, et sans trop de familiarité pour autant .
– [..x..], m’appela-t-on par un nom que je ne reconnaissais pas, dis, tu veux qu’on sonne le rappel à …, tu sais, [X] ? Non, parce que Lui, il est lent à la détente ! Attends, on va lui mettre un coup de pression ! », me dit la voix en se déplaçant vers une espèce d’interphone comme les vieux téléphone d’époque collés au mur avec un micro qui servait de haut parleur. Alors qu’elle allait appuyer sur le bouton pour lancer l’appel, je la stoppais au quart de tour.
– Ah… ! Mais non ! Ne le dérange pas… ! Il m’a dit qu’il avait des choses à faire cette semaine, il a ses trucs à finir. Laisse-le tranquille, ne le dérange pas… Ca s’fait pas… Il m’a prévenue en plus, qu’il avait besoin d’être tranquille… On sonnera le rappel partir de la semaine prochaine.
– « Bon… comme tu veux… Mais t’as vu, il a besoin d’être rappelé… Il est vraiment lent à la détente pour capter et intégrer les informations. Tu sais, avec lui, ‘faut vraiment pas hésiter à lui envoyer des rappels, hein, sinon, il a du mal à les prendre en considération. C’est une personne très concentré et studieuse, toujours à fond dans ce en quoi il s’intéresse… Mais tellement dans sa bulle… Tu sais, ça va lui faire un bien fou de t’avoir dans sa vie. Tu vas lui retourner totalement son univers… Il sera obligé de tout revoir… Il changera toute sa vie juste pour être avec toi. »
Je souris en baissant les yeux, touchée par ce qu’il dit. J’étais heureuse de l’entendre. J’avais besoin d’avoir un homme qui ait la niaque, qu’il sache ce qu’il veut et qu’il n’ait pas peur de se donner les moyens. Parce que j’étais pareille. J’étais une femme entière. Quand j’aimais, aller au bout du monde n’était pas un problème. Cela dit, j’éprouvais aussi sur le moment une immense compassion. Ca promettait d’être très rude pour lui. Ce qui lui tomberait dessus serait pire qu’une montée enflammée de kundalini… Mais Au moins, j’étais prévenue, je pourrais donc agir en cas de besoin.
– Ah au fait, dis-je en me retournant sur une des personnes présentes, tout à l’heure vous m’avez appelée par un autre nom, je ne le connais pas celui-là.
– « En réalité, vous avez tous 3 noms différents, enfin 4 si tu rajoutes le dernier que vous avez reçu leur du changement de la rotation des pôles ».
– Ah… merde, c’est vraiment arrivé ce truc alors ?!, m’étonnai-je à voix basse, à moitié en train d’halluciner sur la portée de ce que cela signifiait. Hatori était donc celui que j’ai reçu à ce moment là, mais et les 3 autres ?, lui demandais-je. Je ne les connais pas, ceux-là.
-« Quoi ? Ceux-là ? …. , ….. , et …. . «
Elle les enchaina tellement vite que je n’eus pas le temps de percuter et les graver dans ma conscience.
– Oh… et pareil pour [X], alors, je suppose ?
-« Oui, mais lui, c’est différent, il est de la Famille (…) alors ça ne fonctionne pas tout à fait pareil. Pour son nom, nous l’appelons (…).
– Oh, c’est joli quand même, ça ressemble vaguement à son nom d’Essence.
– « Camille !, cria une voix derrière moi, Viens vite !! Ça va commencer !! Il faut que tu voies ça ! Tu vas adorer ! »
Je tournais la tête vers ce petit bout de femme qui se faisait face à l’immense baie vitrée alignée sur la voie lactée. J’accourus vers elle en deux temps trois mouvements.
– Quoi donc ?
Elle leva le bras en direction des étoiles, et par un immense sourire, elle me regarda et dit :
– « C’est l’heure de la descente ! Tu vas kiffer… je le sais ! »
Le vaisseau se rapprocha de la voie lactée comme si nous nous trouvions sur une tranche de l’espace, rapprochée à son paroxysme. Je crois que c’est à cet instant où je pris conscience que la notion de gravité et création des mondes est très relative. Et que la terre, est au milieu d’un enchevêtrement non pas rond, mais aplati et elliptique. Je pense même qu’à ce moment, il me semble que j’avais l’impression qu’on comprenait mal notre science astronomique en pensant que la Terre bougeait. Dans le vaisseau, j’avais cette étrange sensation que c’était toute cette plateforme autour des planètes qui bougeait et non les planètes les composant dans un espace fixe (si vous voyez ce que je veux dire). Du coup, cela simplifie énormément le processus de changement des pôles si ce n’est pas la Terre qui bascule, mais l’espace nous englobant. Ce n’est pas la terre qui bouge, ni les étoiles, mais la matière noire, celle qui relie le tout.
Le vaisseau se happa dans une trajectoire totalement absorbée par une gravité elliptique qui se courbait sur la voie lactée. Cela me vit l’effet de la première longue descente au Grand Huit. Nous arrivions sur la courbure de notre espace limitatif (réservé à la Terre et à ces quelques planètes environnantes), et en face, se trouvaient les autres planètes appartenant au système de la Voie Lactée, en gros plans, et emmitouflés dans une gazeuse vert luminescent. Elle avait raison, c’était vraiment l’attraction à ne pas rater…
– Wouahhh !! Mais c’est mortel !!!! Et puis… la vache !! Regarde !! REGARDE !! Les planètes, là ! C’est trop beau !
Tout semblait si proche, comme si, d’un coup de bras baissé, nous pouvions caresser les effluves et les trainées d’étoiles scintillantes appartenant à un autre espace temps. L’attraction dura le temps de la courbure, le vaisseau restant parfaitement calibré sur sa trajectoire initiale.
Je me retournai vers les autres, avec un regain énergétique comme si l’énergie de la Voie Lactée m’avait baignée de force et d’émerveillement malgré le fait que nous étions bien installés dans le vaisseau stellaire. Ce-truc-est-magistral ! Il faudra que je revienne le faire de temps en temps !
Toute sonnée par l’attraction du siècle que je projetais déjà de refaire, je retournais vers les autres restés en retrait, au fond de la pièce centrale, dans un petit espace confortablement aménagé comme un genre de salon.
– Au fait, avant que je me réveille, parce que je sais que j’vais pas tarder à m’réveiller, il faut que je vous dise un truc important.
– « Quoi donc ? », fit l’un d’eux en relevant la tête suivi des autres.
– Merci. je vous voulais vraiment vous remercier pour …. (tous retournèrent à leurs conversations, en se désintéressant totalement de la suite de ma phrase) Non mais vraiment !… Merci d’être là pour moi !
Un autre releva les yeux en réponse à mon ton plus qu’étonné, et me fit un très léger signe de tête en signe d’approbation. Je compris simplement qu’ils n’attendaient pas de reconnaissance de ma part. Ils le faisaient parce qu’ils en avaient envie, et ça leur suffisait. Ils semblaient détachés et sans attente, ou peut-être était-ce parce que j’étais humaine et eux non. Ils assistaient par notion de devoir, peut-être. Et pourtant, ils n’étaient pas obligés de m’accueillir ici pour m’amuser. Parce que je reste persuadée que ma venue ici, était surtout pour me faire délirer avec cette attraction qui m’en avait mis plein la vue. Ils savaient que j’aimerai ça. Alors ils ont voulu me faire plaisir et me voir sourire. Ces êtres sont de vrais mystères… Était-ce leur job ? Ou du fait de nos affiliations ?…Mais lesquelles avions-nous dans ce cas,, eux qui semblaient me connaitre si bien ?…
J’attrapais alors la petite personne qui m’avait attiré près de la baie et la serrai fort dans mes bras.
– « Non… ne me sers pas comme ça… tu ne peux pas… Ne fais pas ça avec moi…Ne me touche pas… « , dit-elle soudainement très mal à l’aise.
Un autre être qui se tenait non loin d’elle durcit son regard en me voyant faire. En un coup d’œil, je sentais comme s’ils étaient en relation l’un et l’autre d’une certaine manière et que ce genre de marque d’affection devait rester intime. Cela ne semblait pas se faire dans leur culture.
Pour les titiller un peu comme ils m’avaient snobée tout à l’heure quand je voulais les remercier, je la pris une nouvelle fois dans mes bras et lui fit un bisou méga furtif sur les joues en reculant vite fait, bien fait, avec mon sourire le plus malicieux du monde.
– « Mais Camille ! Non, je ne t’aime pas comme ça ! Tu ne peux pas m’approcher comme ça… »
– J’t’aime bien, mais ne t’inquiète pas, il n’y a rien de plus… ! C’est une marque de remerciement humain, m’exclamai-je en tournant à moitié les talons. Allez, ça va-ça va, tu as le droit de me piquer du doigt pour te venger mais fais vite avant que je me réveille ! Tu n’as plus que quelques secondes si tu veux prendre ta revanche !
Elle se pinça les lèvres, se torturant à l’idée de devoir me toucher et puis abdiqua. Je l’avais mérité après tout. Doigt tendu en courant vers moi, je me laissais approcher en faisant mine de m’échapper pour m’éviter son courroux.
– « Ok, tu l’auras voulu ! »
– Oh non ! Non ! Mon dieu !
– « Tu l’as cherchée !… Tiens !… Et tiens tiens, tiens ! « fit-elle en m’enfonçant son doigt gentiment dans les côtés.
– Aie- Aie-Aie !… Pfffhaha… D’t’façon, je vais me réveiller ! Hahaha
On était comme deux gamines humaines dans une cour de récré. Un décalage absolu avec la réalité dans laquelle nous nous trouvions à cet instant. Des clans d’une autre dimension, dans l’espace, avec les planètes dans le vide. Ce moment restera gravé en moi comme une petite perle de satisfaction purement infantile, et à ce jour inégalée. Voilà ce qu’était être humain. Voilà ce que je voulais qu’ils retiennent. Notre insouciance, et notre candeur. Et notre amour, malgré tout.
L’autre personne qui me regardait l’air assombri en plissant des yeux, se rapprocha d’elle et lui posa une main sur les épaules tandis que je m’éloignais de quelques pas, prête à quitter ce monde. Ouh… Celui là, il va m’bouder sec pour avoir osé toucher à sa bien-aimé !… La vibration se préparait déjà à se moduler, je le sentais comme un appel sourd dans mes instincts primaires. Je lui rendis son regard, lui jetai un clin d’oeil amusé en signe de paix mais surtout pour lui faire comprendre que je respectais son lien et son rôle à ses côtés, et me retournai arborant un grand sourire tout en perdant la vision.
Lorsque le décor réapparut, j’étais rentrée chez moi, dans ma chambre, dans mon lit tout chaud. La gueule ouverte, le sourire pendu aux lèvres et la beauté de l’espace plein les yeux, je m’esclaffais toute seule.
– Je crois qu’ils se souviendront de ma visite, eux ! …
bonjour camille,
ton reve sur les ruines m’a fait penser à un bunker allemand lors de la fin de la seconde guerre mondiale .
J’ai trouve cela tres mysterieux, en particulier, l’episode du dragon noir de ta grand mere. je me suis toujours demande si ma grand mere maternelle pratiquait la magie. Elle est tres sombre dans son caractere. D’apres toi,comment puis je le savoir? et comment aurais t elle pu etre initie sachant que la magie etait moins repandue apres guerre bises
Bonsoir Alexandre,
Le fait d’être entouré ou non de guides ne date pas de la guerre ou de l’avant guerre. C’est un lien que nous avons depuis de nombres de vies.
Après, il est certain que durant certaines expériznces sur terre, nous avons peut être amenés à nous couper de la guidance pour une raison ou pour une autre.
Après le lien avec les dragons sombres n’est pas forcément dû au fait d’être soi-même sombre. Tout dépznd de notre parcours et des initiations que nous faisons sous l’égide des guides.
Elle pouvait très bien de paraitre très sombre et pourtant avoir aussi des guides de lumière. C’est plus courant qu’il n’y parait.
Bises