Faire ce que l’on croit juste

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Pour une fois couchée pas trop tard, disons plus tôt que d’habitude, je commençais ma nuit par un rêve bien chiant. Je me faisais agressée dans la rue par une bande organisée qui volait les passants. Je m’étais trouvée au moment endroit, au mauvais moment. Je savais bien qu’un jour j’allais m’faire racketter, mais quand même, j’avais les boules. Mon téléphone avait tous les accès à ma vie privée et rien qu’envisager me le faire piquer, m’énervait éperdument, d’autant plus que j’étais tellement prise dans le rêve, qu’évidemment, non, je n’étais pas lucide. Néanmoins, avec un peu de filoutage, le mec craqua et me rendit mon téléphone. Certes, pas en bon état, mais je le récupérai tout de même. C’était déjà ça mais pour m’avoir tourmentée de la sorte, il méritait un revers de médaille. Après tout, j’en avais assez de me laisser attaquer en repartant la tête basse, en faisant profil bas. Je repartirai, certes, mais pas sans appel aux représailles.

Du coup, en une fraction de seconde, un sceau de Salomon apparut d’instinct en tête et je lui balançai en rechignant, tout en appelant un guide pour lui flanquer une leçon. Cette manipulation magique accouplé à mon agacement fit revenir d’emblée ma lucidité. Ces derniers temps, on m’avait trop pris le chou en rêve. Il fallait que les gens comprennent que me prendre pour cible avait un coût. Fini les fois où j’encaissais sans rien dire, en laissant faire.  Je demanderai dorénavant à mes guides de se manifester lorsqu’on viendra m’emmerder. Certes, je me collerai une leçon de moral au passage, mais le jeu en valait largement la chandelle. Ça m’emmerdait moins de bosser sur ma personnalité et mon égo plutôt que de voir les autres s’en tirer toujours la bouche en cœur. De toute façon, je me remets souvent en question, alors une fois de plus ou moins… Je ne suis plus à ça prêt. Dans tous les cas, je râlerai, alors autant que ma râlerie serve à quelque chose. Dans tous les cas, il est rare que je refuse une morale en échange d’un résultat que je juge prioritaire.

D’ailleurs, petit aparté,

Pour moi, quand on me dit, « ok, on veut bien t’aider mais tu vas t’payer une initiation ou une leçon », j’valide direct. Pourquoi ? Parce qu’en général, quand je demande, c’est que je suis décidée. Et que le jeu en vaut la chandelle. L’aide est une chose, mais si on n’a pas la maturité pour suivre la portée de ses actes, c’est con, vous ne trouvez pas ? Ou comme ces gens qui râlent après leur vie mais ne font rien pour changer eux-même. Ou alors comme ceux qui demande à guérir, mais ne veulent rien changer de leurs habitudes, c’est con. Pourquoi le problème se résoudrait-t-il de lui même si vous-même n’êtes pas prêt à être ce changement ?

Lorsqu’on choisit d’évoluer, on réapprend à manipuler les forces autrement. Je ne suis pas une radine en terme d’investissement personnel. J’aime quand on m’explique, même si ça me fait râler. Parce que je vois l’importance en jeu. Si l’objectif a un sens profond pour moi, on peut me dire que l’initiation sera rude, j’m’en foutrais royalement. Alors, me connaissant, je râlerais très certainement, mais j’essaierais aussi d’être stratégique. Je la scinderais en étapes plus courtes et plus accessibles, voilà tout. Alors, on peut très bien me dire « ouais bah on ne peut pas toujours faire des pauses quand on veut », oui, mais n’as-tu pas eu tout le temps de faire des pauses avant ? Et après ? Qui t’empêchera de faire une pause bien méritée, après ?

La vie est cyclique. Il y a parfois un temps pour s’investir, et un temps pour se reposer. Et parfois, il est temps de montrer ce qu’on a sous le capot.

Vous voyez, ça me fait penser à mon nouveau cours en video de yoga. Il est rude. Vraiment rude (Ashtanga class pour confirmés). Franchement, à la base, je voulais juste faire quelques positions sur la tête, sans me galérer. Et puis je suis tombée sur cette video. J’ai cru que j’allais crever. En plus, je n’arrivais à rien faire correctement et tout était trop dur. Mais ce qui a payé fut le travail et la rigueur. Au fil des séances, je voyais que je progressais, je n’avais pas besoin de forcer, mais juste de m’investir. Aujourd’hui, 3 mois après l’avoir instauré dans ma routine hebdomadaire, je ne suis toujours pas capable de faire tous les portés, mais voilà, je progresse à chaque fois un peu plus. Je suis plus forte, je récupère des muscles que je n’avais pas eu depuis mes 15 ans et mes cours de gymnastique acrobatique. Et vous savez quoi ? J’en suis fière. Alors, j’ai compris une chose. Ce n’est pas la difficulté de l’épreuve qui compte, mais notre ancrage dans l’objectif à atteindre. Qu’est-ce qui compte pour soi ?

Certaines choses s’acquièrent avec effort et volonté. Alors si tu veux quelque chose, donne-toi les moyens. Sois prêt à investir ta force, ton courage, et ton ancrage dans ce en quoi tu crois. Tu flanches avant la fin ? Est-ce vraiment grave ? Qu’as tu appris sur le chemin ? N’es-tu pas plus fort aujourd’hui ?

J’ai dit plus jeune qu’un jour, je verrai mes guides en face à face. J’y suis arrivée. J’avais dit que je voulais rencontrer mon âme en direct, je l’ai vu. J’ai travaillé dur. Très dur. J’ai eu tellement d’échecs que les gens ne réalisent pas quand on lit la facilité avec laquelle j’évolue aujourd’hui dans mes rêves lucides. Mais voilà, j’ai rien lâché parce que je croyais que c’était possible, j’étais persuadée que c’était accessible. L’objectif peut être réel et à portée.

La volonté c’est cela, rendre quelque chose accessible. On affirme un état d’être. Mais que veut-on vraiment ?

Ce qui compte n’est pas de penser qu’on est capable ou non, parce qu’en réalité, on ne sait absolument pas de quoi on est capable, tant qu’on ne le vit pas, tant qu’on ne l’éprouve pas. On a bien une idée de nos ressources, mais on se fit trop à la surface de l’iceberg, alors, on oublie qu’on en a encore sous le capot.

Bref, je me suis égarée…

Ah oui, à la base, je racontais mon rêve de ce matin. Astaroth, voilà, c’est de ta faute, je suis dans les énergies de l’Ombre aujourd’hui. Donc, je disais…

Oui,  j’avais appelé un guide pour lui donner une leçon.  Et quelques instants plus tard, alors que je réfléchissais à qui allait répondre à mon appel et comment ma petite vengeance éducative allait prendre forme, ma lucidité revint au galop. Je ne faisais pas les liens entre ce type de rêve et le message de mon âme. Pourquoi faire ce rêve ?… C’était quoi le message codé ?

J’arrivais à un carrefour, pensive, quand mon propre livre de canalisations des guides m’apparut entre les mains. Je souris. Comme quoi…  je rechignais à les canaliser ceux-là, mais j’étais tout à fait capable de le faire quand j’en avais envie, en plus de les côtoyer en rêve lucide. Ca me faisait rire.

J’ouvris le livre qui pointa directement la page de la canalisation de l’instant présent. C’était Astaroth, mon Démon protecteur. Ah.. Astaroth, tu viens peu me voir de manière aussi flagrante… Qu’est-ce qui est suffisamment important pour que tu prennes la parole ?

Y’avait rien à faire, rien à dire. Quand un de mes guides se manifestait ainsi, c’était toujours important, ils ne parlaient jamais dans le vide. Ils ne brassaient jamais du vent. Et ses mots furent doux, et précis, un texte qui émanait une noblesse certaine. Il s’adressait à moi directement, avec droiture, et une drôle de foi en moi qui me fit bizarre. Ce n’était pas de l’attente, ni de l’exigence, mais de l’espoir. Comme s’il savait que ce qu’il me disait, je pouvais y arriver. Parce qu’il m’en croyait capable.

« Fais ce que tu crois juste. » était-il écrit sur la page.

Puis en continuant le paragraphe, il m’expliquait que je n’avais pas à être à l’image des autres. Je n’avais pas à être ce que les autres voyaient en ma divinité (déité incarné), ni ce qu’ils attendaient de moi en tant qu’humain. Ni non plus ce que moi j’attendais de ma propre divinité ou de ma personnalité humaine. Je devais faire simplement ce que je croyais bien pour moi, ce que j’estimais juste. Je n’avais qu’à suivre mes intuitions et aller là où je me sentais bien. « Fais juste ce que tu crois bon pour toi », concluait-il suivi de termes latins laissant sous-entendre une certaine influence biblique, et offrant à l’ensemble, une dimension particulièrement divine. Cela m’intrigua. Astaroth pesait les mots. Pourquoi utilisait-il des termes en latin ? C’était joli. En les lisant à voix haute, il était évident que ces termes avaient un sens plus profond. Un ange n’utiliserait pas de terme qui n’auraient aucun sens. Cela piquait ma curiosité.

Mon mental se réactiva doucement tandis que je me réveillai dans mon lit, attendrie par la douceur de sa manifestation. J’ouvrais les yeux, il était encore tôt, très tôt, 3h15 du matin. Ce n’était pas souvent que les rêves lucides et le dialogue se faisait sur la première session de sommeil, mais c’est vrai que ce n’était pas rare non plus.

– Astaroth… tu es si bienveillant avec moi… Merci pour ton message. Je ne suis pas sûre de réaliser l’ampleur de ce que cela implique. Mais j’entends ce que tu me dis. Je crois  que j’ai juste peur que si je fais ce que je crois juste, je n’arriverai pas à m’en sortir dans la vie.

Son message me touchait. Je le sentais exigeant et dur et pourtant doux et compréhensif.  J’avais la sensation qu’il croyait en mes capacités bien plus que moi je ne croyais en les miennes.

Faire ce que moi je crois juste, c’est ce que j’ai toujours essayé de faire dans ma vie, je me suis battue pour mes convictions et ma liberté d’être, pour mon indépendance. Mais là, sachant que j’essaie de m’insérer dans la société, je me demande quel rôle je dois prendre. J’essaie de passer en mode « requin ».

Lorsque j’envoie mon manuscrit à la maison d’édition, je stresse. Mon quotidien d’ange terrestre et mon franc parlé, tout mon univers et ma façon si libérée de vivre avec les guides et les dimensions, ce n’est pas commun. Je me demande si quelqu’un me laissera ma chance et m’acceptera comme je suis, ou si on me demandera de me conformer à l’illusion de ce que les autres pensent de la médiumnité. Car c’est souvent ceux qui ressentent le moins qui croient savoir le plus. Alors j’ai peur. j’ai peur que mon univers déplaise et soit mal accueilli. j’ai peur que cela choque et soit rejeté.

Je me disais que peut-être je devrais me calmer avec mes guides. Être plus docile, plus bisounours, comme ce que finalement, les gens attendent et s’imaginent. Et puis finalement, Astaroth me réconforte. Je peux être ce que j’ai envie, comme j’ai envie. Alors je vais continuer de faire ce que j’estime juste et d’oser affirmer les choses auxquelles je crois. Et les anges ne me jugent pas. Ils m’encouragent à être ce que je suis. Et je suis une femme qui parle avec des mots simples, qui dit ce qu’elle pense, et qui a un tempérament de feu. Voilà.

 

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15 Comments

  1. alexandre

    Bonsoir Camille,

    Le conseil d’astaroth était également ce que mon mon ami et maitre décédé ne cessait de me répéter « fais ce que tu crois juste » C’était son credo de vie ,je souris en repensant à ces moments passés en sa compagnie. Il était magnétiseur et avait un inégalé en magie. Je me suis d’ailleurs toujours demandé pourquoi il avait fait de moi son élève. Bon, je sais ,je lui avais demande de m’apprendre la magie a l’époque suite a une tentative d envoutement sur ma personne. Ça doit être dans ma nature ,je suis assez rancunier. Bref, je te comprends ,prendre des coups et ne pouvoir les rendre , y a rien de plus frustrant.Mon maitre qui servait l’ombre et la lumière avait comme politique de renvoyer en double ou en triple toute action faite contre lui.C’est également la mienne.

    L’ombre n est pas facile a comprendre lol .

    Récemment, j’ai rencontrée une fille magnifique et relié e a l’ombre. J’aurais une question a te poser si tu le permets: penses tu que la sincérité et l’honnêteté peuvent exister dans une relation presque amoureuse entre deux êtres de l’ombre? Bises

    1. Spiritual Flower

      Bonjour Alexandre,
      Pour ma part, je pense que celui qui maitrise sa propre puissance n’a pas besoin de renvoyer les coups en double ou en triple. Car il sait comment gérer pour ne pas avoir à dépenser plus d’énergies que nécessaire pour annuler l’attaque. Du moins, c’est comme ça que je vois la sagesse et la maturité. et c’est comme ça que me guident mes propres guides de l’Ombre. Cela dit, je peux comprendre les esprits vengeurs, mais je n’y adhère pas. Je trouve que ça manque cruellement de classe.
      Par contre, je ne suis pas contre une bonne leçon de moral qui servira aux deux. Je trouve ça plus constructif que cogner pour cogner et crier qu’on est le plus fort.

      Sinon, ah, l’Amour dans l’Ombre, c’est un très beau sujet. Bien sûr qu’on peut aimer, à un niveau très pur d’ailleurs. L’Ombre n’est pas le Sombre. Ce n’est pas parce qu’on évolue dans l’Ombre qu’on ne peut pas être beau, sincère, chaleureux et droit. Au contraire, l’Ombre a un certain niveau vibratoire a une très belle puissance que j’aime beaucoup. C’est charismatique, puissant, et particulièrement honorable.

      Autorise toi à aimer, le reste suivra si c’est ton chemin.

      Bises

  2. alexandre

    Bonsoir Camille,

    Merci encore pour ton conseil, ça me rassure. Pour la conduite en cas d »attaque , je suis d’accord avec toi  car renvoyer un travail en double demande plus d’énergie. Mon maitre le faisait car il en avait les capacités , non par vengeance mais pour ne plus être ennuyé définitivement. Il était la dessus tees tranchant. Je dois bien t avouer ne pas avoir fait de travail dans l’ombre depuis un moment ;mon seul travail était dans la lumière pour protéger mes chattes. Je me sentais agressé par des énergies négatives émises par certains proches ;j ai du prendre quelques bains de sel pour me protéger ..  Bref en ce moment ,je médite sur la flamme violette comme technique de guérison. J espère pouvoir l’adapter pour soigner autrui bises

  3. Rae

    Je vous en prie, ne vous « calmez » pas, car c’est alors votre Beauté que vous muselleriez d’une abominable et bien dommageable façon. Je sais que je me répète, mais votre texte m’a ému, et mon Coeur est fidèle à lui-même.

    Votre façon d’être, je la respecte, et même, je l’aime, car il me plaît de voir les « illusions » ballottées par le feu d’un être irréductiblement authentique. Les croyances ne m’intéressent pas, ce qui m’intéresse, c’est de voir les êtres vibrer, et donc de vous voir vibrer dans la plénitude qui est votre dû le plus fondamental.

    Votre univers, je l’accueille et je le chéris sans réserve. Je vous le dis à fin de manifester ma reconnaissance de votre être, ainsi que pour inciter en vous la Foi en eux que j’aime voir en les êtres, car alors il sont sûrs et fiers de leur Beauté.

    Soyez fière de vous, et n’ayez pas peur. Ce serait tellement dommage.

  4. Rae

    Je souhaitais également intervenir à propos de la question d’Alexandre, mais happé par d’importunes obligations, je ne pus m’exprimer sur un sujet qui ne m’est pas moins cher.

    Je suis de l’Ombre. Ce n’est pas une affirmation des plus aisées pour un non perceptif tel que moi, et je craindrais toujours d’avoir sombré dans le délire -c’est une excellente déclaration pour finir en hôpital psychiatrique- si je n’avais pas parcouru le blog de Jeremy, et que je ne le sentais pas comme une vérité profonde de mon être.

    L’Ombre n’est pas la complaisance dans le vice, l’esprit de revanche, ou la nuisance gratuite, mais la recherche et l’expression de la divinité dans l’individualité. Et les qualités de cœur ainsi que l’intégrité sont de très belles émanations propres à anoblir et glorifier cette dernière.  l’être sombre les manifeste comme un témoignage de sa Beauté et de sa Grandeur, plutôt que comme dans la lumière, un joyeux témoignage de la beauté et de la grandeur de la Vie.

    Certes, l’ombre n’est pas le royaume de la charité, mais ces derniers temps j’en suis venu à adoucir mes vues sur elle. Elle peut être dure et porter la domination, certes, mais j’en suis venu à croire très intimement, avec mon absence de moyens de non perceptif, que des choses comme la douceur et la compassion sont tout autant capables  d’exprimer sa noblesse, exprimées par des individualités pas moins ambitieuses et puissantes.

    Je suis très attaché à l’ombre, et je ne pouvais pas laisser la question d’Alexandre suggérer le trop commun postulat qu’on y est plus vicieux et moins capables des belles et nobles choses.

  5. Cel

    Coucou Camille,

    Je ne sais pas à quelles maisons d’éditions tu as envoyée ton manuscrit, mais mon intuition me dit que celle dont je t’avais parlé pourrait être intéressée. Je lance la balle mais tu en fais ce que tu veux et sens juste pour toi ^^

    Je n’ai aucun doute que tu trouveras le bon éditeur, même si cela prendra le temps qu’il faudra. J’ai pu voir que c’était important d’avoir un éditeur qui te respecte -à défaut de tout comprendre- et avec qui tu puisses travailler sur le long terme, parce que cela permet de donner de la profondeur à ton travail et de construire un édifice en étages successifs, sans que tu t’inquiètes que les bases s’effondrent (et crois moi j’ai entendu et lu plus d’une histoire comme ça concernant l’édition).

    Des fois, on peut croire qu’un gros éditeur permettra une plus large diffusion. Mais des fois on peut apprendre aussi qu’en réalité, c’est une machine tellement grosse qu’elle se repose sur ces lauriers et ne fait pas de réel travail de comm’ et de diffusion. Si je peux te donner un conseil : trouve toi un éditeur qui te ressemble sur la façon d’organiser/gérer/ mettre en place un projet. Quelqu’un avec qui tu puisses réellement travailler sur le long terme, et qui possède de réelles compétences d’édition. Parce que l’édition (et la diffusion) et l’écriture sont vraiment 2 jobs différents.

    Bises

    1. Spiritual Flower

      Coucou Cel,
      Je ne sais même plus laquelle tu m’avais parlé. Tu veux bien me renvoyer leur contact ?
      Après tu sais, j’y vais à taton. Je teste et me laisse porter par le flow.
      Je ne cherche pas forcément les grosses, mais celles qui pourraient s’interesser à mes projets et dans lesquelles je pourrais m’y retrouver.

      Bises

  6. Cel

    Coucou,

    Pas de problème, c’est : http://editions-alliance-magique.com/

    J’ai acheté pas mal de leurs livres à leur début, je connais moins leurs derniers choix de parution. En tant que cliente, j’en suis très contente, livre de bonne qualité, expédition sans problème et discrète. En revanche, je ne connais pas trop leur efficacité de diffusion, car moi j’ai été abonnée dès le départ.

    J’ai aussi lu (livre et blog) le fondateur, et j’aime son approche de ésotérisme, elle me parle en tout cas. Je sais qu’avant il avait monté une boutique en ligne, puis physique.

    Bonne exploration,

    Bises

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