La nutrition

L’apport énergétique du corps humain

Mister broccolo

Le corps , ce n’est pas juste « j’ai faiiim !! » en criant et en gargouillant. C’est avant tout un appel à différent besoins en énergie.

Lorsque l’on ne comprend pas ses besoins, on ne le nourrit pas au bon endroit. Le besoin reste, mais il est compensé par le reste et le corps va alors commencer à subir certains troubles du à ces compensations justement.

Ce n’est pas juste, des protéines pour le sport, et 7 fruits et légumes par jour.

Le corps physique, c’est des oligo-éléments, des minéraux, des vitamines, des protéines, des glucides, et toutes les « … ides ou …ines » autres dont je ne connais même pas le nom mais que vous trouverez sur des sites expliquant la nutrition.

Attention aussi aux aliments dits de consommations courantes mais qui provoquent chez de nombreuses personnes des troubles physiques et psychiques car ils sont peu/mal ou pas assimilé par le corps. On retrouvera les courants : lactose, gluten, soja, et tous les autres qui dépendront de votre corps personnellement.

Ils sont bien souvent la raison d’inconforts et de trouble-fêtes dans nos humeurs qui doivent subir ses inconforts.

L’alimentation ce n’est pas simplement manger pour manger. C’est manger pour être bien, pour vivre bien dans sa tête et dans son corps.

Il n’existe pas une nutrition type. Chaque individu a ses propres besoins, aussi certains assimileront très bien le blé, et d’autres non. Dans certaines familles, on voit cela comme des grosses contraintes que de devoir adapter l’alimentation aux besoins de chacun, et pourtant, c’est essentiel pour tous que d’apporter à son corps ce dont il a besoin pour bien fonctionner sinon, c’est comme le détruire à faible dose. 

Si la nutrition vous intéresse, n’hésitez pas à consulter des sites dédiés, non seulement ils regorgent de délicieuses recettes, mais aussi ils apporteront tout autant plaisir qu’énergie qui permettra au corps de fonctionner correctement.

Également,  l’alimentation reflète aussi la manière de nos propres attentes envers le monde extérieur. C’est très courant que nous cherchions à combler un manque ou un traumatisme par l’alimentation. On ressentun besoin à combler et comme nous ne le pouvons pas émotionnellement, nous tentons de nous l’apporter par substitut.

En réalité, c’est un leurre qui marchera un temps, et si vous en faites une raison, mais le corps n’aura toujours pas ses besoins réels de comblés, aussi, après un temps, il subira tout de même les conséquences de ses différents apports. 

Manger un pot de glace ou manger du chocolat lorsqu’on est déprimé, n’est pas un mal en soi, mais si vous en mangez et qu’au final cela vous apporte d’autres inconforts alors vous comprendrez que ce n’est qu’une réaction à satisfaire l’égo, et le psychisme et non le corps.

Cela ne signifie pas qu’il soit mal de compenser, au contraire, c’est une réaction tout à fait naturel. Nous avons un besoin, une attente et donc nous essayons de nous l’apporter comme nous ne le trouvons pas à l’extérieur.

Le leurre se trouve dans le fait que tant que nous attendrons de l’extérieur, nous n’arriverons pas à le trouver en nous-même. Et donc, le corps humain subit directement les aléas émotionnels.

Aussi, on comprendra que le corps émotionnel et le corps physique sont étroitement liés.

La manière dont nous nous nourrissons est un indicateur sur notre regard émotionnel par rapport à notre univers intérieur, mais aussi sur le monde extérieur.

La nutrition nous montre de quelle manière nous souhaitons nous nourrir. Sommes-nous attentif à nos besoins ? Ecoutons-nous notre corps ou subissons nous le poids de nos compensations envers d’autres attentes ?

Cependant, comment faire lorsqu’on décide de ne plus compenser ?

Et bien, il ne suffit pas d’arrêter une compensation pour une autre, parce que c’est souvent ce qui se passe lorsque le corps physique vit la compensation comme une dépendance face à un trouble. Il faudra alors travailler en accord avec le psychisme pour aider le corps physique à changer les habitudes alimentaires, à prendre de nouvelles décisions.

Le corps physique est une réaction en chaine. Si vous lui changez brutalement son environnement et que votre état émotionnel en dépend directement, si vous lui enlevez sa béquille, il va grincer des dents, ce qui est naturel et prédictif.

Travailler avec le corps physique, c’est comprendre qu’il est lié à votre état émotionnel, il n’est « qu’un porte-parole. »

Lorsqu’on a faim, a-t-on vraiment faim ? est-ce un manque d’énergie ou est-ce une envie de sucre parce qu’on a passer une sale journée ?

C’est drôle, on ne se goinfre jamais avec des petits pois ou des haricots  lors d’une pause ou devant un film… alors que ce sucre, ce chocolat, cette glace, miam !!

Voilà, c’est cette recherche du plaisir qui devient compensateur. On associe plaisir et bien-être. Mais le réel bien-être ne dure pas que lorsque l’on en mange et s’arrête ensuite.

La nutrition, c’est alors une prise de conscience sur nos besoins et nos troubles intérieurs.

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