Oui, les rituels satanistes existent bel et bien (à mon plus grand regret…).
Cette page est uniquement à des fins d’informations et de prévention.
C’est un sujet très touchy et bien épineux, je le conçois, mais on va l’aborder malgré tout. Pourquoi ? Parce que l’ignorance fait aussi pas mal de dégâts, alors autant prendre conscience. Si cette page vous met mal à l’aise, je peux tout à fait le comprendre.
Je suis tout autant mal à l’aise de voir se démocratiser à la télévision toutes ces pratiques et les rendre publiques à la vue de tous pour en faire des « trucs cools et branchés », des « trucs décalés », des trucs « rebelles » et « anticonformistes », le tout à l’esthétique « alléchante » qui minimise le message profond.
NON, ce type de rituels ne sera jamais COOL.
Voir des rituels sur les plateaux de télévision ne me fait absolument pas rire. Je déplore pleinement ce type d’ingérence.
Et je vous le dis franchement, ça se voit que les gens ne voient pas ce qui se passe dans l’astral. Ça en refroidirait plus d’un.
Je vais simplement vous partager ma vision de ce triste réalité et les conséquences directes de l’autre côté, en sortie de corps, parce que visiblement, on oublie très largement de communiquer les conséquences.
Sous prétexte qu’on ne voit pas ce qui se passe dans l’astral, cela ne signifie pas que cela n’existe pas.
Les marques et rituels sataniques n’ont AUCUN objectif lumineux.
Satan, le Diable, le Mal … appelez-les comme vous voudrez. Tellement d’entités sont à l’oeuvre du Mal. La réalité est telle que bien souvent, derrière un tel rituel, on tombe sur un démon qui a des projets machiavéliques envers les humains, et la Terre par affiliation.
On les qualifie de « sataniste » mais c’est en réalité un terme générique se référant à l’égrégore du Mal.
Derrière se cache une entité démoniaque qui se reconnait dans l’objectif du Mal et qui choisit de répondre à l’appel, et d’en tirer profit au passage.
Au-delà d’être une « simple » marque néfaste, les rituels satanistes sont des marques qui se veulent dédiées à nourrir l’égrégore et utilisent de vieilles passerelles mises en place dans les temps anciens.
-> L’objectif ? Nourrir les énergies de la destruction, de la souffrance et de la perdition de l’âme, et asseoir l’ascendance du mal.
Certaines influences sombres ont déjà établies leur base et leur système de rituels sombres depuis bien longtemps.
Le cas par exemple de certains Ordres / Sectes sur Terre qui exécutent des rituels satanistes initiatiques. Ce sera le même Clan/Démon qui prendra en charge la totalité des flux, même sur de multiples générations.
La puissance, le pouvoir, la reconnaissance, à quel prix ?
Qu’est-ce qui se passent dans les mondes sombres où c’est le Mal qui règne ?
Ceux qui nourrissent cet égrégore, voient-ils la perdition dans l’astral et le volume des prisons sombres, les tortures et les âmes enfermées jusqu’à en crever ? Et crever est un luxe pas toujours accordé. (voir la page Prisons astrales)
L’âme et l’Ego ne comptent pas les années en temps humain. Les années peuvent être très longues en prison astrale. Très-très-très longues.
Je vous le dis parce que je suis envoyée dans ces prisons astrales pour sortir des êtres de ce merdier. Je ne souhaite à personne de se retrouver à l’intérieur d’un territoire sombre enchainé, et pourrir jusqu’à la dernière particule de source de vie. Et vous croyez qu’on arrive à sauver tout le monde ?… Non. Pas du tout.
Alors est-ce que toutes les âmes humaines sous emprise démoniaques finissent par se retrouver en prisons astrales ? Non, bien sûr que non. Mais pour vous expliquer qu’il existe plein de manières d’enfermer les âmes, dont les prisons. Mais pas que. Il existe de dimensions entières où des êtres y sont exploités. Tout comme on peut oeuvrer en totale liberté et en même temps sentir sa chaine au plus profond de son âme.
Est-ce que ça veut dire pour autant que tous finissent ainsi ? Ah non, pas du tout. La plupart du temps, ils reprennent le cycle d’incarnations jusqu’à temps que l’âme trouve une façon de se libérer des chaines qu’elle porte en elles. Ca c’est l’objectif premier de l’âme. Et concernant le point de vue de l’entité dominatrice, cela dépendra de ses projets.
- Sur quelle temporalité se base le rituel et à quelles fins ?
- Quels sont les impacts sur l’âme (pas seulement la vie humaine) ?
- Quels sont les termes de la libération de la marque ? (eh bien souvent, on oublie ce tout petit détail qui est en tout petit, en italique et sous astérix dans le contrat et l’établissement du rituel)
Le saviez-vous ?
Certaines âmes sont zombifiées pour être transformées en ossement vivant et continuer à servir le sombre même après l’éclatement de l’esprit.
Alors on pourrait se dire, « je m’en fous, je serai mort de toute manière. »
T-t-t. Ça c’est la fin facile que tu t’es créée, mon petit chat.
C’est un luxe qui dépend uniquement de l’entité au commande (et de tes guides qui arriveront ou non à t’en défaire).
Est-elle dans la destruction et le gain des territoires, ou dans l’esclavagisme des âmes ?… Et elle a décidé de s’accrocher à toi et de t’uiliser pour combien de temps ? Combien de vies ?…
Si certaines peuvent être expéditives et bouffer l’âme comme un apéricube, d’autres sont nettement plus créatives en matière de « rendement » et de « productivité ».
Il y a le concept de l’horreur sur Terre, et il y a le concept du Mal dans l’astral. Ce ne sont pas du tout les mêmes limites éthiques, morales et technologiques.
J’ai vu suffisamment de prisons astrales et me suis confrontée à suffisamment de combats sombres pour vous dire que le sombre et le Mal possèdent tout à un tas d’alternatives plus cruelles les unes que les autres en terme de perdition d’âme.
Vendre son âme au Diable, c’est possible ?
Alors, c’est le côté un peu fou. Oui. Et non.
Dans l’absolu, nos énergies originelles sont au coeur de l’Un et de sa lumière de vie impénétrable. On existe tous au-delà de la Dualité et donc du concept du Bien et du Mal.
Mais choisissant de vivre et d’expérimenter sous différents contextes, elles vont s’agrémenter de différentes teintes, avec une polarité au sein de la Création et des mondes en perpétuelle évolution.
Il y a donc une notion de Choix, à différents degrés et à différents niveaux énergétiques.
Vous pouvez faire don de votre vie et de votre lumière, mais là encore à quel prix ? Connaissez-vous vraiment la valeur de votre propre lumière et de votre source de vie ?…
Les humains qui comptent en temps humain ne réalisent pas l’impact à grande échelle.
Donc vendre son âme, mais à qui véritablement ? Dans de tels échanges, où irait-elle et comment vivrait-elle ? Ou plutôt… survivrait-elle.
Là encore il faut poser la question « qui » représente le diable ?
Est-il représenté par un archétype ou une entité machiavélique ? et si oui, laquelle ? Comment opère-t-elle ?
On pourrait penser que toutes les entités fonctionnent de la même manière, mais ce n’est pas le cas. Certes le système de marquage, de sceaux et de contrats se basent sur un système astral et des lois universelles, mais les conditions et les forces sont uniques dans les implantations.
Et si on part du principe qu’une vente d’âme au mal est possible. Dans ce cas, peut-on envisager qu’un rachat par la lumière l’est également ?
Rappelons-nous que ce qui est en bas est en haut. Question d’équilibre des forces.
Ce qui est enfermé peut donc être libéré.
La priorité est alors de rester en vie de l’autre côté et de préserver notre âme. Chose délicate vu qu’on l’a intégré au beau milieu d’un contrat. Mais encore fois, qu’a-t-on réellement « mis en vente » ?
Utiliser les expressions est une chose. Comprendre l’étendue des mots et leurs implications, une autre.
Rituels et alliances
Je le dis et le répète : Les rituels satanistes ne sont pas un jeu.
Si on vous en propose ou que vous rencontrez des gens dedans, fuyez.
Ouais, ouais , clairement fuyez. N’ayez pas honte. Sortez complètement ces gens de votre vie.
Ne devenez pas un dommage collatéral.
Parce que ça aussi, c’est une réalité : les dommages collatéraux existent. En fait, cela dépend de la manière dont est structuré le contrat et comment les forces sont véhiculées autour du porteur de la marque.
Ne jouez pas avec des entités sombres qui se feront une joie de vous exploiter, vous et tout votre environnement pour en tirer un maximum d’énergie vitale, et ce, par tous les moyens.
Cela parait surréaliste, n’est-ce pas ? Et pourtant…
Les conséquences de rituels sataniques
En général, on retrouvera deux principaux axes, les deux désastreux.
- L’être devient une source nourricière : Les belles promesses en échange de…. votre lumière, vos dons, votre source de vie, la vie des proches (ce qui revient à des vols/vente d’âmes)
- L’être devient disciple : Il verra si une conversion sombre est possible pour vous transformer en véhicule et pantin, voire vous propulsez en tant que « maître », vous faisant développer une puissance spirituelle et magique. Vous deviendrez à la fois l’incarnation et le véhicule. La conversion sombre peut rentrer dans un cadre plus large sur plusieurs vies.
Être disciple, ça veut dire quoi ? le recrutement et la transformation de l’être en être sombre
Dans l’astral,
L’acceptation du rituel vaut reliance et, dans de nombreux cas sombres, la reliance impose l’appartenance.
Vous devenez un vecteur du courant, et disciple est le dans les pires des cas.
On parle de recrutement lorsque l’entité cherche à obtenir de la main d’oeuvre dévouée à sa cause. Quel intérêt ? Eh bien de pouvoir l’aider à ancrer son énergie et gagner en ascendance sombre. Plus il peut ancrer ses énergies dans la croute terrestre, plus il peut récupérer de l’énergie. Plus il est puissant, plus il va étendre soit son cheptel, soit son territoire, voire les deux.
Il faut donc trouver des êtres qui pourront convertir.
Deux manières existent. Soit il cible des gens ayant un attrait sombre capable de monter en puissance et d’incarner sa vision, soit il convertit quelqu’un lumineux en être sombre. En fait, ça dépend du potentiel et du « retour sur investissement possible ».
Si on regarde le corps éthéré humain, on constate qu’il devient noir. Le noir gagne de plus en plus de terrain. Vous devenez un être sombre.
Au lieu de briller comme un néon électrique lumineux, peu à peu, c’est noir mat, puis noir vrombissant. Comme un champignon qui vous ronge. Il remonte tout le corps et le bouffe de l’intérieur.
A chaque action sombre, à chaque fois que le mal sera fait, peu importe la manière, peu importe sa forme, il gagnera du terrain en soi.
Une fois bien ancrée dedans, il ne sera que plus difficile pour en sortir car la personne viendra naturellement à s’en nourrir, par effet de levier. Il y aura de moins en moins de place à lumière.
Cette lutte interne durera tout le temps qu’il restera une once d’énergie lumineuse. Cela peut se dérouler sur une vie, ou sur plusieurs, le temps d’arriver à faire basculer la personne de « l’autre côté de la force ». (Star Wars est une belle image !)
On peut parler de conversion en quelque sorte. Toutefois, le Mal n’oublie pas, il propose, il suggère, il offre des défis, des « opportunités », dans au final, c’est le Choix qui fait la différence.
Avec le Mal, il y a toujours cette notion de Choix. Et même si on en venait à devenir cet autre soi sombre, là encore, on aurait le Choix. Mais que veut-on une fois qu’on baigne dedans ? Plus dur encore est pour s’en sortir. D’où l’effet de spirale infernale jusqu’au moment où on succombe totalement.
Il n’est pas impossible de s’en sortir, mais les entités vicieuses ne rendent pas le processus de libération simple, sciemment. Elles ne veulent pas voir leurs investissements partir en fumée. La résistance des forces met une véritable pression au coeur de l’être.
Si l’être cherche à s’en libérer, on parle de lutte intérieure, et énergétiquement parlant c’est réellement le cas. C’est un combat interne entre l’ombre et la lumière.
Mais les accès aussi proches de l’etreté précédemment accordés par le porteur rendent la libération terriblement difficile. Justement parce que des accords avaient précédemment été octroyés.
L’entité réclame son dû.
Non seulement il faut revenir sur ces accords, mais contrebalancer l’ascendance des forces nourries depuis. Les entités ne lâchent pas facilement, quitte à le faire payer d’autant plus durement à l’âme humaine.
Les entités n’aiment vraiment pas que les accords ne soient pas tenus, et encore moins qu’on revienne sur les termes parce que le client a « changé d’avis » ou a eu « une réalisation » entre temps. Voilà aussi pourquoi ils s’arrangent de complexifier les rituels pour asseoir leurs emprises et la rendre de plus en plus solides.
Effet de levier dans la magie sataniste
J’en parle dans les marques d’entités néfastes, les magies utilisées dans ce type de rituels sont des magies réelles, dont l’influence est palpable. Ces entités n’hésiteront pas à s’investir pour leurs nouveaux disciples et adeptes, mais le prix à payer sera nettement plus que ce à quoi on s’attend à l’origine.
Les entités néfastes s’investissent en fonction du potentiel. Plus elles peuvent obtenir, plus elles chercheront à asseoir leur ascendance sur la personne pour la remodeler et en faire un pantin.
- on cherche à gagner la confiance, et donc l’entité injecte un capital initial qu’il viendra entretenir plus ou moins massivement pour que le lien s’ancre, dépendra des termes du Contrat accordé
- on montre l’importance de l’appartenance et la soumission à cet Ordre (par « Ordre » on entendra le Clan agissant dans l’Ombre)
- on octroie des faveurs / manipule les flux pour que l’autre
- on va lui demander des preuves de sa dévotion de plus en plus coûteuse (voire la notion de Prix à payer dans les Contrats)
Alors le problème en soi n’est pas d’établir des Contrats en soi. C’est une pratique courante et tout à fait normal dans l’astral. Il existe des contrats pour tout dans l’astral. Le problème, c’est ce qu’on est fait, comment ils sont régis et quels en sont les termes… (lire la page Contrats)
Les rituels satanistes sont des rituels de Sang qui utilisent une magie sacrificielle, de type sombre, pour y sceller des liens de reliance et d’appartenance.
Utiliser cette porte leur permet de se nourrir des énergies du Bas (de la Terre) et d’y rester reliés.
Les sceaux, les formes magiques, sont en réalité des piliers sur lesquelles une porte sera bâtie. On peut voire ça comme une porte de transit. De base, les formes peuvent être manipulées de toutes sortes (lire page sur les Sceaux magiques).
Ce qui pose problème sont les égrégores nourris au travers de l’inspiration initiale de la force démoniaque, puis ensuite de ses disciples qui construisent petit à petit des fondations solides à l’établissement du lien. Voilà aussi pourquoi des symboles se retrouvent être des symboles de références universelles.
Ils ont été créés puis entretenus au fil du temps au travers de certains types de forces et de ponts communicants.
Pourquoi fait-on ce type de rituels ?
C’est une manière détournée d’obtenir ce qu’on veut/ ce qu’on croit vouloir par le biais d’entités involutives. Pour nombre d’adaptes, il est estimé que « le jeu en vaut la chandelle », que « l’investissement et le sacrifice est nécessaire pour obtenir à la hauteur de l’investissement, même plus. »
La notion de sacrifice
L’idée de sacrifice est apparue avec la notion de contre-partie dans l’établissement des contrats. Il fallait trouver de quoi équilibrer les accords pour le volume d’énergie offert par l’entité. Et vu les promesses engagées par l’entité qui dépassaient toutes les attentes, l’entité s’attendait à obtenir un retour à la hauteur de son investissement. Ce type d’entité ne travaille pas avec comme idéologie « service gratuit pour la postérité de ce monde ».
Il fallait donc trouver ce qui pourrait l’intéresser et qui avait du poids. Et Si elle offrait ce qui était précieux pour l’autre, elle s’attendait à recevoir ce qui était précieux pour elle… Et malheureusement pour les humains, ce n’est pas des Kinder buenos qu’elle veut.
Il existe de nombreuses formes de sacrifices.
On pense uniquement à la magie du sang dans ce type de rituels, mais on oublie qu’il peut être programmé pour impacter également le biais psychique, émotionnel et spirituel.
L’entité cherche à trouver ce qui est le plus précieux pour l’arracher et l’exiger en échange des faveurs octroyées. Sauf que bien souvent, les sacrifices ne sont que la surface de l’iceberg et le début d’une très longue descente aux enfers.
On pense que c’est une pratique qui existe que dans les films, mais non. Ce type d’ascendance prend forme sur Terre et est pratiqué. On remarque récemment qu’il est même banalisé au travers de clips comme une « norme » commerciale et rentable.
Décalage entre fausses promesses et véritable accompagnement de la part de la guidance
Il faut bien garder à l’esprit que les guides et les protecteurs ne demanderont jamais à leurs protégés de sacrifier ce qui est important pour l’âme.
-> Alors pourquoi établir un contrat si on n’a pas les capacités réelles de contrôler les termes du contrat ? Parce qu’on veut y croire. On veut croire qu’on en ressortira gagnant. On veut croire qu’on a cette puissance de négociation. Et que le résultat vaut le sacrifice accordé. Et puis un jour vient la désillusion. L’Ego prend alors conscience de ce qu’il a perdu et commence à comprendre la valeur de ce qu’il « a troqué ».
A la base, ces rituels sont le reflets de stratégies démoniaques d’un côté, et de l’autre, une réponse à des souffrances exploitables.
Ce n’est pas grave d’avoir des failles, c’est même tout à fait normal d’en avoir. Nous ne sommes pas parfaits, nous apprenons sans cesse et nous nous incarnons aussi dans ce but d’apprendre. On passe des vies entières à travailler sur ces failles et à guérir nos souffrances. C’est comme ça que nous grandissons et que nos énergies développent leur plein potentiel.
Au lieu d’exploiter notre souffrance, nos réels protecteurs et guides nous aident à guérir et à être en paix avec qui nous sommes au-delà. Voilà la différence fondamentale.
Non, l’âme n’est pas prête à tout. L’Ego par contre, si, surtout quand il s’emballe. Parce qu’il est dans le déni de ces propres capacités, alors il va chercher à faire contre poids et à exister face à l’âme.
C’est en travaillant sur la guérison de nos failles intérieures, nous fermons les portes face à la potentielle exploitation de ces souffrances.
Le but de cette page n’est pas de s’étendre sur l’idéologie des fondements du satanisme, ni de son histoire. Simplement, je pense qu’il faut rester lucide quand on voit sous notre nez des lots d’informations qui passent dans nos médias, dont la plupart des gens -et de notre jeunesse- ne conçoivent pas l’ampleur du phénomène.
Je ne cesse de le répéter sur mon site. Même si l’astral est un carrefour des possibles et une richesse incroyable d’êtres et de forces cohabitant ensemble, il est important de rester lucide et d’apprendre à discerner les énergies pour ne pas tomber dans ses pièges.
Dans l’astral, on peut tout apprendre, sur Terre aussi. C’est ça qui est beau. Il faut arrêter de croire qu’il existe des raccourcis pour obtenir tout et n’importe quoi. Tout se paie. Et certaines choses beaucoup plus chères que d’autres.
Les souffrances de l’Ego ne doivent pas être une porte ouverte à l’ingérance et l’insouciance. Dans l’astral, les conséquences sont à assumer.
Le Mal utilise nos failles, nos faiblesses, nos rêves et nos aspirations. Il utilise à la fois le meilleur et le pire de nous, et qui sera exploité à la fin ? Pas lui.
De tels rituels n’amènent pas la réelle maitrise ni la réelle puissance. Cela ne procurera jamais des gains durables. Ou alors il vous accordera une vie, voire quelques vies de ça… et après ? Qu’est-ce qui se passera après ?… Croyez-vous en sortir indemne ?
Il faut prendre énormément de recul quand on traite avec ce type de force.
Ce type de rituels pousse vers l’exploration sombre. Après il ne restera qu’un choix : rester dans le sombre, ou revenir à la lumière. Et dur sera ce choix. Plus dur encore de s’y tenir.
Si l’âme, par contre décide de changer de polarité et de rester dans le sombre, alors une autre voie finira par se créer. L’âme reste libre de choisir comment vivre, mais ce choix, c’est elle qui le prend, pas l’Ego.
Et si on pense que ce serait facile une fois enrôlé dans une voie sombre, cela ne sera pas le cas. Alors confronté aux univers sombres, il faudra apprendre à survivre une fois dedans.
Si un jour on cherche à vous propulser dedans, et même pour « jouer », même pour une « blague », même pour « faire semblant »….
Dites NON à tout ça. Et campez sur vos positions. Ne participez pas à nourrir ce genre d’énergies.
Contre-carrer tout type de marques et rituels
La présence des guides et environnement énergétique, facteur d’aide non négligeable
La qualité de l’environnement énergétique de la personne peut jouer en faveur de la personne marquée et l’aider dans sa libération
Selon le type de guides qui l’entoure, elle pourra gérer les inter-incarnations, les bilans, et les apprentissages en cours, ceux à clôturer et ceux à reprendre car visiblement, la leçon n’a toujours pas été intégrée.
Il est donc possible d’apprendre un peu plus vite à se libérer de la marque et de l’emprise qu’elle a sur l’âme.
Il est vrai que certains êtres arriveront à s’en sortir mieux que d’autres. Mais croyez-vous que tous s’en sortent indemnes et finissent par reprendre la route comme si de rien n’était ?…
Le bilan arrive lorsque l’âme doit faire le point entre ses objectifs et son apprentissage terrestre. S’est-elle écartée de ses objectifs ? Veut-elle changer d’objectifs ?
Comprenons que se heurter à ce type de force peut engendrer des complications au cours de l’incarnation, mais pas seulement. Les inter-incarnations peuvent aussi être un moment décisif pour l’âme. Va-t-elle pouvoir redescendre, et si oui, sous quelles conditions et avec quels objectifs ?
L’âme arrivera-t-elle à protéger ses intérêts, et comment évoluera son environnement énergétique ?
Aura-t-elle la force et l’entourage énergétique pour s’en libérer ?
Tout autant de facteurs qui varient grandement d’une personne à l’autre.
Car chaque environnement est aussi le résultat d’une vie qui dépasse la présente incarnation humaine.
On ne change pas de guides comme de chemises. Mais parfois, il faut bien admettre que certaines expériences coûtent très cher à l’âme, bien plus qu’on ne le saura jamais.