
Les sceaux de verrouillage sont très courants dans l’astral, et très présents. Ils peuvent être apposés pour tout un tas de raisons.
On trouve des verrous un peu partout… sur les accès à des dimensions extérieurs, des mondes réservés à certaines entités, à des lieux, ou à des voies d’accès. On peut même trouver des verrous à différents niveaux de nos couches énergétiques pour protéger des intrusions extérieurs.
Ce sont des pratiques normales et tout à fait courantes.
Ils servent à sceller des accès, ou apposer des conditions sur d’autres sceaux ou d’autres infrastructures magiques.
Ils sont à l’image d’une création de porte dont la complexité de la serrure dépendra de la magie intégrée, et des intentions de l’émetteur.
Le concept est très simple. Tout blocage, quelqu’il soit, part du principe que son opposé existe.
Donc il faut bien comprendre que tout ce qui est bloqué, peut par nature être débloqué d’une manière ou d’une autre.
La composition d’un sceau de verrouillage
Eh bien cela dépend de son émetteur. En général, nous allons retrouver les composants suivants:
- Une infrastructure permettant d’incorporer la force brute de l’émetteur : cela sert de jalon de puissance – garant du maintien de la volonté et des intentions apposées
- Un système de fermeture, dit verrou :
—>soit le verrou est apposé dessus « à l’arrache«
—>soit on a affaire à une remodelisation de tout l’accès pour incorporer parfaitement le verrou. Un peu comme un chantier de BTP qui a pété votre porte et un bout de mur pour en recréer une à son image.
Par nature, un verrou énergétique, c’est quoi ?
Ce sont des énergies compactes, qui ont été conçues pour se fixer et s’imbriquer un peu partout dans le but de maintenir fermé un environnement, une zone, ou un état d’êtreté. C’est un système de fermeture dont la taille et le mode d’emploi dépendra uniquement de son émetteur et de la force à contenir.
Certains verrous peuvent avoir des flux ressemblants à des racines qui s’imbriquent autour de l’espace à contenir, ce qui rend son extraction et sa dissolution plus complexes.
Qui peut qui créer des verrous ?
Tout le monde peut créer un verrou. Absolument tout le monde. Par contre, créer un verrou qui tient la pression et qui résiste aux assauts est une toute autre affaire…
On l’aura compris. Un verrou n’est pas juste une serrure. Il faut avoir une bonne évaluation des forces autant pour le poser que pour s’en défaire.
Et ce n’est pas parce qu’on est capable d’en poser qu’on est capables de s’en défaire… et inversement !
La chose assez vicieuse avec un verrou, c’est la manière dont il va être imbriquée à ce qu’il contient.
Le verrou a-t-il des racines ? Est-il nourri et comment sa force est-elle maintenue ? Comment a-t-il été implanté ?
Comment l’accès a-t-il été reconçu derrière ?
Différents types de verrous
– Verrou 100% : l’accès est verrouillé purement et simplement. Personne n’a accès à ce qu’il y a à l’intérieur. L’intérieur est comprimé dedans.
– Verrouillage à sens unique. On peut entrer mais pas sortir
– Verrouillage par nature/ par exclusion : par sélection / nature des êtres / par clan par exemple.
– Verrouillage par niveau spirituel : des verrous limiteurs – dont les verrous se libèrent une fois le niveau atteint, ou le test réussi. Le cas de porte énergétique qui s’ouvre quand on a atteint un certain pallier par exemple
– Verrouillage par statut : Autorisations qui peuvent apparaitre dans les armées, en fonction de la masse des peuples concernés
– Verrouillage pour détournement : verrou sombre -un peu vicieux ceux-là, qui ferme l’accès principal mais en créé un autre sous-jacent caché pour en tirer profit tranquillement.
– Verrouillage d’enfermement : destiné à calfeutrer totalement une zone prédéfinie. Toute la zone est encadrée
– Verrouillage de porte classique : la complexité de la serrure dépendra de la porte à protéger/isoler.
– Verrou par looping : On crée un accès qui boucle sur lui-même
– Verrou par perdition : On crée un labyrinthe à l’entrée
– Verrou par illusion : On ne voit pas le verrou, mais il existe. On entre mais on ne sort pas. C’est une voile illusoire avec enfermement.
Quelques exemples :
- Les sceaux de verrouillage de l’ombre :
-> si en vue d’attaque : on peut trouver des verrous avant siphonnage de la magie verrouillée – le fameux BLOCK and TAKE – tu bloques, interdis l’accès, et pendant ce temps là, tu te sers. Oui, je sais, c’est sombre mais ça existe.
-> en vue de test quand cela concerne l’accès aux magies sombre ou de l’ombre -> pour les initiés : Si le disciple trouve un moyen de l’outrepasser, il passe le test. - Les sceaux de verrouillage démoniaques
Un démon peut vouloir surveiller l’un accès magique de son petit protégé comme un putain de pitbull. (afin d’éviter que le protégé se blesse ou qu’il fasse des bêtises s’il n’est pas prêt) - Les sceaux de verrouillage angélique : Anges de l’Ombre, anges sombres et anges lumineux. Un ange bloque l’accès. Ce n’est jamais pour rien. Faut voir avec lui.
La libération des sceaux de verrouillage, Comment s’en défaire ?
A moins que vous ne soyez bénéficiaire d’une don de dissolution ou d’une magie de libération, ce sera fastidieux pour vous. Et même en l’ayant, vous ne pourrez pas passer outre certaines entités, comme vos anges gardiens par exemple. Si un verrou est posé, il faudra négocier avec lui et autant vous dire de suite… ils ne cèdent pas aux caprices, encore moins quand rien n’est justifié. ils se manifesteraient….
Dans le cadre d’un verrou apposé par la Source qui se dissoudrait de lui-même, c’est qu’il n’a plus lieu d’être et que donc, la condition imposant le verrou a été remplie (lire la page Infrastructure des sceaux magiques et sceaux dormants)
Pour se libérer d’un verrou, voici quelques options :
– obtenir la clef = avoir un pass (« Multipass » – comme dirait Leeloo dans le film, le 5ème Elément-)
– décoder la clef en accédant directement à la dimension de l’architecture du verrou (vous jouez à l’ingé Archictecte Informatique qui lit le mode d’emploi et trouve le bouton pour ouvrir le bazar et Hop ! vous appuyez sur le bouton rouge !)
– dissoudre le sceau (bien souvent via le magnifique don de dissolution) – posez votre main dessus, et Pouf ! Ça disparait tout seul !
– trouver une alternative pour passer outre = remodeler l’infrastructure du sceau et/ou créer un petit chemin bon gré mal gré dans l’infrastructure magique -> les dragons sombres sont très forts pour se frayer des chemins dans n’importe quoi. Envoyez lui la balle de l’autre côté et dites lui d’aller chercher !! (hahaha pas taper je sors !! -> mais sérieusement, ils sont très doués pour créer des chemins)
– être détenteur d’une magie de libération : Très belle magie lumineuse qui consiste à rompre les chaines de n’importe quoi.
Ce qu’il faut retenir :
Chaque verrou a un système bien à lui qui dépend de son émetteur.
Qui l’a apposé et pourquoi donneront de forts indices pour comment à envisager de s’en débarrasser.
Un verrou n’est pas nécessairement composé d’un sceau.
Son apparence dépend de l’effet recherché ainsi que de son infrastructure interne. Il peut autant avoir l’air d’un simple verrou qu’un labyrinthe, voire une carte codifié dont le mystère est à résoudre.
A titre personnel, je perçois les verrous comme un jeu, comme une énigme dont la complexité varie en fonction des énergies et des objectifs recherchés.
Ce n’est pas parce qu’on croise un verrou qu’on doit vouloir s’en débarrasser. Certains existent pour de bonnes raisons, même très bénéfiques.
Il convient alors de rappeler qu’à chaque verrou, il y a un contexte environnemental à comprendre. Il n’est pas là sans raison.