Bonjour à tous,
L’empathie, quel mot affreux ! Bon… J’ai réalisé hier soir que je suis une hypersensible mais que je me débrouille en réalité pas trop mal pour éviter de me retrouver dans de sales draps. Je n’étais pas hypersensible avant mon éveil il y a 10 ans. Je ne le suis que sur certains domaines aujourd’hui, mais il est clair que vu comment j’arrive à tirer les fils aussi bien pour ce sujet, qu’il me touche particulièrement à coeur et pour cause…
Plus mes perceptions se déploient et plus je dois apprendre à ajuster à mes petites cases. J’aime mes cases. Gabriel m’a déjà dit que ces jolies petites cases étaient un problème quand justement, un problème n’arrive pas à rentrer dedans et déborde. Mais au moins, j’essaie de ranger ! Que voulez-vous… Je ne vais pas me refaire hein…
Par contre, je ne suis pas une grosse empathe de nature, on va dire que l’empathie est une caractéristique humaine que nous possédons tous, néanmoins, chez moi, elle n’est pas exacerbée comme chez les hypersensibles empathes. Pour ma part, c’est plutôt avec les grosses masses énergétiques (lieux publics bondés) qu’une personne en soi.
Comme par exemple, lorsque je regarde les infos 15 jours d’affilés et que je commence une véritable dépression. Ma famille me paie tout un scandale parce que je ne regarde pas les infos comme tout le monde, mais elle ne réalise pas l’effet dévastateur que cela a sur moi. Ça, elle s’en fout. Tout ce qu’elle voit, c’est combien je suis ignorante de l’actualité. Le mal-être que cela me créé ne rentre pas en considération. Je dois me plier comme un bon petit mouton citoyen samaritain. Bah non. J’ai décidé que la dépression ne me réussissait pas. Donc voilà, j’ai supprimé de mon environnement tout ce qui pourrait être trop violent pour mes énergies qui évoluent sans cesse.
Bon, revenons maintenant aux hypersensibles et ceux qui ont une empathie à se demander où sont passé leurs propres énergies…
Alors, pour résumer, y’a du taf !! Je pense en me lisant que vous avez déjà bien compris maintenant. Oubliez le « je claque des doigts et j’arrive à me maitriser finger in ze nose ». C’est fini ça, c’est de la merde cette technique !
Il faut déjà comprendre ce que c’est l’empathie.
L’empathie est une capacité en tant qu’humain à se mettre à la place de l’autre en comprenant ce qu’il éprouve. A un niveau plus vaste, c’est notre capacité divine à intégrer l’ensemble des humains dans notre Tout. Autrement dit, Un pour Tous et Tous pour Un, mais si, vous savez, la fameuse phrase de On est Un, mais Un est dans le Tout ?
Voilà. L’empathie nous permet cette jonction là mais à une échelle beaucoup plus subtile. Elle nous permet de nous relier aux autres, de nous identifier et de les intégrer comme étant une part de Soi.
Bon, en soi, cette capacité est cool. Le seul hic, c’est quand on n’arrive pas à gérer cette capacité. On devient ce que moi j’appelle grossièrement « la passoire ». C’est à dire que n’importe quel flux arrive et pouf ! Ca passe au travers sans barrière. Ouais hein, montré comme ça, c’est peut-être un peu barbare, mais bon… On voit bien maintenant le problème des filtres que je soulignais dans les articles précédents.
Pour résumer mon petit graphique qui m’a fait délirer ce matin, en gros, tout résonne et c’est la merde.
L’hypersensibilité fait que les sensations ressentis par le corps, l’âme et l’esprit, sont du coup, beaucoup plus fortes que pour une personne lambda.
Avoir des sensibilités accrues a toujours des avantages comme des inconvénients. Ressentir plus veut dire avoir plus à intégrer et à gérer.
Le problème survient donc ici. Nous n’arrivons plus à gérer ce qui arrive. Et plus ça arrive, plus nous submergeons dans l’autre et le déversoir qu’il inflige, souvent inconsciemment en plus.
L’empathie que nous devrions avoir à un niveau jugé « normal » ne devrait pas nous bouffer la vie et nous empêcher de voir les autres. Or, quand les hypersensibles empathes sont en présence des autres, ils deviennent les autres. Pourquoi ? Parce que leurs énergies individuelles se font littéralement écrasées et s’effacent par le Tout qui les submergent et dans lequel ils s’identifient.
Il a la capacité d’identifier le flux et les mémoires qu’il transporte. Autrement dit, en plus des mémoires que réveillent le flux entrant (comme sur mon petit dessin), il perçoit aussi les mémoires que portent le flux (bouh ! je ne l’ai pas intégré au dessin). Plus simplement dit, ce que l’autre amène comme énergie, il l’intégre et s’identifie à elle (et ce, en plus des siennes).
Quand l’autre se barre tranquille pour rentrer chez lui (parce que lui s’en fout, vu que de toute manière, il ne capte pas ce qu’il se passe), la personne hypersensible, elle, bascule en mode sous-marin. C’est normal, c’est la manifestation de l’égo pour passer en mode survie. Quand y’a la houle, on va au fond, c’est plus tranquille. Mais, on va pas rester toute notre vie au fond du trou, alors on veut remonter. Mais là, c’est le drame.
Les énergies de l’autre ne l’ont pas quitté. Pourquoi ? Parce qu’il les a intégrées comme lui appartenant. Donc, il reste submergé et repart dans son sous-marin.
On pourra alors reconnaitre certains comportements autistes. Le problème n’est pas en soi qu’ils sont autistes, mais qu’ils sont juste des hypersensibles à mort et que pour se protéger, ils adoptent des attitudes d’exclusions sociales, et à juste titre.
Au départ, ils opteront pour un comportement après-coup : Ils s’isoleront après la rencontre. A force d’en subir des chocs, ils iront vers un comportement sur le coup : en pleine rencontre, ils se replient dans leur bulle. Et pour finir, ils anticiperont la rencontre, en créant une bulle de protection avant la rencontre, et ce, par anticipation. Cette réaction est normale. C’est ce qu’on appelle un mécanisme de défense et de préservation.
Cela dit, tous les hypersensibles, n’ont pas envie de s’isoler, au contraire, certains le vivent très mal et ça ne s’arrange pas. Alors ils essaient tout de même de vivre dans le monde qui les entoure, rien que déjà pour aller chercher sa baguette de pain.
Voilà, la question fatale. Comment faire ? S’il ressort du sous-marin, il y a les flux énergétiques, et ce à quoi va se rajouter de nouveaux flux s’il rencontre encore d’autres personnes.
Par beauté de la vie, la nuit et le sommeil nous permet d’évacuer en partie certaines énergies néfastes, mais il y a le reste tout de même à gérer.
Il y a une notion très importante pour les empathes à apprendre : les barrières de l’individualité et la gestion des énergies et de l’état émotionnel. Cela revient à reprendre le chemin du petit schéma en sens inverse, à se détacher de l’autre et retrouver son émotion personnelle.
Je suis moi avec mes énergies propres et l’autre est lui avec ses énergies propres et on trace une ligne entre les deux pour éviter la fondu savoyarde si vous voyez c ‘que j’veux dire…
Il faut apprendre à ne pas se laisser boulotter.
Croyez-moi mes cocos, ce n’est pas parce que je mets un peu d’humour dans mes mots que je prends ce sujet à la légère. Au contraire, c’est extrêmement difficile à vivre. C’est un mal-être réel qui a de lourdes conséquences dans notre routine quotidienne.
Alors que les gens à niveau de sensibilités moyennes ne sont pas dérangés dans les actes de la vie courante, pour un hypersensible, tout devient dur, pénible et comme le Mont Everest à gravir.
Là où ils se sentiront le mieux, ce sera sûrement avec des personnes qui savent d’une part maitriser un peu mieux que les autres les flux énergétiques, ou pour qui la qualité des énergies est suffisamment élevée pour ne pas les plomber davantage. Ils y trouvent alors une source de réconfort, une zone neutre, ou au mieux, une ambiance moins lourde à gérer que celles des autres, là où ils peuvent se reposer ou ressortir de leur bunker sans se taper la grosse marée.
Si vous êtes un empathe hypersensible ou que vous côtoyez un empathe hypersensible, il va falloir reprendre les choses en main.
Pour ceux qui ont des hypersensibles comme proches, il va falloir apprendre un minimum à gérer vos énergies et à prendre en considération ce qu’ils ressentent. Car ils ressentent beaucoup. Cela va vous demander de faire un effort pour vous ajuster et ca va vous demander de travailler sur votre égo et votre personnalité. Car si vous prenez en charge vos énergies, lui n’aura plus à le faire. Gérez ce qui est votre, ça le soulagera. S’il vous dit que l’énergie de la maison est pourri, c’est qu’elle est pourrie. Il va falloir tout revoir. L’agencement, les couleurs, et souvent, le comportement aussi. Passez les égos en revue.S’il vous dit qu’il ne peut pas cotoyer untel parce qu’il sent un truc de pas net, ne le forcez pas à lui dire bonjour ou à sommer sa présence au diner. Les gars, vous le plombez encore plus là. Qui c’est qui va devoir gérer les énergies de merde après ? Ce n’est certainement pas vous vu que pour vous, il n’y a aucun problème.
Vous voyez ? C’est du travail je vous avais prévenu.
Pour l’hypersensible, il faudra apprendre à faire vivre sa bulle intérieure et à la renforcer. Mes chouchous, la tâche est longue et vous n’avez pas fini d’en voir de toutes les couleurs. Mais le jeu en vaut la chandelle. Vous le réaliserez plus tard lorsque vous vous rendrez compte, combien à vous, on ne peut pas dépasser un certain niveau de fausseté ou de conneries égotiques. Alors le problème évident que cela engendre, c’est qu’il faut revoir le niveau égotique de tout ceux qui vous entourent et faire des choix dans votre carnet d’adresses. Car tout le monde n’accepte pas votre sensibilité. Et je sais combien cela peut vous toucher.
Pour la plupart, vous vous demandez ce que vous avez fait pour mériter une sensibilité pareille et combien le monde est bien plus simple à vivre pour les autres que pour vous. En plus, seuls les hypersensibles comprennent l’ampleur de vos galères et les autres, ça leur passe largement au-dessus de la tête.
Ah, dure vie de chien hein ?… Cela dit, vos perceptions sont précieuses. Avec le temps, le bon environnement et les bonnes personnes qui apprendront à vous côtoyer avec sincérité et amour, vous verrez combien la vie peut être belle dans vos pompes. Mais Patience est de rigueur. Ne perdez pas espoir d’un jour arriver à vous sentir vous-mêmes. Vous y arriverez. Vous apprendrez à dépasser ce sentiment de noyade et de perdition. Vous saurez vous retrouver vous-même.
Un plan de contre-attaque s’impose :
– Il va falloir éviter de rajouter de la poudre au feu. Donc soyez attentif sur les flux qui rentrent ou tentent de vous en rajouter une couche. Et limitez les si vous le pouvez ou fuyez juste le temps pour vous de respirer un peu et de gérer un peu le trop plein intérieur.
– Apprendre à gérer le trop plein petit à petit.
Si vous arrivez à entreprendre les 2 en même temps, c’est bien, sinon, faites à votre rythme, tentez d’être un peu attentif sur les énergies de l’extérieur et quand vous le pouvez, prenez un temps pour regarder l’intérieur. et vous tournez comme ça.
Nous allons commencer un petit exercice. Vous allez devoir apprendre à dire « cela ne m’appartient pas, je te rends ce qui t’appartient. Merci.Aurevoir. »
Cette phrase est très importante. C’est la base de votre autonomie qui va vous permettre de libérer des énergies de l’autre et redonner à votre énergie, cette place qui a toujours été sienne. C’est une manière de dire, « tu n’es pas ici chez toi. Ici, c’est moi qui commande et je ne suis pas toi. Je suis différent. Je suis Moi. »
A la prochaine personne que vous allez côtoyer, avant d’y aller, prenez conscience de votre état, prenez un carnet et notez.
– Je me sens bien mais fatiguée. J’ai faim. J’hésite à sortir mais je dois quand même aller chercher ma baguette de pain.
Allez ensuite chercher votre baguette.
Bon, vous sentez que la vendeuse est froide. Le boulanger la regarde du coin de l’oeil bizarre. Vous sentez tout ça. Vous avez conscience de tout ça.
Vous ressortez de la boulangerie et rentrez chez vous. Reprenez le carnet. Et posez vous la question : Comment je me sens maintenant ?
Si la réponse n’est pas « j’ai ma baguette de pain, je vais pouvoir manger. » mais que vous êtes mal à l’aise à cause de cette rencontre ou à cause d’autres chose que vous avez ressenti en chemin et que vous pouvez sentir les énergies encore sur vous comme une 2ème peau, c’est qu’il est temps de vous débarrasser de ça.
Repensez à votre état avant de partir. Tout ce qui est venu après ne vous appartient pas. L’idée est donc de faire un reset et retrouver cet état.
Fermez les yeux et rebasculer à ce moment avant d’aller chercher du pain. Vous étiez assez bien, fatigué. Vous vouliez juste une baguette de pain pour manger. Maintenant, vous avez votre baguette, vous allez manger. Tout le reste n’a plus d’importance.
Vous remerciez les énergies qui tentent de perdurer, mais qui n’ont pas leur place. Dites leur aurevoir.
Il faut apprendre à comprendre quelles énergies sont les fameux déclencheurs. Le feu qui allume la mèche en gros.
Notez dans un carnet vos situations les plus difficiles et tenter de trouver un fil. Qu’est-ce qui vous a le plus touché ? Etiez-vous concerné ? Pouvez vous trouver une solution pour éviter à nouveau de revivre ou subir cette même situation ?
Par exemple :
Situation : Je me sens mal quand je vois de la torture.
Qu’est-ce qui me dérange ? : La mort ? ou le comportement de l’autre ? la victime ou le côté pervers sadique ?
Action à prendre : éviter tous les films où je vois la notion qui me dérange.
Il faut comprendre qu’une conséquence suggère une réaction de votre part. Si une situation reste figée, vous ne progressez pas. Reprenez les rênes et agissez.
Les infos vous dérangent, ne les regardez pas. La souffrance vous dérange, regardez la beauté du monde.
Nous ne sommes pas obligé de subir ce qui ne nous convient pas. Nous pouvons choisir de vivre nos énergies différemment.
Mais pour cela, il faut d’abord apprendre à dire NON, ou STOP, ça suffit, tu vas trop loin.
*sifflote*
Oui oui, je sais… c’est duuuuuuuuur. Mais allez. Courage. Et rappelez vous, le monde ne s’est pas construit en un jour. C’est seulement un pas après l’autre qu’on avance.
Bises
Fleur,
Passe par MP ou facebook si tu veux plus d’échange ou éclaircir certains points que je n’aurai pas compris. Ce serait tellement plus simple wink2
Bises
Bonjour Camille 🙂
Je venais relire ton article sur « hypersensibilité et compassion », et du coup j’ai relu toute la série. Et : « Ahhhrg ! ». J’ai envie de crier au secours..et en même temps je suis soulagée de comprendre ce qui m’arrive.
Merci tellement pour tes mots. C’est exactement ce que je ressens en ce moment : » ceux qui ont une empathie à se demander où sont passées leurs propres énergies… »
C’est fou.Je me croyais en train de devenir folle ou de faire un burn-out.
Comment cela peut-il empirer à ce point, d’un coup ?
Voila des années que je n’écoute plus les infos, depuis toujours je n’ai pas la TV et ne supporte pas la plupart des films… mais ça ne me gênais pas dans la vie courante. Et là, depuis quelques mois, je supporte plus rien : mes parents, mes clients, mes collègues…et plut généralement toute personne que je sens approcher de moi avec une demande ou une sollicitation quelconque, même ridiculement simple 🙁
Ce qui m’a énormément parlé dans cet article, c’est l’image du sous-marin. Je sais que je suis hypersensible depuis toujours, mais j’ai toujours trouvé des stratégies pour avoir de longues périodes tranquille , seule, dans mes semaines ou mes vacances. Souvent c’étaient les seuls moments de contact avec le « vrai moi profond ». Et souvent, la reconnexion était douloureuse, avec beaucoup de tristesse et d’émotions qui remontaient. Remontées houleuses, mais au moins je me « retrouvais » de temps en temps
Mais là, depuis 4-5 mois, mon activité pro a connu un tel emballement que je n’ai plus une seconde pour moi en semaine. J’anime des séminaires et formations en groupe ( le pire pour moi !!!) Et le WE je suis toujours avec d’autres personnes, voir en famille…Du coup , sans que je m’en rende vraiment compte, j’ai du dépasser un seuil d’alerte et vivre trop longtemps en sous-marin, en perdant contact avec les propres énergies. Et là,c’est la crise. Le système me demande de trouver une solution d’une façon ou d’une autre. Je ne peux plus vivre en sous-marin, il n’y a pas assez de « vacances » possibles pour permettre des remontées suffisantes.
Il va falloir que je travaille ça depuis l’oeuf intérieur, j’ai l’impression. Parce que j’en suis arrivée à un stade où ce n’est pas possible pour moi de lister tout ce qui me touche et fait résonance. Parfois, c’est la simple présence de la personne qui me fait perdre contact avec moi !
Ton image de la baguette de pain m’a énormément marquée. Je passe mes journées à passer d’une énergie de rencontre à une autre , à chaque coup de fil, à chaque échange mail, à chaque réunion… Et à la fin, je repars hyperconsciente des besoins (mêmes informulés) des autres, je ne sais même plus ce que je veux pour moi-même ni où j’en suis de ma propre journée !
Grrrr. Merci de ton conseil aussi d’écouter les émotions. La colère est montée comme un signal d’alarme depuis 2-3 semaines. C’est signe que le système est saturé et n’en peut plus. Ton article m’encourage à changer des choses en profondeurs, pas juste prendre 3 jours de vacances en plus :/
SI tu as des indices qui peuvent expliquer une augmentation brusque de l’hypersensibilité , d’un coup, ça m’intéresse ???
(Est-ce que des soins énergétiques ou des reconnexions à l’âme qui peuvent inviter les énergies profondes à s’exprimer pourraient avoir joué un rôle déclencheur dans la remontée du sous-marin , d’une façon qui m’échappe ?? )
Un grand merci Camille pour avoir écrit cette série d’articles. C’est super précieux.
Bises++
Lara
Bonjour Lara,
Il y a une possibilité multiple pour les remontées du sous marin. les soins en font parties, et d’autres rituels aussi. C’est normal. Cela permet de fluidifier et clarifier la situation, alors tout ce qui ne convient pas, se met à être encore plus en évidence. Jusqu’à temps que tu entendras le message.
Les émotions ne sont là que pour t’aiguiller sur ton compas intérieur. Les remontées brusques sont signe que tu n’en peux plus.
Il faut réapprendre à se prendre en considération et prendre des décisions concrètes, même petites, pour agir en ce sens.
Bises
Bonjour Camille,
Oui, c’est bien ce que je craignais : c’est juste le début du travail de remontée qui commence… Au moins, j’ai la motivation pour faire évoluer ce qui ne me convient plus:)
Je vois l’importance de poser des actions concrètes même petites. Je vois la puissance du signal que cela envoie à l’intérieur de moi. Merci de ce rappel, qui fait tellement écho avec la façon dont les guides de Sylvie l’accompagnent.
Bises 😉
Lara
Coucou Lara,
Bon courage !
C’est avec des petits pas qu’on arrive à surmonter nos plus grosses difficultés. Et un jour on se rend compte de tout le chemin parcouru.
Bises
Bonsoir Camille
Un merci grand comme ça pour cette superbe série sur l’hypersensibilité !
Surtout celui ci avec l’exemple de la baguette de pain.
C’est fortifiant de savoir que l’on a un nouvel outil pour mieux vivre !
Merci beaucoup !
Coucou Camille
C’est Amandine aussi lectrice du blogue ni ombre ni lumière. Je viens à peine de découvrir ton blogue grâce à vos échanges avec Sylvie
Cet article je l’adore ! Je le ferai lire à ce qui me comprenne pas
Tes petits exercices sont géniaux ! Je suis contente, c’est ce que je commence à essayer de maîtriser (« maîtriser»lol)
Tu parlais des chats dans un autre article que j’ai lu juste avant et j’ai l’impression qu’ils ont un Level de plus à ce niveau.. à une période mes seuls amis ont été un arbre, un chat, une plage, des youtubers marrants et mon site.
Comme tu dis ça prend du temps mais ça en vaut la peine et les relations que l’on a avec les autres deviennent plus juste pour le coup.
J’ai hâte d’en lire d’avantage . Je te souhaite une belle et amusante continuation ♀️
Bonjour Amandine,
Contente que les petits exercices trouvent écho. l’hypersensibilité et l’empathie isolent en effet, j’ai des périodes comme ça aussi. Comme ce weekend, je fuis les gens, et tout ce qu’il m’est possible de fuir. Et puis quand on se sent prêt à nouveau, on rouvre sa coquille, petit à petit.
Bonne lecture alors 🙂