Les cases noires, mondes sombres se nourrissant de la Terre

Bonjour à tous,

Vous connaissez ma forte appétence pour la réalité astrale du bisounours-exist-but-not-here-bitch.
Alors voici un dossier qui m’est retombé dans les bras et que je gère actuellement dans l’astral. Il s’agit du doux sujet que les guides appellent de l’autre côté « les CASES NOIRES« .

Simplement parlant, ce sont des dimensions sombres qui ont décidé de venir s’implanter dans une des strates terrestres, de créer une passerelle énergétique entre les mondes et de se nourrir du sombre généré dans la zone.

L’idée est de se greffer à notre dimension et de venir s’y nourrir. A l’image d’une moule sur un rocher, un toit sombre est formé en forme de dôme au-dessus de leur camp établi, lui-même recouvert d’énergie neutralisée. Pour eux, cela leur permet de ne pas se faire remarquer. Manque de bol, tout est référencé… Bref.
Une fois le dôme créé, le sombre commence à asseoir son autorité et lance la récupération et le traitement des énergies récupérées au travers de la passerelle.

Pourquoi on les appelle les cases noires alors ? Parce que vu de haut, et du point de vue des guides et gardiens surveillant la Terre, cela fait un pixel noir dans les énergies lumineuses de la Terre là où la dimension est implantée.

A voir la pile de corvées dossiers qui m’attend, croyez-moi, il n’y en a pas qu’un… ahem….

Alors où sont-ils situés ? Eh bien partout là où le sombre prolifère sur Terre mais pas forcément. Parfois, il ne faut pas grand chose. Différents abattoirs de chevaux suffisent par exemple à donner l’envie à un Seigneur de vouloir monter toute une chaine de production (un peu comme une franchise d’ailleurs quand j’y pense) Qu’est-ce qu’il était fier, celui-là, de sa réussite de récupération macabre…

Alors quel est le problème avec ces cases noires ?
C’est l’emprise sombre qui gagne en terrain et en influence. La Terre en ce moment n’est pas dans une super bonne période, c’est un peu la gue-guerre de l’autre côté et tout le monde est un peu à flux tendus dès qu’il s’agit de la Terre. Des percées sont tentées de multiples façons. Plus l’influence s’accroit, plus le sombre trouve de l’ancrage pour venir, rester, et pas vouloir repartir car il considère ce monde comme une bonne source nourricière. En se nourrissant de nos énergies sombres, il monte en puissance, ce qui le motive encore plus à générer du sombre, et ainsi de suite. Le roulé-boulé sans fin.

Le pixel noir s’installe dans la strate terrestre, et après, il faut nettoyer. Comme une tâche à dégager. Voilà donc ce que je fais en ce moment. On déboule à 4 ou 5 et on purge les sites. 2 en protection et manipulation des flux, 1 sur le dôme et 1 voir 2 à l’intérieur en tenaille.

Qu’est-ce qu’on trouve à l’intérieur ? Rien de beau et mignon. Sang, torture, beaucoup de tristesse et de souffrances, des manipulations énergétiques à de la zombification des âmes et esprits (oui-oui ça existe), de l’asservissement des peuples reliés et implantés sur Terre à l’absorption des énergies humaines, en général, dès qu’on soulève la 1ère plaque de dôme, on découvre un gros bordel.

Il ne suffit pas d’y aller pour juste voir. Derrière, il faut traiter définitivement le problème. Cela implique des combats plus ou moins intenses selon les entités démoniaques concernées et leurs réticences à rentrer chez eux – tout en sachant que les portes seront dissoutes derrière eux.

Il y a non seulement un rappel des territoires, mais également des avertissements donnés. Le site doit fermer, le dossier doit être classé. Parfois cela se fait vite, parfois, c’est plus casse-gueule.

La Terre se sentira un peu mieux quand ses cases noires seront nettoyées. Toutefois il est certain que si personne ne traitait tout le bordel sombre sans cesse généré par les humains, cela ferait un moment que les humains auraient fait péter eux-même leur propre planète.
On n’imagine pas tout le travail que cela demande aux entités et aux anges incarnés et désincarnés de traiter les flux des humains. C’est juste colossal.
En tant qu’humains, on est très mauvais sur notre capacité à préserver la lumière, très mauvais.
Je râle très souvent concernant tout le travail que me demande cette planète, mais je dois bien admettre, que c’est une belle planète… tellement belle vue de haut.
Énergétiquement, au-delà de toutes les masses sombres sans cesse créées par les humains, la Terre baigne dans la lumière, une belle et chaleureuse lumière qui enveloppe tout le monde dedans et s’étend bien au-delà dans la matière noire qui l’entoure. Ce sont les humains qui n’arrivent pas à vivre dans la lumière, bon gré mal gré.

Quand apprendrons-nous à ne pas nourrir le sombre ?… Ah ça… c’est un autre débat…
Pour l’instant… »Du Travail… Encore du Travail !  » (pour ceux qui ont la ref….)